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Journées paroissiales d’entrée en Avent

Journées paroissiales d’entrée en Avent 1333 1000 Paroisses de Saint-Raphael

Au clos des Roses avec la paroisse Sainte-Bernadette

A Bargemon avec la paroisse Notre-Dame de la Paix

Une nouvelle année commence

Une nouvelle année commence 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

A partir de ce dimanche, nous commençons une nouvelle année liturgique, une année qui est prévisible car nous savons que nous allons vivre l’incarnation de Dieu à Noël et sa mort et sa résurrection dans le Triduum Pascal. En ce sens, nous pouvons dire que nous sommes traditionnalistes. Mais cette année sera également imprévisible dans ce que Dieu nous donnera comme grâces ; car il nous donnera ce dont nous avons besoin pour grandir. Cela fait partie de notre foi. Aussi, il me semble bon de sentir que nous avons un nouveau départ pour progresser vers le royaume de Dieu. En ce sens, nous pouvons dire que nous sommes progressistes  : nous marchons vers le Ciel, but de toute notre existence. Cette nouvelle année sera prévisible et surprenante à la fois. Quoi qu’il en soit, le Seigneur nous demande de faire de nouveaux progrès : « Pour le reste, frères, vous avez appris de nous comment il faut vous conduire pour plaire à Dieu et c’est ainsi que vous vous conduisez déjà. Faites donc de nouveaux progrès, nous vous le demandons, oui, nous vous en prions dans le Seigneur Jésus. Vous savez bien quelles instructions nous vous avons données de la part du Seigneur Jésus ». C’est en ce sens que nous devons aborder cette nouvelle année. Préparer Noël comme si c’était la première fois, vivre Pâques en s’émerveillant comme un néophyte qui découvre toute la beauté de l’amour de Dieu. Bref, vivre avec un cœur d’enfant : « celui qui se fera petit comme cet enfant, celui-là est le plus grand dans le royaume des Cieux ». C’est ce que prêchait le prédicateur du pape Benoit XVI, Raniero CANTALAMESSA en parlant de la manière de vivre de Don Camillo, figure du prêtre célèbre s’il en est  : « L’un des plus beaux aspects de Don Camillo est lorsqu’il parle à voix haute avec le Christ en croix de tout ce qui se passe dans sa paroisse. Combien de choses changeraient dans notre vie de prêtre si nous prenions l’habitude de le faire, aussi spontanément et avec nos mots. Nous nous apercevrions que nous ne parlons jamais dans le vide, mais à quelqu’un qui est présent, qui écoute et répond  ».
Repartons donc de l’avant avec un cœur plus jeune que l’année passée, afin de grandir toujours plus en laissant triompher en nous l’amour du Christ-Roi de l’univers.

Don Bruno DE LISLE

De belles assises martiniennes

De belles assises martiniennes 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

Comme chaque année la semaine qui suit le 11 novembre, fête de la Saint Martin, tous les prêtres de notre communauté se sont retrouvés du lundi au mercredi derniers pour les 3 jours d’« Assises martiniennes ». Les 190 prêtres et diacres, accompagnés à certains moments de la centaine de séminaristes, étaient réunis pour des temps de prière, de réflexion autour des enjeux de notre communauté et de moments de joyeuses retrouvailles fraternelles. Notre assemblée de cette année était marquée par la présence de nos deux assistants apostoliques – un évêque et un père abbé d’une abbaye de prémontrés – nommés par la congrégation pour le clergé (sorte de « ministère » des prêtres au Vatican) afin de nous accompagner dans la relecture de notre fondation et dans la manière d’envisager la croissance dans la période que nous vivons.
Ces journées ont été un beau ressourcement fraternel et spirituel : nous rendons grâce à Dieu pour son œuvre à travers nos humanités de prêtres, fragiles mais souvent généreuses pour toutes les missions qui nous sont confiées en France et à l’étranger. Don Paul Préaux, notre supérieur général, nous a exhortés à vivre notre sacerdoce comme un débordement de tout l’amour que nous avons reçu de Jésus. « Le sacerdoce, c’est l’amour du Cœur de Jésus » disait le saint curé d’Ars. Notre cœur de pasteurs, appelés et envoyés pour vous conduire à la vie éternelle, doit toujours davantage se conformer au Cœur de Jésus. Notre vie se fonde sur une vie de prière solide dans laquelle nous cultivons en nous la mémoire du Dieu vivant qui est venu nous rencontrer et sur l’amour du peuple envers lequel nous sommes envoyés (vous, nos chers paroissiens !). En lisant la belle encyclique du Pape François Dilexit nos sur la spiritualité du Sacré-Cœur de Jésus, nous sommes tous invités à puiser dans l’amour du Cœur de Jésus, le sens de nos vocations respectives et complémentaires pour faire battre ce Cœur auprès de nos contemporains.
Contempler le cœur de Jésus et puiser notre force en Lui, c’est redire avec sainte Thérèse d’Avila : « Dieu seul suffit ». Permettez moi de vous partager ce bel extrait d’une lettre envoyée aux séminaristes de France par un cardinal représentant du pape à l’occasion d’un rassemblement l’an dernier, lettre que nous avons relue pendant ces Assises :
« Si Jésus me suffit je n’ai pas besoin de grandes consolations dans le ministère, ni de grands succès pastoraux, ni de me sentir au centre de réseaux relationnels étendus; si Jésus me suffit je n’ai pas besoin d’affections désordonnées, ni de notoriété, ni d’avoir de grandes responsabilités, ni de faire carrière, ni de briller aux yeux du monde, ni d’être meilleur que les autres ; si Jésus me suffit je n’ai pas besoin de grands biens matériels, ni de jouir des séductions du monde, ni de sécurités pour mon avenir. Si au contraire je succombe à l’une de ces tentations ou faiblesses, c’est que Jésus ne me suffit pas et que je manque à l’amour »
Même si ces mots sont destinés à des séminaristes ou à des prêtres, je crois que vous saurez en tirer ce qu’il y a de bon pour vous et prier pour que vos prêtres de la Communauté Saint-Martin aient leur cœur toujours plus ressemblant au Cœur de Jésus !

Don Raphaël SIMONNEAUX

Crèche vivante

Crèche vivante 2560 1920 Paroisses de Saint-Raphael


De l’édit, commandant le recensement de la population, …

au départ de Marie et Joseph à Bethleem,

de la naissance de Jésus

aux bergers venus l’adorer à la crèche,

au roi Hérode renseigné par les Rois Mages venus de pays lointains pour s’incliner devant le Sauveur

les Rois Mages venus de pays lointains pour s’incliner devant le Sauveur

Denier de l’Eglise

Denier de l’Eglise 900 450 Paroisses de Saint-Raphael

Le Denier, c’est vraiment vital pour l’Église ! Ne l’oubliez pas…
Le Denier est une participation de chaque catholique à la vie de son diocèse. Il sert à couvrir les dépenses de la rémunération des prêtres du diocèse, leurs cotisations sociales (obligatoires)… la rémunération des salariés administratifs et pastoraux
Donner au Denier, c’est un devoir pour chaque catholique, une façon de remercier pour ce qu’on a reçu, un moyen de permettre que cela dure, un coup de pouce à donner pour que la mission de l’Église se déploie auprès de tous !
C’est un don volontaire, il n’y a pas de tarif ! Chacun donne en conscience selon ses possibilités. Le don moyen augmente chaque année et nous en sommes très reconnaissants mais le nombre de donateurs ne cesse de baisser.

Mes paroles ne passeront pas

Mes paroles ne passeront pas 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

Nous approchons de la fin de l’année liturgique et l’église nous fait méditer sur la parousie, c’est-à-dire le retour en gloire de Jésus.
La perspective des fins dernières peut parfois nous effrayer un peu… Les évènements grandioses qui l’accompagneront peuvent être ressentis comme une menace. Néanmoins, le chrétien ne peut, ni ne doit les craindre car la nouvelle que les trompettes angéliques annonceront, est tout l’objet de notre espérance !
« On verra le Fils de l’homme venir dans les nuées avec grande puissance et avec gloire. »
Enfin ! Voici le cri qui habitera notre cœur !
Enfin, la justice va être rétablie ! Enfin, la guerre et la mort vont être vaincues ! Enfin, Dieu va imposer son règne à toutes les créatures.
Néanmoins, nous ne savons ni le jour, ni l’heure de cette délivrance. Aussi nous faut-il nous appuyer sur cette promesse que le Seigneur nous fait en ce dimanche : « Le ciel et la terre passeront, mes paroles ne passeront pas. »
Dans un monde en perpétuel changement, où tant de voix tentent de détourner notre regard de l’essentiel, nous, chrétiens, avons cette assurance : les paroles de Jésus demeurent et elles sont notre ancre, notre point de repère au cœur des tempêtes. Ses paroles ne passeront pas… Jésus nous l’affirme ! Quel réconfort de savoir que, même dans ce monde fluide, Sa promesse de vie, d’amour et de paix est éternelle !
Chers amis, n’ayons donc pas peur de ce retour de Jésus en gloire. Qu’il soit au contraire notre espérance. Si nous accueillons au quotidien la présence de Dieu, que nous désirons dépendre de sa miséricorde et que nous nous nourrissons de ses sacrements, qu’avons-nous à craindre ? Lorsqu’on demandait à Dominique Savio ce qu’il ferait si jésus revenait, il répondait qu’il continuerait à jouer au foot. Alors nous-mêmes, vivons, cette semaine, nos activités en union avec Jésus.
Ne nous laissons pas troubler par les bruits du monde, mais gardons les yeux fixés sur Celui qui revient, non pas comme un juge sévère, mais comme un Père qui vient prendre soin de ses enfants, qui vient leur redonner la plénitude de la vie.
Alors, ne craignons pas l’annonce de ce jour glorieux. Au contraire, laissons notre cœur s’y préparer avec joie et confiance. Prions pour que chaque jour de notre vie soit une réponse à cet amour infini, et que, lorsqu’Il reviendra, Il nous trouve vdeillant, prêts à L’accueillir et à célébrer avec Lui l’accomplissement de Sa promesse.

Don Louis Marie DUPORT

Les concerts de l’archange

Les concerts de l’archange 740 1034 Paroisses de Saint-Raphael

Immense succès pour ce premier concert de l’Archange organisé et présenté par les Amis de la Basilique. Une basilique remplie de mélomanes qui ont pu apprécié l’interprétation des classiques de Gounod, Vivaldi, Caccini etc…

Heureux les cœurs purs

Heureux les cœurs purs 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

Jésus commence par dire « méfiez-vous » ! Méfiez-vous, car tout ce qui a l’apparence d’être religieux ne l’est pas forcément, cela peut n’être que «  pour l’apparence ».
Et méfiez-vous de votre façon de juger de celle qui n’a pas d’apparence, cette pauvre veuve, qui, sans que cela se voit, a fait un acte religieux très absolu : elle n’a pas donné un peu puis gardé le reste pour s’acheter du pain, non, en donnant le peu qu’elle avait, elle a donné même tout ce qu’elle avait pour vivre, en un acte vraiment religieux, non pour se faire admirer des hommes, mais, en quelque sorte, de son Dieu…
Le Seigneur Jésus, qui est le Seigneur du Temple (il le dit Lui-même : «  il y a ici plus que le Temple », Mt 12,6), a vu que son acte était vraiment religieux, un vrai acte d’amour et de foi, pas une manière de provoquer ou d’obliger Dieu. « Je sonde les reins et les cœurs » (Ap 2,23), et je peux juger des intentions qui sont dans le cœur des hommes.
Ce qui a l’apparence d’être religieux quelquefois ne l’est pas du tout, et ce qui n’a pas l’apparence d’être religieux, quelquefois est très authentiquement un cœur à cœur avec Dieu.
« L’homme regarde ce qui paraît, mais Dieu regarde le cœur. » (1Sam 16,7).
« Heureux les cœurs purs, car ils verront Dieu. » (Mt 5,8). Heureux les cœurs purs, qui cherchent à purifier leurs intentions pour qu’elles soient vraiment pures, le plus possible. Sans spiritualisme excessif, cependant, en voulant être purs comme des anges, avec le risque de devenir orgueilleux comme des démons. Qui fait l’ange se retrouve à faire la bête. « Ceux-là (des monstres bien masqués) recevront une condamnation plus sévère ! »
Il ne s’agit pas de ne pas vouloir de signes de reconnaissance : nous en avons un besoin fondamental pour vivre. C’est dans notre nature.
Mais sans souillure non plus dans les intentions. Le cœur pur, cela veut dire : agir non pas par vaine gloire, non pas pour y retrouver son compte, non pas pour se faire valoir, pour briller aux yeux des hommes avec des signaux sociaux pour que l’on voit subtilement que vous êtes l’homme le plus important du village, la femme la plus considérable… Il faut essayer de purifier ce souci “social”.
« Pour l’apparence », dit Jésus. Quelle mesquinerie parfois, quelle duplicité souvent, chez ceux qui sont préoccupés par ce souci de l’apparence, «  alors qu’au-dedans, c’est plein de méchanceté » (Mt 23,27-28).
Sur cette terre, nous sommes tous sous le regard les uns des autres. Certes, cela compte beaucoup dans la vie sociale. On ne peut pas s’en détacher complètement, ce serait aller contre nature. Mais on peut essayer un peu, essayer de ne pas « tout faire pour se faire admirer » (Mt 23,5). Pas “tout” mais “un peu moins” faire pour se faire admirer des hommes, et “un peu plus” faire dans une religion, c’est-à-dire une relation véritable avec Dieu. Le cœur qui cherche à être pur doit savoir relativiser toujours plus ce « un peu », jusqu’à devenir libre du regard des autres. Mais non pas comme un ange : comme un fils, celui qui a un Père dans le Ciel. « Ton Père, qui voit dans le secret, te le rendra ! » (Mt 6,4). Vouloir se faire admirer de Dieu  : voilà le cœur qui se purifie, sans aller contre sa nature ; voilà qui verra Dieu parce qu’il lui sera devenu semblable en bonté, vérité, liberté, joie pure réservée aux enfants au cœur pur.

Don Laurent LARROQUE

La foi chrétienne est liée à la mémoire

La foi chrétienne est liée à la mémoire 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

Durant tout l’Ancien Testament, Dieu n’a de cesse de répéter à son peuple de faire mémoire de tout ce qu’il a reçu durant son existence. On peut lire dans le livre du Deutéronome au chapitre huitième : « Souviens-toi de la longue marche que tu as faite pendant quarante années dans le désert » et un peu plus tard « Garde-toi d’oublier le Seigneur ton Dieu, de négliger ses commandements, ses ordonnances et ses décrets, que je te donne aujourd’hui ». Ce décret fait partie de la pédagogie de Dieu pour que le peuple ne passe pas trop vite sur les évènements de ce monde et surtout sur les bienfaits qu’il leur prodigue. Car c’est souvent une tentation, que nous connaissons bien, de vivre l’instant présent (Carpe Diem) et d’oublier Celui qui nous a permis de vivre. Nos générations qui ont été éduquées avec l’esprit de consommation, sont plus fragiles que les autres.
Cette mémoire demandée par Dieu continue bien évidement dans le nouveau Testament. Jésus instituant l’Eucharistie avant de mourir dit à ses apôtres : « Faites ceci en mémoire de moi ». Si Dieu nous donne ce commandement tout au long de la révélation, c’est que cela est bon pour l’homme, même nécessaire. Ainsi, sans vivre dans le passé et dans la nostalgie, il nous faut nous souvenir de la bonté de Dieu pour nous et des intermédiaires de cette bonté. C’est pour cela que nous nous préparons à la solennité de la Toussaint durant laquelle nous chanterons la gloire éternelle de Dieu, de concert avec tous les saints du ciel. Avec eux, nous nous souviendrons de tout ce que Dieu a fait pour son peuple triomphant qui vit avec lui maintenant au ciel. Le lendemain, nous nous souviendrons encore de nos défunts, ceux qui nous ont précédés, que nous avons aimés et que nous aimons encore. Nous nous souviendrons du bien qu’ils ont pu nous apporter et nous prierons pour le repos de leurs âmes.
Bref, en tout temps, la mémoire de l’action de Dieu dans nos vies, le souvenir de ceux que nous avons aimés, ne doit pas nous quitter. C’est pour cela que nous allons dans nos cimetières nous recueillir et nous souvenir de l’amour que Dieu a mis dans nos vies. Les cimetières, lieux hors du temps, se doivent être des lieux où l’amour de nos défunts et le nôtre se rencontrent. Vivons ces moments comme des moments de grâces même s’ils peuvent être empreints de tristesse et de souvenirs douloureux. Dieu travaille nos âmes en ces instants bénis.

Don Bruno de LISLE

Fête de la Toussaint et des Défunts

Fête de la Toussaint et des Défunts 709 477 Paroisses de Saint-Raphael

Bénédiction de la mer

Bénédiction au cimetière d’A. Karr

Bénédiction au cimetière de l’Aspé

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