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Proposition de chapelet pour être avec Marie au Cénacle dans l’attente du Saint-Esprit

Proposition de chapelet pour être avec Marie au Cénacle dans l’attente du Saint-Esprit 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

Puisque nous sommes en mai, ce mois traditionnellement consacré à la Vierge, je vous propose une prière particulière qui nous permettra à nous aussi d’être « avec Marie au Cénacle dans l’attente du Saint-Esprit ». C’est un chapelet dans lequel, avec les «mystères », nous évoquons les grands moments où le Saint-Esprit a été présent dans l’histoire du salut et avec les dizaines de « Je vous salue Marie », nous demandons, par l’intercession de la Vierge, la grâce de faire l’expérience de ses fruits en nous. Je propose quelques énonciations possibles des mystères :

  1. Dans le premier mystère, nous contemplons le Saint-Esprit dans l’œuvre de la création. « Au commencement,
  2. Dieu créa le ciel et la terre. La terre était informe et vide, les ténèbres étaient au-dessus de l’abîme et le souffle de Dieu planait au-dessus des eaux.» (Gn 1, 1-2)
    Nous demandons à l’Esprit Saint qui, au début du monde, sépara la lumière des ténèbres, les eaux de la terre et transforma le chaos en cosmos, de répéter ce miracle dans le monde d’aujourd’hui, dans l’Église et dans notre âme, faisant l’unité là où il y a la discorde, la lumière là où il y a les ténèbres, créant en nous « un cœur nouveau ».
  3. Dans le deuxième mystère, nous contemplons le Saint-Esprit dans la révélation. « C’est, portés par l’Esprit Saint, que des hommes [les prophètes] ont parlé de la part de Dieu. » (2 P 1, 21)
    Nous demandons au Saint-Esprit « l’intelligence de la Parole de Dieu ». Inspirées par Dieu, les Écritures respirent maintenant Dieu, le « transpirent ». Nous demandons de pouvoir percevoir dans la Parole de Dieu sa volonté vivante à notre égard dans toutes les circonstances de la vie. Nous demandons, à l’image de Marie, de savoir « accueillir et méditer dans notre cœur » toutes les paroles de Dieu.
  4. Dans le troisième mystère, nous contemplons le Saint-Esprit dans l’incarnation. « Marie dit à l’ange : “Comment cela va-t-il se faire puisque je ne connais pas d’homme ?” L’ange lui répondit : “L’Esprit Saint viendra sur toi et la puissance du Très-Haut te prendra sous son ombre ; c’est pourquoi celui qui va naître sera saint, il sera appelé Fils de Dieu”. »
    (Lc 1, 34-35)
    Nous aussi, nous nous demandons trop souvent face à une épreuve ou quelque chose de nouveau que Dieu requiert de nous : « Comment cela se fera-t-il ? Je ne connais pas d’homme », je n’ai pas la capacité en moi, je n’aurai pas la force … La réponse de Dieu est toujours la même : « Vous allez recevoir une force quand le Saint-Esprit viendra sur vous. » (Ac 1, 8) Demandons au Saint-Esprit, comme il a formé l’humanité du Christ dans le sein de la Vierge Marie et par elle, l’a donnée au monde, qu’il forme en nous le Christ et nous donne la force de l’annoncer à nos frères.
  5. Dans le quatrième mystère, nous contemplons le Saint-Esprit dans la vie de Jésus. «Comme tout le peuple se faisait baptiser et qu’après avoir été baptisé lui aussi, Jésus priait, le ciel s’ouvrit. L’Esprit Saint, sous une apparence corporelle, comme une colombe, descendit sur Jésus. » (Lc 3, 21-22) « L’Esprit du Seigneur est sur moi ; c’est pour cela qu’il m’a consacré avec une onction et m’a envoyé porter la bonne nouvelle aux pauvres. » (Lc 4, 18)
    Au baptême, Jésus a été oint comme roi, prophète et prêtre. En lui, on recueille le Saint-Esprit comme un parfum dans un vase d’albâtre (saint Ignace d’Antioche) et en lui, l’Esprit Saint « s’est habitué à vivre parmi les hommes » (saint Irénée). Sur la croix, le vase d’albâtre de son humanité a été brisé et le parfum de son Esprit s’est répandu sur le monde. Par l’intercession de Marie, demandons un renouveau de l’onction prophétique, royale et sacerdotale que nous avons reçue à notre baptême. Demandons-lui de nous aider à briser le vase en verre qui constitue notre humanité et notre « moi » pour que nous puissions être « la bonne odeur du Christ » dans le monde.
  6. Dans le cinquième mystère, nous contemplons le Saint-Esprit dans la vie de l’Église. «Alors leur apparurent des langues qu’on aurait dites de feu, qui se partageaient et il s’en posa une sur chacun d’eux. Tous furent remplis d’Esprit Saint : ils se mirent à parler en d’autres langues et chacun s’exprimait selon le don de l’Esprit. » (Ac 2, 3-4)
    La promesse faite par Jésus avant de monter au ciel s’accomplit : « Jean a baptisé avec l’eau, vous, c’est dans l’Esprit Saint que vous serez baptisés d’ici peu de jours.» (Ac 1, 5) Depuis ce jour, tout dans l’Église vit et reçoit sa force du Saint-Esprit : les sacrements, la Parole, les institutions. « L’Esprit Saint est, pour le corps du Christ qu’est l’Eglise, ce que l’âme est pour le corps humain » (saint Augustin). Demandons que, par l’intercession de la Vierge Mère, beaucoup s’ouvrent aujourd’hui pour recevoir la grâce renouvelante du baptême dans l’Esprit.
    Père Raniero Cantalamessa O.F.M ; 2019
    Don Marc-Antoine CROIZé-POURCELET

Journée diocésaine des servants et servantes d’assemblée à la Castille

Journée diocésaine des servants et servantes d’assemblée à la Castille 1080 810 Paroisses de Saint-Raphael

Le 13 avril dernier, a eu lieu la journée diocésaine des servants de messe et servantes d’assemblée à La Castille. Après un temps de louange, un séminariste a rappelé à la centaine de jeunes présents, l’importance du service de messe.
n Servir correctement afin que le prêtre reste concentré
n Prier pendant l’offertoire, pour avoir quelque chose à offir à Jésus
n Aider les fidèles à prier (ne pas faire de gestes parasites)

La messe fût ensuite célébrée par Mgr Rey. Après le pique-nique, vint le temps du jeu puis le témoignage des sœurs sur leur vocation auprès des filles. Des séminaristes ont fait la visite de leur lieu d’études et de vie aux garçons avant l’adoration animée par Mgr Touvet .
En cadeau des icônes bénies ont été remises au servants et une dégustation de crêpes est venue clôturer cette journée ensoleillée !
Merci à Damien pour l’organisation de la journée et à Don Marc Antoine, Cindy et Vincent d’avoir accompagné nos 9 jeunes paroissiens. (Objectif l’année prochaine : deux fois plus !)

Il existe tant de motifs pour nous haïr, nous ignorer, nous mépriser.

Il existe tant de motifs pour nous haïr, nous ignorer, nous mépriser. 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

Le commandement du Christ de nous aimer les uns les autres comme il nous a aimés est très beau dans l’idée, mais est bien difficile à mettre en place, car il pointe surtout les personnes que nous n’avons pas envie ou besoin d’aimer. Jésus est venu pour tous les hommes sans exception, les bons et les mauvais. Il cherche la conversion de celui qui se détourne de lui. Et il nous aime tous avec un amour dont nous ne comprenons pas encore les contours. Ainsi dans notre France qui, nous devons certainement le sentir, baisse en humanité, chacun est tenté par un mécanisme bien humain, de se replier sur soi. Ce commandement du Christ devient encore plus d’actualité surtout pour nous catholiques qui le recevons par cet évangile du dimanche. Nous entendons la voix de Dieu nous demander d’être au-delà de la norme, non pas pour nous glorifier, mais pour faire la volonté de notre Père, notre seule priorité : « Eh bien ! moi, je vous dis : Aimez vos ennemis et priez pour ceux qui vous persécutent, afin d’être vraiment les fils de votre Père qui est aux cieux ; car il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, il fait tomber la pluie sur les justes et sur les injustes. En effet, si vous aimez ceux qui vous aiment, quelle récompense méritez-vous ? Les publicains eux-mêmes n’en font-ils pas autant ? Et si vous ne saluez que vos frères, que faites-vous d’extraordinaire ? Les païens eux-mêmes n’en font-ils pas autant ? » Ainsi nous sommes des hommes qui allons à contre-courant de la société. C’est ce que nous pouvons comprendre dans le pré-générique de la série The Chosen. On y voit des poissons qui forment un cercle en nageant. Soudain, un poisson change de couleur et se met à nager à contre-courant. A son exemple, d’autres le suivent et donnent un autre mouvement à ce cercle. C’est ce que nous faisons lorsque nous aimons alors que cela nous est difficile. Notre humanité nous propose de nous venger ? De mépriser ? De dire du mal ? Le commandement du Christ nous invite, quant à lui, à aimer en retour de la haine, à pardonner en retour de l’offense, à mettre l’union alors qu’il y a de la discorde… , car si nous suivons ce qui est facile ou évident de faire pour notre humanité, quelle récompense méritons-nous ? Les publicains eux-mêmes n’en font-ils pas autant ?

Don Bruno de LISLE

Action de Carême 2024

Action de Carême 2024 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

La Congrégation des sœurs arméniennes
de l’Immaculée Conception

Le total de la collecte s’élève à 9.553 €. Vos chèques ont été envoyés cette semaine
UN IMMENSE Merci à tous les donateurs !

L’appel à Toulon du 20 avril 2024

L’appel à Toulon du 20 avril 2024 1200 1600 Paroisses de Saint-Raphael

17 adultes seront confirmés
Dimanche 19 mai 2024 à Saint MaximIn :
Liam PAQUILLE, Emma TORTOSA, Dorine ROSSI, Océane KOFFI Virginie TRAUTWEIN, Alizée LE TALLEC, Amélie BOUSAHLA Anaïs MAURIN, John SKORZEZ, Marion MARTIN,
Nicolas BELLEC, Marie-Madeleine CANAVESIO, Sasha LACLEF, Emma WAUQUIER

et Dimanche 19 mai et 26 mai 2024 à Saint-Raphaël :
Frédérica RATTARO, Mehlaan TARDIVAT et Elodie GAUTHé

Ils sont fous ces romains !

Ils sont fous ces romains ! 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

Les anciennes piles de l’aqueduc de Fréjus nous transportent dans l’histoire, sur un gigantesque chantier : l’aqueduc de Mons qui, sur une distance de
41 km, a convoqué d’innombrables ingénieurs et ouvriers qui ont creusé, taillé, édifié, bâti, terrassé, la roche, la terre, la brique et le mortier des jours et des jours durant… Un chantier colossal mais semblable à une petite goutte d’eau plongée dans l’océan de l’histoire du travail de l’homme. De la peine, de la fatigue, de la sueur, des forces, du sang, des blessures, de la répétition, des épuisements, des lassitudes, des coups de fouet et des salaires, des morts et des vies, de la concentration, de la réflexion, des calculs, du travail, toujours du travail, sans cesse du travail.
Le travail est le principal métronome de nos vies, de nos familles, de nos villes. Il règle la cadence de nos journées, mais aussi la nature de nos relations, et occupe une grande part de nos cogitations.
Il est parfois objet d’une trépidante passion, ou cause de discorde dans les familles, occasion de dépression aussi. Il est omniprésent, d’une présence éclatante et orgueilleuse, d’une présence cachée et apparemment insignifiante, rémunéré ou non, gratifié ou non, l’incapacité à travailler est souvent vécue comme une épreuve.
Une telle activité de l’homme peut-elle être indifférente à Dieu, à l’Église ? Certes non !
En 1955, à l’occasion de la fête du travail du 1er mai, le pape Pie XII institue la fête de Saint Joseph artisan. Il apporte donc à cette date symbolique une portée spirituelle, afin qu’à partir de cette réalité humaine du travail, le regard de l’homme et son âme puissent s’élever vers Dieu.
En effet, comme le 1er mai était le premier jour de l’année comptable des entreprises, des ouvriers américains, en 1888, en feront une journée de revendication salariale et syndicale. Elle sera rapidement adoptée par les français en 1890, puis deviendra chômée en France en 1919 et fériée en 1941.
Ainsi, pour les catholiques, cette « fête du travail » est associée à la fête d’un saint travailleur, le père putatif de Jésus : Saint Joseph. Il nous engage à faire de notre travail un lieu de sanctification. Le travail est au service de l’homme et de sa sainteté, et non pas l’homme au service du travail. Honnête et digne, son salaire ou sa reconnaissance doivent être justes. « Au service de l’homme  », c’est à dire au service de sa dignité et la dignité de l’homme est justement de participer à l’œuvre de Dieu. Car oui, le chrétien sait qu’en travaillant, il participe à l’œuvre créatrice de Dieu sans cesse en voie d’achèvement. En travaillant, il réalise le dessein de Dieu sur lui, sur le monde et sur l’Église.
Par ailleurs, avec Saint Joseph, la proximité du travail avec Jésus Enfant se fait davantage inspirante : « Grâce à son atelier où il exerçait son métier en même temps que Jésus, Joseph rendit le travail humain proche du mystère de la Rédemption. » (Pape François, Redemptoris Custos, 22)
Profitons de cette journée chômée pour prendre de la hauteur vis à vis de notre travail et oser le remettre à sa juste place : ni trop, ni pas assez, il est un serviteur, un moyen pour une vie bonne, pour vivre avec et pour le Seigneur, comme Saint Joseph et l’enfant Jésus, durant leurs si longues années cachées dans leur atelier.
L’Ecclésiaste, dans la Bible, demandait « Que restera-t-il à l’homme de tout son labeur pour lequel il s’est donné tant de peine ? » Il en restera beaucoup s’il s’agit au fond d’édifier le Royaume de Dieu ! Charles Péguy déclarait quant à lui à propos des bâtisseurs de cathédrales : « Ils disaient en riant et pour embêter les curés, que travailler c’est prier et ils ne croyaient pas si bien dire, tant leur travail était une prière. »

Abbé Jean-Baptiste MOUILLARD

Réunion des + 18 ans à l’aumônerie

Réunion des + 18 ans à l’aumônerie 1181 886 Paroisses de Saint-Raphael

Samedi dernier, notre groupe des jeunes post-bac s’est retrouvé à l’aumônerie pour la 2ème fois. Belle ambiance pleine de vie et studieuse comme vous le voyez sur la photo ! Nous avons scruté les récits de la Résurrection dans les évangiles.
Fraternité, formation et prière.
Pour plus de renseignements,
contacter Don Raphaël : 07 81 73 14 93

Journée mondiale des vocations

Journée mondiale des vocations 382 500 Paroisses de Saint-Raphael

La journée mondiale des vocations est proposée par l’Église catholique depuis 1964.
En 1971, le pape Paul VI a choisi le 4ème Dimanche de Pâques pour la célébrer.
On parle du « Dimanche du Bon Pasteur ».
La vocation à la sainteté concerne tout le monde, et il y a différents chemins pour se sanctifier.
En action de grâce pour la reprise des ordinations, je vous rappelle la beauté
et l’importance de la vocation sacerdotale et la joie de répondre à l’appel du Seigneur.
J’exhorte tous les fidèles à prier pour que des réponses joyeuses et généreuses émergent
dans les paroisses et aussi à l’intention de ceux qui seront prochainement ordonnés diacres et prêtres.
Toute la semaine je vous propose à l’issue des messes de semaine de prier un « Je Vous Salue Marie » pour confier à Marie de l’Annonciation, de Cana, de la Croix et du Cénacle tous ceux que le Seigneur appelle, qui s’interrogent,
qui hésitent ou qui se décident à répondre. Mgr François TOUVET

Seigneur, donnez-nous des prêtres !

Seigneur, donnez-nous des prêtres ! 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

« Moi, je suis le Bon Pasteur, le vrai berger, qui donne sa vie pour ses brebis. »
En ce IVème dimanche de Pâques appelé aussi « dimanche du Bon Pasteur  », l’église nous invite à prier pour les vocations sacerdotales. C’est pour moi l’occasion de m’émerveiller devant la vocation magnifique qui est la mienne et celle de mes frères prêtres. « Le prêtre n’est pas prêtre pour lui, il l’est pour vous » disait le curé d’Ars. Dans le concile Vatican II (cf. Lumen Gentium 10), l’Eglise s’est exprimée en disant que les deux sacerdoces (sacerdoce commun reçu au baptême / sacerdoce ministériel reçu par le sacrement de l’ordre) sont ordonnés l’un à l’autre. Si nous sommes prêtres, c’est pour votre sanctification. Notre vie n’a de sens que pour nourrir en vous la vie théologale et vous aider dans votre chemin vers la sainteté. Nous ne pouvons parler de ce que nous sommes dans notre être de prêtre qu’en tremblant face à la grandeur de cette mission car il y a bien un paradoxe : nous avons été ordonnés pour faire grandir les fidèles vers la sainteté et nous sommes nous-mêmes parfois si loin de cette sainteté. C’est bien souvent mon constat lorsque je confesse : je suis témoin de la beauté de la contrition de certains fidèles, de leur désir de conversion et de sainteté, et je m’y sens si loin ! Mais Dieu a pourtant voulu passer par moi, par ses prêtres pour « être avec nous tous les jours jusqu’à la fin des temps » (cf. Mt 28,20). En appelant les douze apôtres puis en les consacrant le Jeudi saint, le Seigneur a inventé le sacerdoce ministériel : les Apôtres ont eux-mêmes imposés les mains à d’autres hommes et ont ainsi permis que se perpétue jusqu’à aujourd’hui le sacrement de l’ordre par ce que la théologie appelle la succession apostolique. Evêques, prêtres et diacres, nous sommes entrés dans cette grande lignée grâce à l’imposition des mains que nous avons reçue le jour de notre ordination. Le prêtre n’est pas un individu marqué par le sceau de Dieu mais il est un membre de l’ordre sacerdotal, frère des prêtres de toute l’histoire de l’humanité qui l’ont précédé et qui lui succèderont. Cet ordre sacerdotal est l’instrument voulu par Dieu pour prolonger l’œuvre du Christ à travers l’histoire. En célébrant les sacrements, en enseignant la Parole de Dieu conformément à la Tradition et au Magistère de l’Eglise et en guidant le Peuple de Dieu dans le gouvernement des paroisses, nous sommes les instruments de Dieu qui continue de donner sa vie à l’humanité assoiffée d’amour. Quelle grâce insigne d’être prêtre ! Et pourtant, vous le savez, nous manquons de prêtres. Même si à Saint Raphaël nous sommes particulièrement bien lotis, nous savons qu’où que nous nous déplacions en France, la crise des vocations se fait sentir de manière de plus en plus vive. Soyons préoccupés des vocations : les jeunes en se posant sérieusement la question, les parents en transmettant la foi aux enfants de manière à ce que le fait de tout quitter pour le Seigneur soit une possibilité heureuse et même enviable, tous par une prière fervente pour nos vocations. Le pape François dit que « les vocations naissent dans la prière et de la prière » alors, au travail ! Demandons de nombreuses et saintes vocations : le renouveau de la foi ne peut pas s’en passer !
Don Raphaël SIMONNEAUX

A Notre Dame de la Paix

A Notre Dame de la Paix 2480 1860 Paroisses de Saint-Raphael

Les 8 nouveaux baptisés de l’institut Stanislas
Zoé BACKER, Antoine CAIS, Lou CONTI, Kéoni DUBARRE
Mahé FAIHY, Emma JANSSEN, Noah MARCELLY
Arthur PALLU

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