Articles par :

admin6070

Pèlerinage des jeunes à Lourdes

Pèlerinage des jeunes à Lourdes 1180 885 Paroisses de Saint-Raphael

Le pèlerinage des Jeunes Varois à Lourdes s’est déroulé du lundi 23 octobre au vendredi 27 octobre. Ce fut pour tous ces jeunes un moment fort entre plusieurs aumôneries dans la joie, la cohésion et la prière.
Cette petite semaine à Lourdes a été une occasion d’apprendre à se connaître un peu mieux mais surtout un moment intense en émotion où certains ont perçu des grâces particulières et d’autres sont venus porter les intentions de leurs paroisses ainsi que leurs intentions personnelles.
L’aumônerie de Saint-Raphaël a passé durant ce pèlerinage à Lourdes, une semaine extraordinaire qui lui a permis de grandir dans la foi, l’espérance et la charité afin de pouvoir porter au monde le feu qui l’anime et témoigner de l’amour de notre Dieu.
Au nom des jeunes de l’aumônerie, Pierre Edel.

Prions pour nos défunts !

Prions pour nos défunts ! 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

« Ceux qui meurent dans la grâce et l’amitié de Dieu, mais imparfaitement purifiés, bien qu’assurés de leur salut éternel, souffrent après leur mort une purification, afin d’obtenir la sainteté nécessaire pour entrer dans la joie du ciel » (Catéchisme de l’église catholique, n°1030).
Voici comment le catéchisme parle du Purgatoire, réalité de notre foi que nous sommes invités à regarder pendant ce mois de novembre, mois consacré à la prière pour les fidèles défunts. Lors de notre mort, nous vivrons le jugement particulier (« nous serons jugés sur l’amour  » nous dit saint Jean de La Croix) et, si nous sommes sauvés, nous irons soit directement au Paradis rejoindre les saints que nous avons fêtés le 1er novembre, soit au Purgatoire. Le Purgatoire est un temps de souffrance dans lequel les âmes passent par la peine du sens et la peine du dam (peine d’être séparé de la vision de Dieu). Cependant, à la différence des peines de l’enfer, les peines du Purgatoire sont passagères car les âmes qui s’y trouvent sont dans l’attente d’être dans la vision de Dieu. C’est donc un temps de purification.
En étudiant l’eschatologie, la théologie sur les fins dernières, nous comprenons que la souffrance de la séparation d’avec nos proches, causée par la mort, est prise au sérieux. Souvent, même chez les chrétiens fervents, on entend trop vite : « il est au Ciel, c’est merveilleux » ou alors « il n’a pas fait de mal, il est forcément au Paradis ». Les personnes plus loin de l’Eglise s’expriment avec leurs mots en disant que leurs défunts sont comme une étoile dans le ciel ou comme un ange qui veille sur eux. La foi de l’Eglise ne passe pas par-dessus la souffrance, elle ne la nie pas, elle ne nous dit pas que la mort est facile à vivre. L’espérance chrétienne ne fait pas semblant, elle n’est pas un discours vain : elle prend en compte la réalité du mal et de la souffrance. Il me semble que notre foi dans le Purgatoire nous le rappelle : nous avons à prier pour nos défunts pour qu’ils soient délivrés de la souffrance la plus grande qui soit : la séparation de Dieu, qui est l’amour infini. Alors une joie mystérieuse pourra réellement naître de nos cœurs car nous saurons qu’en priant pour ceux que nous avons aimés, nous leur permettrons d’accéder à la gloire du Ciel. Depuis les premiers temps de l’Eglise, les chrétiens ont prié pour leurs défunts, particulièrement en offrant le sacrifice de la messe à leur mémoire. Mettons nous à leur suite en priant, en retrouvant si nous l’avons perdu la belle coutume d’offrir des messes. Que la mort ne soit pas un sujet tabou dans nos foyers chrétiens mais que, la prière pour les défunts faisant partie de notre vie, nous nous préparions dès notre jeune âge à vivre, le moment venu, une sainte mort. C’est ce que nous demandons à Marie lorsque nous lui demandons de prier pour nous « maintenant et à l’heure de notre mort ».
Don Raphaël SIMONNEAUX

Sur la nécessité d’aimer..

Sur la nécessité d’aimer.. 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

Parce que Dieu est Père, il nous guide en nous donnant une loi. C’est le propre de la paternité que d’accompagner la croissance de l’enfant. Son rôle est à la fois d’encourager en montrant le bien à atteindre, mais aussi, d’interdire ou d’obliger pour éviter la chute.
Ainsi, Dieu a-t-il accompagné la croissance du peuple élu. Dans l’Ancien Testament il y avait 613 commandements qui, au fur et à mesure de l’histoire, s’étaient accumulés, formant parfois un cadre trop rigide. La question du pharisien dans l’évangile de ce dimanche (« Quel est le plus grand commandement ? » ) n’était donc pas superflue. Il était nécessaire de hiérarchiser tout ces commandements pour éviter la paralysie normative.
Même si l’intention était mauvaise puisqu’il s’agissait de piéger Jésus, la question était donc bonne. Elle permet au Christ de formuler la synthèse de nos aspirations les plus profondes. En résumant ainsi la loi, Jésus nous indique le chemin le plus sur pour parvenir au bonheur ! Nous devrions apprendre par cœur ce « plus grand des commandements » et nous le répéter tous les matins :
« Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de tout ton esprit. Voilà le grand, le premier commandement. Et le second lui est semblable : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. De ces deux commandements dépend toute la Loi, ainsi que les Prophètes. »
Il est très beau de constater que le résumé que nous donne Jésus de toute la loi divine tient en un mot : « Aime ».
Si le Père a voulu l’établir comme une loi, c’est parce qu’elle est la condition « sine qua non » de notre croissance ! Elle est une nécessité de notre épanouissement ! Dieu nous a fait à son image, et en cela, nous avons été créés par amour et pour l’amour. Nous ne pouvons donc devenir ce que nous sommes, qu’en aimant.
Pour prolonger la réflexion, j’aimerais attirer votre attention sur un point : En aimant, nous devenons nous-mêmes créateurs. Dans l’amour humain se prolonge et s’achève l’acte divin du créateur. Par l’amour, nous pouvons amener un être à l’existence. C’est vrai au sein du couple, lors d’une naissance par exemple, mais c’est vrai aussi dans nos relations amicales.
Qui d’entre nous, n’a-t-il pas déjà fait cette expérience bouleversante d’avoir eu besoin de l’autre pour être soi-même ! C’est un constat : Lorsque je suis aimé, je me reçois de l’autre. Le regard de l’autre me fait être en reconnaissant la bonté de mon existence.
« Ce n’est qu’en étant « confirmé » par l’amour d’autrui que l’être humain parvient à « être là » totalement et à se sentir chez lui dans le monde. Surtout, sa capacité à donner lui-même de l’amour, seul moyen par lequel sa propre existence atteint sa plus haute élévation, a pour condition préalable l’expérience d’avoir été aimé ». (Joseph Pieper, De l’amour )
Si Dieu nous commande d’aimer, c’est parce qu’Il veut que l’image de lui-même qu’Il a mis en nous rayonne jusqu’à faire de nous des créatures parfaitement ressemblantes à Lui ! Soyons donc comme Lui : des créateurs… mais pour cela empruntons le chemin qu’Il nous a donner : Aimons !
Don Louis-Marie DUPORT

Sortie paroissiale à Saint Tropez

Sortie paroissiale à Saint Tropez 2560 1707 Paroisses de Saint-Raphael

Rendez à César…

Rendez à César… 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

Par cette phrase, Jésus échappait au piège tendu par ses adversaires. Il fondait aussi un ordre mondial nouveau, dans lequel le domaine religieux n’est pas directement lié au pouvoir politique, et réciproquement, le pouvoir politique n’est pas directement divinisé. Car César aussi “est à Dieu”, comme créature ; s’il s’affranchit de Dieu, c’est qu’il se prend pour divin.
Jésus, lui, en échec politique apparent, crucifié et appelant à le suivre ainsi, est cependant pour toujours le Roi des rois et le Seigneur des seigneurs. Tout pouvoir lui a été conféré au Ciel et sur la terre. (Mt 28,18).
Il ne vient pas prendre la place d’un roi terrestre, son Royaume n’est pas de ce monde (Jn 18,36). Mais « il règnera sur la maison de Jacob pour les siècles et son règne n’aura pas de fin. » (cf Dn 7,14 et Lc 1,33).
Depuis 2000 ans, Jésus donne à César sa légitime autonomie pour régir la cité, le pays, les peuples, sans que le pouvoir politique empiète sur l’adhésion des hommes à Lui, Jésus-Christ. Sans que l’adhésion par la foi devienne un moyen politique pour régir les nations. Il y a eu quelques papes ou hommes d’église qui ont pu céder à cette tentation. Il y a eu beaucoup d’empereurs et de princes qui ont largement pratiqué cela.
« Asseoir la foi par le pouvoir » dit Benoît XVI dans son commentaire de l’évangile (Jésus de Nazareth, t. 1, p. 59.62), « et la foi a toujours connu le risque d’être étouffée par le pouvoir ; (…) La foi doit se mettre au service du pouvoir et se plier à ses critères. » Qui seront politiques et non plus pour que les hommes adhèrent librement au Roi des rois.
César rêve de pouvoir régir les peuples et les unifier sous sa coupe par l’adhésion à la même foi. Ou alors les scinder de la catholicité en créant des pouvoirs religieux inféodés au pouvoir politique. Combien de nations vivent ainsi !
Le comble serait un pouvoir mondial qui voudrait inféoder toute l’église catholique.
Il suffit pour cela de vouloir que la religion réunisse les peuples. Mais alors on ne va plus parler de Jésus, car il divise. On ne va plus non plus parler de Dieu, car il divise aussi (ou pousser à dire fallacieusement : “on a tous le même Dieu !”). On va plutôt parler de l’“avènement du Royaume”. Sans dire bien sûr qu’il s’agit d’un gros mensonge, pour inféoder le monde sous un seul pouvoir avec une religion assez commune.
Aujourd’hui, poursuit Benoît XVI (p. 74), la façon d’étouffer la foi dans le pouvoir politique se fait sous une forme subtile : il faut réduire le christianisme à une recette apportant le bien-être à toute l’humanité. L’avènement du Royaume désigne l’avènement d’un monde où règnent la paix, la justice, la fraternité et la préservation de la “maison commune”.
« Bavardage utopique », dit-il (p. 75). Et même « imposture de Satan » (p. 63). Les valeurs sont réelles, mais c’est juste un masque du loup déguisé en agneau (Mt 7,15  ; Ap 13,11).
Car « …ce que l’on constate surtout, c’est que Dieu a disparu et que l’homme est seul à agir. Le respect [des valeurs comme paix, justice, et] des traditions religieuses n’est qu’apparent. (…) La foi, les religions, se trouvent instrumentalisées à des fins politiques. Aménager le monde est la seule chose qui compte. La religion n’a d’importance que dans la mesure où elle peut servir à cela. » (p. 75-76).
« Une imposture religieuse » : c’est aussi l’expression qui est employée par le Catéchisme de l’église catholique, § 675. Un César mondial réduisant Dieu à l’agonie, sans toucher aux apparences. Avoir définitivement inféodé Dieu en un nouvel ordre mondial.
Mais Jésus échappera encore au piège tendu par ses adversaires.
L’Ennemi sera brisé en sa révolte (Ps 8,3) et Jésus établit encore son Règne dans nos cœurs par la joie de la vraie Foi, « jusqu’à ce qu’Il vienne », Lui, en Personne, et non pas un “Royaume” séducteur et faux.
D’ailleurs ces deux avènements, le faux puis le vrai Christ, doivent se succéder en un laps de temps assez court. « Amen ! Viens, Seigneur Jésus ! »
Don Laurent LARROQUE

La marche de l’archange

La marche de l’archange 2560 1443 Paroisses de Saint-Raphael

Le 7 octobre, 15 paroissiens découvraient l’Estérel pour mettre en application les enseignements du dernier numéro de La Voix de Saint-Raphaël qui traitait des splendeurs de la création. Sous la houlette d’un guide expérimenté les « randonneurs » parcouraient une zone préservée et suivaient le sentier botanique. Les autres, les « promeneurs » qui avaient opté pour un circuit des plus faciles, étaient initiés à la flore du massif par Monsieur Pierre FERNEZ (ingénieur agricole). Après la prière avec Dominique, le déjeuner rassemblait tout le monde. Nature, effort, amitié et spiritualité furent appréciés par les participants. Prochaines marches : le 11 novembre dans le cadre de la Course des paroisses et le 16 décembre.

Artisan de paix

Artisan de paix 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

Les nouvelles du monde ne sont pas gaies. Des guerres se déclarent. De ce que j’entends, elles s’invitent aussi chez nous, avec virulence, sur les réseaux sociaux. Une légère étincelle ou inflexion de langage déclenche des foudres d’insultes. Au milieu de ces violences que nous découvrons avec effroi à travers l’écran, la crainte peut s’emparer de nous ou les colères se déchainer davantage. Nous sommes bien loin pour pouvoir être artisan de paix, bien petits pour changer quelque chose à ce qui nous est livré en spectacle. Nous sentons aussi que nous sommes loin de cet idéal de fraternité universelle à laquelle notre cœur aspire, en y croyant de moins en moins.
Et pourtant nous pouvons faire notre part. Ce que nous dénonçons facilement à l’autre bout d’un continent, nous risquons de le vivre ici chez nous si nous ne faisons rien, si aujourd’hui nous ne sommes pas les artisans de paix. Vous me direz que pour être en paix il faut aussi que l’autre le veuille. Oui c’est mieux, indiscutablement. Sinon on a double ou triple travail, mais c’est là notre lot de chrétien.
La paix que nous pourrons répandre, gagner, construire ici, c’est comme une digue contre une crue, une tranchée contre un incendie, un rempart contre un déluge ! Elle n’est jamais une génération spontanée, elle se construit patiemment avec persévérance. Le pape François disait : «  qu’elle est comme une fleur fragile qui cherche à s’épanouir au milieu des pierres de la violence » (1er janvier 2019).
Les chantiers sont nombreux. Sans doute la première pierre à poser c’est de faire la paix avec soi-même. Par exemple comme le conseillait saint François de Sales, en exerçant ‘‘un peu de douceur avec soi-même’’, afin d’offrir ‘‘un peu de douceur aux autres’’. Cela demande aussi de s’aimer soi-même, non avec complaisance en se prenant pour la mesure de tout, mais avec humilité sachant reconnaitre nos charismes et nos vulnérabilités. C’est ultimement sous le regard de Dieu que nous posons un juste regard sur nous-mêmes.
Ensuite pour faire la paix avec les autres – en commençant par nos plus proches – il faut déjà oser la rencontre. Oser entrer en relation ou renouer un lien distendu. Peut-être que dans certains cas nous aurons besoin d’être assistés par quelqu’un qui nous aidera à nous écouter, à nous comprendre. La rencontre nous permet de prendre conscience que l’autre n’est pas le seul à avoir tous les torts, nous y mesurerons aussi la somme d’efforts consentis pour nous et que nous n’avions malheureusement pas vus. Si en plus j’accepte ou même demande à recevoir une correction, un point à améliorer dans ma vie, je suis sur un bon chemin de paix. Enfin si possible, n’imposons pas tout de suite à l’autre une exigence excessive qu’il ne saurait encore porter.
Quand nous vivons en société, impossible d’éviter les étincelles. C’est un signe de maturité de choisir de conserver une relation malgré des désaccords, sans chercher à les nourrir artificiellement.
Pour nous chrétiens, c’est un devoir et une béatitude d’être artisan de paix. Nous savons aussi que la Paix véritable vient de la Sainte Trinité. Si nous y avons goûté une fois, nous ne serons plus jamais en paix tant que nous ne l’aurons pas répandue dans le monde qui nous entoure.
Don Marc-Antoine CROIZé-POURCELET

Pouvais-je faire pour ma vigne plus que je n’ai fait ?

Pouvais-je faire pour ma vigne plus que je n’ai fait ? 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

La question du mal est une question persistante surtout lorsqu’on évoque Dieu : « Si Dieu nous aimait vraiment, s’il nous avait créés par amour, il ne nous laisserait pas souffrir ainsi ». Comme il s’agit du mal, il faut admettre que cette remarque a du sens, car on ne peut résoudre ce mystère de la souffrance.
Cependant, il me semble que cette phrase, qu’on peut entendre régulièrement et de manière lancinante, est le fait d’une certaine éducation. En effet, la première fois que j’ai entendu cette remarque, je devais avoir douze ou treize ans, et je me suis dit intérieurement : quand même, il a donné sa vie pour nous ! Si ça ce n’est pas de l’amour, je ne sais pas ce que c’est ! Et cette phrase du prophète Isaïe : « Pouvais-je faire pour ma vigne plus que je n’ai fait ? » m’a rappelé cet évènement. Suivant les règles qu’il a lui-même fixées, c’est-à-dire celui du libre arbitre, pouvait-il en effet faire plus que ce qu’il n’a fait pour l’humanité ? Rappelons-nous de manière non-exhaustive les points fondamentaux :
1 – abaissement de sa nature dans la nature humaine lui qui était Dieu (Philippien 2,5-8 : « Le Christ Jésus, ayant la condition de Dieu, ne retint pas jalousement le rang qui l’égalait à Dieu. Mais il s’est anéanti, prenant la condition de serviteur, devenant semblable aux hommes. Reconnu homme à son aspect, il s’est abaissé, devenant obéissant jusqu’à la mort, et la mort de la croix. »)
2 – guérisons multiples
3 – enseignement plein de miséricorde
4 – ne répondant pas aux insultes (Isaïe 53, 7 : « Maltraité, il s’humilie, il n’ouvre pas la bouche : comme un agneau conduit à l’abattoir, comme une brebis muette devant les tondeurs, il n’ouvre pas la bouche. »)
5 – faisant la volonté de quelqu’un d’autre (Mathieu 26,39 : «  Mon Père, s’il est possible que cette coupe passe loin de moi  ! Cependant, non pas comme moi, je veux, mais comme toi, tu veux. »)
6 – pardonnant le mal qu’on lui faisait (Luc 23,34 : « Père, pardonne-leur : ils ne savent pas ce qu’ils font. »)
7 – tué par ceux qu’il était venu sauver (Luc 23,46 : « Alors, Jésus poussa un grand cri : « Père, entre tes mains je remets mon esprit. » Et après avoir dit cela, il expira. »)
Que la douleur qui peut nous habiter ne nous fasse pas dire des choses injustes à l’encontre de Dieu, car il nous a montré, à maintes reprises son amour, et encore aujourd’hui nous vivons de ce que nous n’avons pas mérité de recevoir : la vie.
Don Bruno de Lisle

Rentrée du catéchisme à Notre Dame de la Paix

Rentrée du catéchisme à Notre Dame de la Paix 1920 2560 Paroisses de Saint-Raphael

Mardi 19 septembre les enfants ont retrouvé le chemin du caté au programme petit jeux de présentation avec don Raphaël et les catéchistes, temps de prière, explication de l’évangile du dimanche dans l’Église et pour finir leur cours les enfants ont pu réaliser un atelier peinture conception d’une croix sur les vitres de leur salle de caté.

Le Denier de l’église

Le Denier de l’église 900 450 Paroisses de Saint-Raphael

Le Denier, qu’est-ce que c’est ?
Le Denier est une participation de chaque catholique à la vie de son diocèse. Il sert à couvrir les dépenses de :
• la rémunération des prêtres du diocèse,
• leurs cotisations sociales (obligatoires)…
• la rémunération des salariés administratifs et pastoraux
Pourquoi donner au Denier ?
• Donner au Denier, c’est : un devoir pour chaque catholique,
une façon de remercier pour ce qu’on a reçu.
• un moyen de permettre un coup de pouce à donner pour que la mission de l’Église se déploie auprès de tous !
C’est un don volontaire, il n’y a pas de tarif ! Chacun donne en conscience selon ses possibilités.
Le don moyen augmente chaque année et nous en sommes très reconnaissants
mais le nombre de donateurs ne cesse de baisser.

    Nous contacter

    +33 4 94 19 81 29

    Nous aider