ô Sacré-Coeur de Jésus,
de tout ce que vous avez fait pour sauver nos âmes,
et ne les laissez pas périr.
Souvenez-vous de l’éternel
et immense amour que vous avez eu pour elles ;
ne repoussez pas ces âmes
qui viennent à vous défaillantes
sous le poids de leurs misères,
oppressées sous celui de tant de douleurs.
Soyez touché de notre faiblesse,
des dangers qui nous environnent de toutes parts,
des maux qui nous font soupirer et gémir.
Remplis de confiance et d’amour,
nous venons à votre Coeur, ô Jésus,
comme au coeur du meilleur des pères,
du plus tendre et du plus compatissant des amis.
Recevez-nous, ô Sacré-Coeur,
dans votre infinie tendresse,
faites-nous ressentir les effets
de votre compassion et de votre amour ;
montrez-vous notre appui,
notre médiateur auprès de votre Père.
Au nom de votre sang et de vos mérites,
accordez-nous la force dans nos faiblesses,
la consolation dans nos peines,
la grâce de vous aimer dans le temps
et celle de vous posséder dans l’éternité.
Ainsi soit-il.
prière pour le pardon des péchés
Voici à vos pieds, ô Mère de Dieu,
un pauvre pécheur, esclave de l’enfer :
il a recours à vous et il se confie à vous.
Sans doute, je ne mérite pas
même un seul de vos regards.
Mais, je le sais aussi, à la vue de votre Fils,
mort pour sauver les pécheurs,
vous éprouvez un extrême désir
de leur venir en aide. Ô Mère de miséricorde,
regardez mes misères et prenez-moi en pitié.
J’entends que tout le monde
vous appelle refuge des pécheurs,
espérance des désespérés,
secours des abandonnés.
Vous êtes donc mon refuge,
à moi, mon espérance, mon secours.
A vous, par votre intercession, de me sauver.
Pour l’amour de Jésus-Christ,
soyez-moi secourable.
Tendez la main à un malheureux qui,
tombé sur la route, implore votre assistance.
Je sais encore que vous mettez votre joie
à relever un pécheur quand vous le pouvez.
Vous le pouvez maintenant pour moi,
venez donc à mon secours.
Mes péchés m’ont fait perdre
la divine grâce et mon âme.
Aujourd’hui je me mets entre vos mains :
dites-moi ce que j’ai à faire
pour rentrer dans l’amitié de mon Dieu,
je suis prêt à vous obéir en tout.
C’est lui-même qui m’envoie vers vous
pour que vous m’assistiez.
Il veut que je recours à votre miséricorde
et qu’ainsi je doive mon salut
non pas seulement aux mérites de votre Fils,
mais encore à vos prières.
Me voici donc devant vous :
vous priez pour tant d’autres ;
priez aussi pour moi votre Jésus.
Dites-lui qu’il me pardonne,
et il me pardonnera.
Dites-lui que vous désirez mon salut,
et il me sauvera.
Montrez le bien que vous savez
faire à qui se confie en vous.
C’est mon espérance : qu’elle se réalise !
Ainsi soit-il.
Mon Dieu, Il y a des jours
où je ne sais pas où tu m’amènes
et, cependant, je sens que tu me tiens la main
et que tu ne me lâcheras pas.
Tu me l’as tellement prouvé !
A deux reprises, j’ai été sur le point de te retrouver. C’est du moins ce que disaient les médecins…
Et je suis toujours là !
Je pense que je n’étais pas prête !
Oh ! non, pas prête du tout…
Je pense que toutes les épreuves que j’ai subies sont autant de grâces que tu m’as accordées.
Aide-moi à toujours conserver l’espérance.
Aide-moi à voir tout autour de moi
ces mains qui se tendent,
aussi bien pour donner que pour recevoir.
Aide-moi à te retrouver
dans ces visages qui m’entourent.
Donne-moi la patience qui me manque souvent.
Aide-moi à toujours faire preuve de charité.
Et puis, à ma place,
aide-moi à toujours être témoin de l’Evangile.
Si je tombe, mon Dieu, aide-moi à me relever
et à repartir d’un pas plus alerte que jamais
et cela, jusqu’à l’heure de ma mort.
Il n’y a que Toi qui puisses m’aider.
Toi seul sait à quel point !
La solitude, ça n’existe pas lorsque l’on croit en Toi.
Je sais que je peux tout te dire,
que tu me guideras,
que tu m’éclaireras comme un père
qui n’abandonne jamais son enfant
et qui le protège à tout instant.
Aide-moi à toujours avoir foi en Toi.
Je te demande beaucoup,
mais j’ai oublié l’essentiel :
merci, mon Dieu, d’être toujours près de moi.
Jeanine Dubois
Revue Vermeil n°216 (février-mars 2001)
Seigneur, aie pitié de moi
et envoie-moi ton serviteur saint Raphaël Archange pour marcher devant moi et me guider.
Saint Raphaël, ange de la bonté divine
et exécuteur des décrets de la Providence divine
du Père envers les hommes, je t’invoque.
Saint Raphaël viens à mon secours
et assiste moi dans ma détresse.
Je sais que je suis indigne
de bénéficier de ton assistance
à cause de mes péchés qui sont plus grands que moi
Cependant j’espère en la Miséricorde divine du Père
qui n’a jamais fait défaut à tous ceux qui l’invoquent.
Animé de cette confiance, je t’appelle à mon secours,
ô puissant et aimable protecteur
des opprimés et de ceux qui souffrent.
Dieu t’a établi médecin des corps et des âmes.
Tu es le guide fidèle des voyageurs,
le repos dans la fatigue et un réconfort dans la détresse.
Toi qui as ouvert les yeux du saint vieillard Tobie,
ouvre les yeux de mon âme
pour contempler les merveilles de Dieu dans ma vie.
Toi qui as accompagné le jeune
et pieux Tobie dans ses pérégrinations,
accompagne-moi chaque jour
dans mon pèlerinage terrestre jusqu’au jour
où je rejoindrai la maison du Père céleste.
Toi qui as délivré la belle et pieuse Sara
des oppressions de l’esprit impur,
délivre-moi des mains de mes adversaires visibles
et invisibles et prends-moi sous ta protection.
Puissant et glorieux guide,
je te demande de visiter ma famille,
mon travail et de m’apporter la paix
et le repos au milieu des difficultés que je traverse.
Mes problèmes me dépassent, viens à mon secours. Guide-moi sur le bon chemin
afin que je puisse marcher
dans la crainte de Dieu et l’amour du prochain.
Aide-moi à porter secours à mon frère
qui est dans le besoin.
Donne-moi la force de louer Dieu en toute circonstance et de ne jamais abandonner la prière.
Sois mon défenseur et mon protecteur,
mon guide et mon conseiller.
La route est longue et parsemée de dangers
mais avec toi à mes côtés,
j’ai confiance et je n’ai peur de rien.
Merci à toi mon puissant protecteur
pour tout ce que tu ne cesses de faire pour moi !
Saint Raphaël, priez pour nous !
Saint Raphaël, priez pour nous !
Saint Raphaël, priez pour nous !
Face à l’épidémie de coronavirus dans l’Hexagone, la peur n’est pas loin de s’installer.
Comment ne pas céder à la panique d’être soi-même infecté ? En priant Saint Roch, le saint le plus invoqué depuis le Moyen Âge contre les épidémies.
Sa protection s’est progressivement étendue au monde agricole, aux animaux, aux catastrophes naturelles et aux maladies graves.
De façon plus récente, il est également un exemple de solidarité humaine et de charité chrétienne,
sous le signe du bénévolat.
Roch est né à Montpellier entre 1348 et 1350, en pleine épidémie de la Grande Peste qui décima près de 35% de la population de toute l’Europe. Il y connut les terribles épidémies de peste de 1358 et 1361, cette dernière fit jusqu’à 500 morts par jour, pendant trois mois.
Orphelin à 20 ans, il décide de vendre ses biens et de se faire pauvre du Christ à l’exemple de François d’Assise. La peste sévissant alors en Italie, il se dévoue aux soins des pauvres pestiférés et obtient beaucoup de guérisons. Atteint à son tour de la maladie, il est miraculeusement guéri. Considéré comme espion, saint Roch est mis en prison. Il y meurt au bout de cinq ans après avoir reçu les sacrements et révélé sa véritable identité au prêtre. Peu de temps après sa mort, son culte devient très populaire en Italie, en France puis dans toute l’Église.
Prière d’intercession à saint Roch
Saint Roch,
Vous avez soigné avec tant de générosité,
de charité, les malades atteints de la peste.
Dieu vous a accordé plusieurs fois
de guérir par le signe de la Croix,
des malades considérés comme perdus.
Avec grande confiance,
nous nous adressons à vous et nous vous supplions :
intercédez auprès du Seigneur,
pour nous obtenir amélioration, guérison,
si Dieu le permet, dans les maladies graves.
Préservez-nous des épidémies,
Secourez-nous dans les maladies du corps,
mais aussi de l’âme.
Avec grande confiance, nous vous prions
de nous protéger de la foudre dans les orages
Saint Roch, priez pour nous.
Cœur Sacré de Jésus, j’ai confiance en vous,
Cœur douloureux et immaculé de Marie,
priez pour nous.
Amen.
%MCEPASTEBIN%
Suite à l’épidémie de coronavirus, les fidèles ne peuvent plus assister à la messe et communier. Mais ils peuvent faire une communion spirituelle, comme l’a rappelé Mgr Centène, évêque de Vannes.
Communier spirituellement, c’est s’unir à Jésus-Christ présent dans l’Eucharistie, non pas en le recevant sacramentellement, mais par un désir procédant d’une foi animée par la charité. Elle est constituée essentiellement par un désir de l’Eucharistie.
C’est ce que dit saint François de Sales « Mais quand vous ne pourrez pas avoir ce bien de communier réellement à la sainte messe, communiez au moins de cœur et d’esprit, vous unissant par un ardent désir à cette chair vivifiante du Sauveur ».
1er principe : la foi en la présence du Christ dans l’Eucharistie comme source de vie, d’amour et d’unité. C’est parce que l’Eucharistie, selon la promesse de Notre-Seigneur, est le pain de l’âme, un aliment de vie, une nourriture spirituelle, que l’on veut effectivement s’en nourrir. Toute la liturgie eucharistique, en nous rappelant cette pensée, nous invite à y voir le caractère propre du sacrement.
2ème principe : l’efficacité du désir peut suppléer l’acte sacramentel. C’est un principe admis que le désir supplée l’acte, quand celui-ci ne peut être accompli en lui-même. La fin, dit saint Thomas, est contenue dans le désir. Par le désir, la communion est en quelque sorte accomplie ; sans doute elle ne l’est pas matériellement ; mais, puisqu’il faut distinguer dans le sacrement, le signe et la réalité, le désir atteint la réalité sans passer par le signe.
Le mouvement sincère et efficace de l’âme vers la vie est déjà un mouvement de vie. Celui qui tend vers la vie du Christ dans l’Eucharistie la trouve, car le Christ ne manque pas à ceux qui le cherchent.
Les effets produits sont de même nature que dans la communion eucharistique, augmentation de la grâce sanctifiante, grâces d’amour, de vie, de pureté, d’unité. On rapporte de sainte Angèle de Mérici que lorsqu’on lui interdisait la communion de chaque jour, elle y suppléait par de fréquentes communions spirituelles à la messe, et elle se sentait parfois inondée de grâces semblables à celles qu’elle aurait reçues si elle avait communié sous les espèces sacramentelles.
Ces effets peuvent être supérieurs à ceux qui sont produits dans la communion sacramentelle, si les dispositions sont très pures, mais à égalité de dispositions, ils sont évidemment moins abondants que dans la communion eucharistique. « Il peut arriver que vous fassiez cette communion spirituelle avec une telle ferveur, que vous méritiez autant de grâces que le prêtre en obtient par la communion sacramentelle, bien que, pour lui, des dispositions semblables unies à la réception du sacrement aient pour résultat des grâces plus abondantes » (Vénérable Louis Dupont).
D’après beaucoup d’auteurs, la communion spirituelle pour être fructueuse, requiert l’état de grâce. Mais il n’est pas nécessaire de se confesser, un acte de contrition parfaite suffit. En cas de contrition imparfaite, il n’y aurait pas de péché ; il y aurait même un bon désir, mais les fruits attachés à la communion spirituelle ne seraient pas produits.
Puisqu’il ne nous est pas donné de nous unir au Christ par la réception réelle de l’Eucharistie, nous nous unirons en esprit par le doux lien d’un amour paisible et tranquille.
Nous terminerons la communion spirituelle en remerciant et en louant Jésus. La communion spirituelle peut être faite aussi souvent que l’âme le désire. Les avantages de la communion spirituelle ne doivent permettre ni d’en exagérer ni d’en minimiser l’importance. Elle tire sa valeur de la communion sacramentelle, mais les richesses du trésor eucharistique ne doivent pas faire négliger l’appoint spirituel de ce désir intérieur du cœur.
Et c’est le sens à retenir sans doute de la parole adressée à l’humble sœur Paula Maresca
par le Christ, qui lui montrait deux vases précieux, l’un d’or et l’autre d’argent. « Dans le vase d’or, dit-il, je conserve vos communions sacramentelles et dans le vase d’argent, vos communions spirituelles ».
Source : Denis SUREAU, Revue Transmettre
Vierge sainte, au milieu de Vos jours glorieux, n’oubliez pas les tristesses de la terre.
Jetez un regard de bonté sur ceux qui sont dans la souffrance,
qui luttent contre les difficultés
et qui ne cessent de tremper leurs lèvres aux amertumes de cette vie.
Ayez pitié de ceux qui s’aimaient et qui ont été séparés.
Ayez pitié de l’isolement du cœur.
Ayez pitié de la faiblesse de notre foi.
Ayez pitié des objets de notre tendresse.
Ayez pitié de ceux qui prient, de ceux qui pleurent, de ceux qui tremblent.
Donnez à tous l’espérance et la paix. Amen.
Initialement, samedi 14 mars, était prévue, à la Basilique, à 20h30, une veillée pour la vie.
A 19h30, le Premier ministre, Edouard PHILIPPE annonçait la suspension des célébrations liturgiques, à partir de minuit. D. Stéphane, via les réseaux, en informait les paroissiens. En quelques minutes, une centaine d’entre eux se retrouvait à la Basilique pour la célébration de la messe anticipée du dimanche, ultime messe avant la suspension.
Dans son homélie, D. Martin faisait remarquer aux fidèles que cette messe avait quelque chose d’un Samedi Saint, en attente d’un temps de Résurrection à venir.
Il invitait les paroissiens présents à vivre ce Carême, un peu particulier, comme une traversée du désert. Faisant référence à l’Evangile du jour, celui de la Samaritaine à qui Jésus réclame à boire, D. Martin poursuivait et demandait à la Vierge Marie et à Saint Joseph, fêté le 19 mars, de nous aider à rejoindre Jésus, source de la vie et de l’Eglise. La messe fut suivie d’un temps d’adoration devant le Saint Sacrement exposé, ponctué d’intentions de prière et de chants.
A la fin de ce temps de célébration, D. Stéphane remerciait chacun de sa présence et concluait en demandant que, pendant ce temps d’épreuve, une solidarité inventive anime chacun. Une fois l’épreuve passée, notre Foi sera plus forte, notre Espérance plus intense, notre Charité plus rayonnante !
La vente hivernale de charité de l’Entraide Paroissiale s’est déroulée les 21 et 22 février derniers.
Sous un soleil radieux et dans une ambiance chaleureuse où règnent amitié, partage et charité, les nombreux visiteurs ont permis de réaliser une belle recette qui servira à l’aide en faveur des plus démunis de notre ville.
Un grand merci à toutes ces visiteurs, aux membres de l’entraide œuvrant tout au long de l’année, à la quarantaine de « bénévoles d’un jour » qui nous ont aidé pour la mise en place, la vente et le demontage, sans qui cette manifestation ne connaîtrait pas un tel succès.Et puisque tous nous le demandent, nous nous retrouverons en septembre !
Vendredi dernier, lors de la grande soirée des groupes PGM à Notre-Dame de la Paix, une cinquantaine de participants et hôtes de Petits Groupes de Maison s’est rassemblée.
La soirée fut ouverte sur un moment de partage autour d’une soupe de carême, avant d’écouter un enseignement de Don Martin sur le sens de ces PGM.
Toute l’assemblée s’est par la suite partagée en petits groupes de réflexion. Puis la soirée s’est terminée par un moment de prière et de louanges. Chacun a pu confier son groupe à St Joseph.
Les PGM sont ouverts à tous ! N’hésitez-pas à vous inscrire à l’aide des tracts au fond des églises.