Je suis né le 19 novembre 1962 à Poitiers. Entré au séminaire de Gênes (Italie) en 1983, dans le cadre de la Communauté Saint-Martin, ordonné prêtre le 4 juillet 1989 à Gênes. Etudes supérieures à Rome, (Institut Biblique Pontifical) et à Jérusalem, Ecole Biblique, 1988-1993, licence et préparation au doctorat. Apostolat paroissial à Saint-Raphaël, un an vicaire à Notre-Dame de la Victoire (1993-1994) et 9 ans vicaire à Sainte-Bernadette (1994-2003). Conclusion du doctorat à Rome (2003-2008), publication de la thèse (sur Matthieu 18,21-35). De nouveau apostolat en paroisse (Montoire-sur-le-Loir, Loir et Cher) et professeur au séminaire de la Communauté Saint-Martin à Candé puis Evron (Mayenne), 2008-2014. De 2014 à 2019, apostolat à mi-temps à Genova-San-Quirico, dans l’Archidiocèse de Gênes, dans les paroisses confiées à la Communauté, et comme responsable international du Mouvement Sacerdotal Marial). En 2019-2020, administrateur d’une des paroisses autour de San-Quirico (Morego).
Me voici maintenant de retour avec joie à la Paroisse Notre-Dame de la Victoire, comme vicaire et professeur d’Exégèse (Bible) au séminaire de Toulon. Pour vous servir, ad majorem Dei gloriam (pour la plus grande gloire de Dieu) ! Don Laurent LARROQUE
Chers paroissiens, dans les semaines, les mois et les années à venir nous allons avoir le temps de nous connaitre et de tisser des liens, mais voici déjà quelques mots pour me présenter en ce début d’année pastorale :
Je suis le petit dernier d’une famille de 5 enfants. J’ai grandi en région parisienne avant de faire une école d’ingénieur à Bordeaux puis à Paris (ENSAM). A la fin de mes études je suis d’abord entré au séminaire de la Compagnie Saint-Sulpice pour le diocèse de Nanterre avant de rejoindre la Communauté Saint Martin en 2008 que j’ai connue au détour d’un pèlerinage.
Ordonné diacre en 2011 j’ai eu la joie de faire mon stage à Saint Raphaël. J’étais au service de l’aumônerie (avec Don Hugues) et de la Basilique (avec Don Bruno). Ordonné prêtre en 2012 j’ai été envoyé à Vouvray (près de Tours) pour 4 ans puis à Meyzieu (près de Lyon) pour 4 années supplémentaires. Me voici de retour ici, où je suis heureux de vous être donné pour les
6 prochaines années et pourquoi pas un peu plus !
Je vous donne déjà rendez-vous si vous pouvez le dimanche 13 septembre à 15h à la Basilique Notre-Dame de la Victoire pour la messe d’installation. Merci de l’accueil que vous réservez à notre nouvelle équipe !
Don Marc-Antoine CROIZE-POURCELET
Le président, le Docteur Jean-Jacques Canet, a adressé la lettre suivante
aux paroisses de Saint-Raphaël dans le cadre de l’action de Carême 2020 :
«Monsieur le Curé,
Au nom de l’Association Médicale Gabriel, je vous remercie du fruit de la campagne de carême. Grâce à ces dons, nous serons en mesure d’aider à la fondation d’une nouvelle maison médicale pluridisciplinaire à Nantes. Cela nous aidera également dans nos autres objectifs : mise en place de formation, autres demande d’aide à la fondation de maisons médicales…
Vous renouvelant mes remerciements, je confie l’Association médicale Gabriel à votre prière et vous prie de recevoir l’expression de ma profonde reconnaissance.»
UN GRAND MERCI A VOUS TOUS POUR VOTRE GRANDE GENEROSITE
Les festivaliers Anuncio sont venus à Saint-Raphaël du 2 au 8 août pour annoncer aux vacanciers la Bonne Nouvelle que Jésus nous a transmise. L’occasion de découvrir Jésus, son message et la place qu’Il prend dans nos vies. Et au final, s’il ne restait que Dieu dans nos vies ?
Leur T-shirt violet Anuncio sur le dos, Caroline et Cyprien vont à la rencontre des passants dans la rue. Si la première minute peut paraître surprenante pour Sophie et Dorian (depuis quand parle-t-on de Dieu dans la rue ?), ils participent ensuite activement à la conversation : Sophie (catholique) est heureuse de pouvoir parler de Dieu ouvertement et Dorian (peu initié à la question religieuse) se pose quelques questions sur son existence.
Chacun leur tour, Caroline et Cyprien leur expliquent comment ils ont reçu le message de Jésus, comment ils ont été touchés et au final pourquoi ils croient en Lui.
Enfin, après avoir répondu à quelques questions sur la Foi catholique, ils proposent de prier pour Sophie, Dorian et d’éventuelles intentions particulières.
Sur le départ, ils offrent une « Bible en bref » à Dorian pour qu’il découvre par lui-même le message de Jésus.
Voilà la mission-type effectuée par les missionnaires Anuncio : une rencontre, des questions, un ou des témoignages, une prière, un outil missionnaire donné (Bible, médaille miraculeuse, parole).
Nul ne sait si les personnes approchées rencontreront Jésus à leur tour : ça, c’est le travail de l’Esprit-Saint ! Le missionnaire ne fait que semer la Parole.
Message particulier pour les paroissiens de SAint-Raphaël
Toutes ces grâces sont permises par toute une chaîne fraternelle dont les paroissiens de Saint-Raphaël font partie : tous les missionnaires Anuncio venus à Saint-Raphaël remercient du fond du cœur D. Stéphane et tous les paroissiens pour leur accueil et leurs dons (de nourriture en particulier) : comment aurions-nous pu annoncer la Bonne Nouvelle sans être accueillis dans les locaux de la paroisse ? Comment aurions-nous pu évangéliser avec le ventre vide ?
Tous ces gens qui retournent vers Dieu le font grâce au concours de tous ! Nous avons passé un joyeux et intense festival et c’est en grande partie grâce à vous !
Rendons gloire à Dieu : Il a fait des merveilles !
Le Bon Conseil, patronage catholique a été créé en 1894 par l’abbé Esquerré dans le 7ème arrondissement de Paris.
Il compte actuellement 2.600 jeunes et est ouvert 7 jours sur 7. Plus de 40 activités sont proposées. Il compte 200 bénévoles, 60 salariés et dirigé par l’abbé Vincent de Mello depuis 12 ans. Devise des Patronages : Ici on joue ici on prie.
Le patronage du Bon Conseil, maison catholique qui accueillent des centaines de jeunes depuis maintenant plus de 125 ans, n’a pas fait exception à la règle. Dans la vallée de l’Arvan qui surplombe Saint Jean de Maurienne, célèbre par le col de la Croix de Fer, plus de cent jeunes de 8 à 18 ans ont peuplé l’endroit de leurs chants et de leur bonne humeur. Le but du séjour : lier de belles amitiés sous le regard du Christ, en profitant des paysages splendides offerts par les montagnes qui dominent le site, à plus de 2.000 mètres. Les souffrances endurées pendant les randonnées étaient vite oubliées en atteignant les cîmes. La beauté de la création qui s’étale sous les pieds des enfants leur fait oublier le quotidien parisien.
Les éducateurs ont à cœur de les encadrer avec amour et bienveillance, deux mots si galvaudés aujourd’hui. Mais au chalet, ce ne sont pas seulement des termes vidés de leur sens, c’est une réalité que chacun porte au plus profond de son âme. « Devenir meilleur avec le Christ », telle est la devise du Bon Conseil pour forger des hommes et des femmes fermes dans leur foi, qui n’ont pas peur de témoigner de l’amour de Dieu dans un monde en recherche d’idéal et d’absolu. Quel meilleur exemple pour des adolescents de 14 ans que de se savoir guidés pendant dix jours par des jeunes adultes qui se mettent au service, gratuitement, par amour et par passion de l’éducation.
À l’issue des camps, pour les plus grands d’entre eux, des lycéens et leurs éducateurs, l’aventure devait les amener beaucoup plus loin, plus au sud, à Saint-Raphaël. Localité : le sud. Température : élevée, très élevée. Accueilli par les paroisses, le groupe a sillonné la région et les plus beaux sanctuaires et abbayes qu’elle recèle : Cotignac, la Sainte-Baume, Le Thoronet. Ce furent cinq jours rythmés par la prière, des jeux en tout genre, des baignades dans cette eau très salée mais dont la température a de quoi rendre jaloux l’ouest de la France. En bref, c’est un séjour pour le moins agréable, dans l’une des plus belles régions de notre pays. Si le contexte porte au laisser-aller et à l’insouciance des vacances, le but spirituel du camp n’est pas mis de côté, bien au contraire. Chaque lieu visité est l’occasion pour tous de méditer sur sa foi, sur la figure de saint Joseph et sainte Marie-Madeleine ou sur l’état de vie des petites Sœurs de Bethleem. Les enseignements du Père de Mello, ou ceux dispensés par les éducateurs, ouvrent la porte à la discussion personnelle avec chacun d’eux. Accompagner les jeunes confiés à la responsabilité du Bon Conseil, les faire grandir, les faire prier sont autant de missions à remplir, que les encadrants prennent avec beaucoup de sérieux. C’est de cette manière que de nombreux enfanst et jeunes décident à leur tour de se mettre au service des plus petits : ils ont reçu un trésor, et veulent dorénavant le transmettre. Le camp de cet été 2020, en dépit de l’angoisse véhiculée par les informations qui tournent en boucle et asphyxient ceux qui les écoutent, aura permis de révéler des futurs éducateurs, impatients de témoigner de la joie qui les habitent, désireux de la partager autour d’eux. C’est une des missions du Bon Conseil, mise en application en Provence pendant quelques jours.
Certaines personnes refusent de porter le masque durant les célébrations dans nos églises. Elles s’appuient sur des « révélations » diffusées par un site canadien, en particulier un « message » de Marie daté du 16 mai, adressé à Edson Glauber (Brésil). Ces révélations sont condamnées par l’évêque du lieu et par Rome.
La congrégation pour la Doctrine de la Foi a fait savoir qu’elle considérait ces apparitions comme inauthentiques.
Le 18 avril 2017, la prélature d’Itacoatiara publie un communiqué dans lequel elle annonce
la « non reconnaissance de l’authenticité des apparitions », conformément à la position de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi. Elle ordonne le silence sur les prétendues apparitions, demandant à ce qu’il n’en soit plus fait mention dans le culte et à ce que la divulgation des messages soit interrompue.
Le 2 décembre 2017, Mgr Sergio Eduardo Castriani, archevêque de Manaus, publie une lettre ouverte à l’attention de M. Edson Glauber et de l’association responsable du sanctuaire d’Itapiranga pour un rappel à l’obéissance aux autorités ecclésiales, dans l’attente d’une décision ultérieure sur les événements d’Itapiranga.
Le P. Aguila, doyen de l’Est-Var, a adressé à tous les curés du doyenné,
le décret paru au journal officiel du 11 juillet 2020, concernant les lieux de culte,
espaces clos accueillant du public, avec l’obligation du port du masque.
J’ai eu la grâce de naître dans une famille catholique, il y a tout juste 29 ans. Baptisé dans le diocèse de Montauban, j’ai essentiellement vécu à Angers où j’ai été confirmé. C’est dans cette ville que la question d’une vocation a discrètement commencé à faire son chemin en moi, au lycée, puis au cours de mes études.
Je me suis finalement décidé, grâce à un ami et suis entré au séminaire de la Communauté Saint-Martin en 2014. Me voici diacre depuis le 26 juin dernier
et Raphaëlois pour le mois, avant de me rendre à Rome où je suis envoyé poursuivre des études sur les Pères de l’Eglise.