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« Bilan comptable » des paroisses de Saint-Raphaël

« Bilan comptable » des paroisses de Saint-Raphaël 1181 822 Paroisses de Saint-Raphael

«Bilan comptable» des paroisses de Saint-Raphaël

Chers amis,

Après le bilan des actes de catholicité de 2020 dans la FIP d’il y a deux semaines, voici maintenant le bilan comptable des paroisses de Saint Raphaël pour l’année écoulée. Ces « camemberts » vous présentent les principaux postes de dépenses et de recettes. D’abord un grand merci pour votre générosité. Comme vous le savez -mais il est toujours bon de le rappeler- la paroisse ne vit que de dons, elle ne reçoit pas de subventions, ni de l’état, ni du Vatican ! Sans vous la mission de l’église à Saint-Raphaël ne serait pas possible.

Les quêtes de funérailles et les offrandes des messes ne sont pas incluses dans ces chiffres, elles sont intégrées dans une autre comptabilité ; Il en est de même pour la comptabilité de l’Entraide Paroissiale, celles du Patronage et de l’Aumônerie. Les chiffres sont exprimés en pourcentage. Pour information aussi, par rapport à 2019 nos recettes ont diminué de 31% et nos dépenses aussi de 7%. La crise de la COVID y est pour beaucoup. Quoiqu’il en soit, merci à l’excellente équipe de comptables qui travaille à nos finances et contribue à ce qu’il n’y ait pas de gaspillage.

Depuis mon arrivé, je constate aussi que nous avons beaucoup de bâtiments à entretenir (12) et que sur les 10 prochaines années il y a des frais importants à prévoir d’après l’entreprise SOCOTEC qui nous a fait un état des lieux… nous allons réfléchir à tout cela et prioriser les travaux pour la mission qui reste notre point de mire !

Merci à tous ceux qui participent à la vie de notre famille, votre Eglise. Votre contribution financière et matérielle nous aide à faire résonner la parole du Christ aujourd’hui en 2021 !

Que Dieu vous bénisse, bien fraternellement : Don Marc-Antoine + curé

Entraide Paroissiale

Entraide Paroissiale 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

L’accueil à l’Entraide Paroissiale se fait dans ses locaux à Notre-Dame de la Paix 
les mardis et vendredis de 9h à 11h et le mercredi de 15h à 17h

Pèlerinage pour les couples

Pèlerinage pour les couples 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

Les époux sont invités, tout spécialement en cette «année saint Joseph», à venir confier leur vocation conjugale à la Sainte Famille

Samedi 23 janvier 2021

10h Messe au sanctuaire Notre-Dame de Grâces

10h45 à 12h30 Pèlerinage à Saint Joseph, renouvellement des promesses de mariage, pique-nique (à emporter)

Renseignements et inscriptions : 04 94 04 65 28

Extrait de la lettre apostolique Patris corde du Pape François

Extrait de la lettre apostolique Patris corde du Pape François 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

Avec un cœur de père : C’est ainsi que Joseph a aimé Jésus qui est appelé dans les quatre Évangiles « le fils de Joseph ».

Les deux évangélistes qui ont mis en relief son visage, Matthieu et Luc, racontent peu, mais bien suffisamment pour faire comprendre quel genre de père il a été et quelle mission la Providence lui a confiée.

Nous savons qu’il était un humble charpentier (cf. Mt 13, 55), promis en mariage à Marie (cf. Mt 1, 18 ; Lc 1, 27)  ; un «  homme juste » (Mt 1, 19), toujours prêt à accomplir la volonté de Dieu manifestée dans sa Loi (cf. Lc 2, 22.27.39) et à travers quatre songes  (cf. Mt 1, 20 ; 2, 13.19.22). Après un long et fatiguant voyage de Nazareth à Bethléem, il vit naître le Messie dans une étable, parce qu’ailleurs « il n’y avait pas de place pour eux » (Lc 2, 7). Il fut témoin de l’adoration des bergers
(cf. Lc 2, 8-20) et des Mages (cf. Mt 2, 1-12) qui représentaient respectivement le peuple d’Israël et les peuples païens.

Il eut le courage d’assumer la paternité légale de Jésus à qui il donna le nom révélé par l’ange : « Tu lui donneras le nom de Jésus, car c’est lui qui sauvera son peuple de ses péchés » (Mt 1, 21). Comme on le sait, donner un nom à une personne ou à une chose signifiait, chez les peuples antiques, en obtenir l’appartenance, comme l’avait fait Adam dans le récit de la Genèse (cf. 2, 19-20).

Quarante jours après la naissance, Joseph, avec la mère, offrit l’Enfant au Seigneur dans le Temple et entendit, surpris, la prophétie de Siméon concernant Jésus et Marie (cf. Lc 2, 22-35). Pour défendre Jésus d’Hérode, il séjourna en Égypte comme un étranger (cf. Mt 2, 13-18). Revenu dans sa patrie, il vécut en cachette dans le petit village inconnu de Nazareth en Galilée – d’où, il était dit, «qu’il ne surgit aucun prophète» et «qu’il ne peut jamais en sortir rien de bon» (cf. Jn 7, 52 ; 1,   46)  –, loin de Bethléem, sa ville natale, et de Jérusalem où se dressait le Temple. Quand, justement au cours d’un pèlerinage à Jérusalem, ils perdirent Jésus âgé de douze ans, avec Marie ils le cherchèrent angoissés et le retrouvèrent dans le Temple en train de discuter avec les docteurs de la Loi (cf. Lc 2, 41-50).

Après Marie, Mère de Dieu, aucun saint n’a occupé autant de place dans le Magistère pontifical que Joseph, son époux. Mes prédécesseurs ont approfondi le message contenu dans les quelques données transmises par les Évangiles pour mettre davantage en évidence son rôle central dans l’histoire du salut : le bienheureux Pie IX l’a déclaré « Patron de l’Église Catholique », le vénérable Pie XII l’a présenté comme « Patron des travailleurs » et saint Jean Paul II comme « Gardien du Rédempteur ». Le peuple l’invoque comme « Patron de la bonne mort ».

Par conséquent, à l’occasion des 150 ans de sa déclaration comme Patron de l’Église Catholique faite par le bienheureux Pie  IX, le 8 décembre 1870, je voudrais – comme dit Jésus – que «la bouche exprime ce qui déborde du cœur» (cf. Mt 12, 34), pour partager avec vous quelques réflexions personnelles sur cette figure extraordinaire, si proche de la condition humaine de chacun d’entre nous. Ce désir a mûri au cours de ces mois de pandémie durant lesquels nous pouvons expérimenter, en pleine crise qui nous frappe, que nos vies sont tissées et soutenues par des personnes ordinaires, souvent oubliées, qui ne font pas la une des journaux et des revues, ni n’apparaissent dans les grands défilés du dernier show, mais qui, sans aucun doute, sont en train d’écrire aujourd’hui les évènements décisifs de notre histoire : médecins, infirmiers et infirmières, employés de supermarchés, agents d’entretien, fournisseurs de soin à domicile, transporteurs, forces de l’ordre, volontaires, prêtres, religieuses et tant d’autres qui ont compris que personne ne se sauve tout seul. […] Que de personnes font preuve chaque jour de patience et insufflent l’espérance en veillant à ne pas créer la panique mais la co-responsabilité ! Que de pères, de mères, de grands-pères et de grands-mères, que d’enseignants montrent à nos enfants, par des gestes simples et quotidiens, comment affronter et traverser une crise en réadaptant les habitudes, en levant le regard et en stimulant la prière ! Que de personnes prient, offrent et intercèdent pour le bien de tous. Nous pouvons tous trouver en saint Joseph  l’homme qui passe inaperçu, l’homme de la présence quotidienne, discrète et cachée, un intercesseur, un soutien et un guide dans les moments de difficultés. Saint Joseph nous rappelle que tous ceux qui, apparemment, sont cachés ou en « deuxième ligne » jouent un rôle inégalé dans l’histoire du salut. À eux tous, une parole de reconnaissance et de gratitude est adressée.

Cérémonie de l’enfance Missionnaire

Cérémonie de l’enfance Missionnaire 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

Ce mercredi 13 janvier 2021, enfants et adultes du patronage étaient tous ravis de se retrouver pour la première fois de cette nouvelle année et dans la joie d’une journée toute particulière. 

En effet, ce mercredi a été marqué par un échange de cadeaux pour les enfants du patronage qui avaient fabriqué un petit cadeau en y mettant tout leur cœur. Mais cette joie n’a pas été la seule de la journée  ! À 16h15 a eu lieu la cérémonie de l’Enfance Missionnaire : œuvre pontificale par laquelle chaque enfant reçoit, de la part du pape, un « diocèse » du monde pour lequel il doit prier en disant chaque jour un « je vous salue Marie  ». L’émotion s’est vue sur les visages (malgré les masques !), tant chez les enfants que chez leurs parents, émus de voir leur enfant s’engager ou se réengager pour cette belle œuvre missionnaire. Tous ont pu chanter «  Baptisé, envoyé, tu n’es pas trop petit, pour louer, annoncer Jésus à tes amis ! », et aussi «  la croix à la ceinture, pour nous rien n’est trop dur : mission ! Notre idéal sur terre, agir en missionnaires  : osons  !  ». Alors nous aussi, osons rendre grâce à Dieu pour les merveilles vécues chaque mercredi au patronage par nos enfants ! 

Et nous pouvons également bien remercier les Soeurs de la Consolation, Don Louis-Marie, Don Louis-Gustave et les bénévoles du patronage.

Viens et suis moi

Viens et suis moi 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

A l’aube de sa vie publique, Jésus voit venir à lui deux des disciples de Jean Baptiste, dont André, le frère de Simon-Pierre. Par deux fois, deux jours de suite, Jean le Baptiste avait désigné Jésus comme « l’Agneau de Dieu ». Cette insistance est une persévérance dans l’annonce : Le témoignage du Baptiste arrive enfin dans le cœur de ces deux disciples. Combien de fois avons-nous entendu telle ou telle parole à la messe pour qu’un jour elle nous paraisse nouvelle, presque vivante. La patience du Seigneur ne peut que nous émerveiller. Revenons à notre évangile. Nous voyons Jésus qui les laisse venir à lui. Mais il prend en main la conversation et pose sans tarder la question suivante : « Que cherchez-vous ? » «  Maître où demeures-tu ? » Leur réponse met des mots sur cette attraction très forte que produit Jésus sur les cœurs. En quelques lignes, l’évangéliste nous donne à méditer sur cette dimension essentielle de la vie chrétienne : suivre le Christ. Qu’est-ce que cela veut dire ? Nous avons schématiquement en tête le fait que suivre le Christ pour les disciples sera un changement de vie. Ils vont laisser derrière eux leur métier, leurs affaires et leur quotidien pour marcher dans les pas de Jésus sur les chemins de Palestine. Être disciple, suivre Jésus devient presque comme un nouveau métier dans lequel nous nous remettons entièrement à son autorité. Cette dimension plus intérieure que provoque l’appel de Jésus à le suivre est déroutante. Être avec lui (les disciples sont restés toute la journée en sa compagnie) et se mettre entièrement à sa disposition : voilà le nouveau contenu de leur vie. En plus du renoncement, le chrétien est appelé à se donner lui-même. Cela se fait dans la paix lorsque nous contemplons en qui le chrétien remet sa vie. Jésus lui-même a suivi la parole de Dieu, au point qu’on dira de lui juste après sa résurrection, qu’il était la Parole faite chaire. 

Or cette exigence de Jésus à le suivre est manifestement accompagnée de sa miséricorde. Nous savons, grâce à ces premiers disciples, qu’il ne faut pas attendre d’être parfait pour le suivre. Nos mauvaises compréhensions, nos péchés ne sont pas un obstacle tant qu’ils contribuent à nous rendre toujours plus conscients que nous avons besoin de la grâce rédemptrice du Seigneur. 

Cependant, dans cette suite du Christ, une ombre nous fait peur : celle de la Croix. Nous ne sommes plus à l’époque des martyrs des premiers temps de l’Eglise, mais le renoncement, la remise totale de sa vie est toujours d’actualité dans la vie du Chrétien. à l’image du grain de blé qui meurt et donne beaucoup de fruit, ce n’est qu’en s’abandonnant que nous nous trouverons. Notre amour et notre foi ne font qu’un à la suite de Jésus. Demandons à Jésus, cette semaine, la grâce de le suivre un peu mieux, malgré tous les obstacles extérieurs et intérieurs ! Belle semaine chers paroissiens  ! 

D.Christophe GRANVILLE

Messe des malades à l’église Sainte-Bernadette Jeudi 11 février 2021 à partir de 14h30

Messe des malades à l’église Sainte-Bernadette Jeudi 11 février 2021 à partir de 14h30 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

Fête de Notre-Dame de Lourdes : Jeudi 11 février à Sainte-Bernadette
14h30 chapelet et confessions
15h Messe solennelle suivie de la Procession à la grotte
En raison de la Covid, pas de goûter

Date chapelet Messe
Mercredi 10 février 11h30
Jeudi 11 février 
Notre-Dame de Lourdes
14h30 15h00
Vendredi 12 février 16h30 17h00
Samedi 13 février
Sortie paroissiale
Dimanche 14 février 10h15 11h00
Lundi 15 février 16h30 17h00
Mardi 16 février 16h30 17h00
Mercredi 17 février (Cendres) 11h30
Jeudi 18 février
Sainte-Bernadette
16h30 17h00

Actes de catholicité des paroisses

Actes de catholicité des paroisses 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

ACTES DE CATHOLICITE DES PAROISSES 2020

Paroisses
Baptêmes
Mariage
Obsèques
Notre-Dame de la Victoire
15
9
101
Notre-Dame de la Paix
15
1
29
Sainte-Bernadette
10
3
60
Sacré-Coeur de Boulouris
3
2
23
Agay-Le Dramont
4
2
11
TOTAL
47
17
227

ACTES DE CATHOLICITE DES PAROISSES 2019

Paroisses
Baptêmes
Mariage
Obsèques
Notre-Dame de la Victoire
56
14
99
Notre-Dame de la Paix
18
0
51
Sainte-Bernadette
22
6
71
Sacré-Coeur de Boulouris
2
4
20
Agay-Le Dramont
10
3
12
TOTAL
108
27
253

Chers paroissiens,

La fin de l’année 2020 a sonné, l’heure est donc au bilan. Vous trouverez ici un petit aperçu des actes de catholicité de nos paroisses de Saint Raphaël. Les chiffres sont éloquents surtout si nous les comparons à 2019… Bien sûr ces chiffres ne sont pas le seul indicateur de la vie des paroisses, mais ils manifestent un rétrécissement. Il faudrait ajouter à ces données le nombre de premières communions et de confirmations.

Sans doute l’effet crise du COVID est la principale cause, mais pas seulement peut-être. Dans tous les cas, nous sommes appelés à la mission, à l’annonce de l’espérance chrétienne ! Le pire serait de s’enliser. La vie chrétienne est une vie toujours plus sous l’impulsion de l’Esprit-Saint. Les sacrements sont le mode ordinaire de l’Esprit-Saint. Que notre créativité, nos œuvres, nos prières nous y conduisent toujours plus et toujours mieux, ainsi que tous ceux que nous aimons ! le Seigneur nous envoit !

Le Baptême

Le Baptême 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

« Chers amis, 

Nous célébrons ce dimanche le baptême de Jésus. Cette fête est l’occasion pour nous de faire mémoire de notre propre baptême et de s’arrêter ensemble sur la grandeur du don qui nous a été concédé ce jour là ! 

Notre pape François nous rappelle l’importance de s’arrêter sur ce sacrement sur  « lequel se fonde notre foi elle-même et qui nous greffe comme des membres vivants dans le Christ et dans son Église. Avec l’Eucharistie et la confirmation, il forme ce qu’on appelle l’« initiation chrétienne » qui constitue comme un unique grand événement sacramentel, et nous configure au Seigneur et fait de nous un signe vivant de sa présence et de son amour.

Mais une question peut naître en nous : le baptême est-il vraiment nécessaire pour vivre en chrétien et suivre Jésus ? N’est-ce pas au fond un simple rite, un acte formel de l’Église pour donner un nom au petit garçon ou à la petite fille. C’est une question qu’on peut se poser ? Et à ce propos, ce qu’écrit l’apôtre Paul nous éclaire : « Ne le savez-vous donc pas : nous tous, qui avons été baptisés en Jésus Christ, c’est dans sa mort que nous avons été baptisés  ? Si, par le baptême dans sa mort, nous avons été mis au tombeau avec lui, c’est pour que nous menions une vie nouvelle, nous aussi, de même que le Christ, par la toute-puissance du Père, est ressuscité d’entre les morts  » (Rm 6, 3-4). Ce n’est donc pas une formalité ! C’est un acte qui touche notre existence en profondeur. Un enfant baptisé ou un enfant non baptisé, ce n’est pas la même chose. Une personne baptisée ou une personne non baptisée, ce n’est pas la même chose. Avec le baptême, nous sommes plongés dans cette source intarissable de vie qui est la mort de Jésus, le plus grand acte d’amour de toute l’histoire ; grâce à cet amour, nous pouvons vivre une vie nouvelle, n’étant plus en proie au mal, au péché et à la mort, mais dans la communion avec Dieu et avec nos frères.

Un grand nombre d’entre nous n’a pas le moindre souvenir de la célébration de ce sacrement et cela est normal, si nous avons été baptisés peu après notre naissance. (…) Il est important de connaître le jour où nous avons été plongés précisément dans ce courant de salut de Jésus. Et je me permets de vous donner un conseil, mais, plus qu’un conseil, un devoir pour aujourd’hui. Aujourd’hui, à la maison, cherchez, demandez la date de votre baptême et ainsi vous connaîtrez bien le si beau jour du baptême. Connaître la date de notre baptême signifie connaître une date heureuse. Mais le risque de ne pas la «connaître» est de perdre conscience du souvenir de ce que le Seigneur a fait en nous, la mémoire du don que nous avons reçu. Alors nous finissons par le considérer seulement comme un événement qui a eu lieu dans le passé —  même pas par notre volonté, mais par celle de nos parents — et qui, pour cette raison, n’a plus aucune incidence sur le présent. Nous devons réveiller la mémoire de notre baptême. En revanche, nous sommes appelés à vivre notre baptême chaque jour, comme la réalité actuelle de notre existence (…)
Audience générale du 8 janvier 2014

Alors, chers amis, demandons en ce dimanche du baptême du Seigneur, la grâce de pouvoir toujours faire davantage l’expérience, dans notre vie de chaque jour, de l’action de notre baptême en nous. Et décidons de faire du jour anniversaire de notre baptême, un jour de fête et de joie.

…………………………………………………………………..     D. Louis-Marie DUPORT

La Prière du Père Jules Beaulac 

La Prière du Père Jules Beaulac  150 150 Paroisses de Saint-Raphael

« Seigneur Jésus, comme les bergers,
nous venons à Toi,
pauvres de nos misères personnelles et collectives,
mais riches de notre amour et de notre foi.
Comme eux, nous sommes heureux
que Tu nous accueilles tels que nous sommes
et comme eux nous sommes certains
qu’à Ton contact nous retournerons
à nos activités quotidiennes le cœur gonflé d’espérance
et de joie. Comme les mages,
nous venons aussi Te voir pour Te reconnaître
comme notre Roi et nous déposons devant Toi
ce que nous avons de plus précieux, non pas de l’or, de l’encens ou de la myrrhe, car nous n’en avons pas, mais bien notre volonté sincère de partager
ce que nous sommes et ce que nous possédons
avec les plus mal-pris que nous. » 

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