Comme chaque année, le 11 février, la fête de Notre-Dame de Lourdes coïncide avec la Journée Mondiale des Malades. Donc, en cet après-midi ensoleillé du mardi 11 février 2020, la paroisse Sainte-Bernadette avait organisé une très belle cérémonie pour fêter ce double événement.
Dès 14h, les futurs onctionnés ainsi que celles et ceux qui allaient recevoir la bénédiction des malades ont été accueillis puis installés dans l’église par les membres du Service évangélique des Malades, de l’Aumônerie de l’hôpital ainsi que par l’équipe des Hospitalières de Lourdes.
Le chapelet récité à 14h30, fut suivi d’une très belle messe au cours de laquelle, 18 paroissiennes et paroissiens reçurent le Sacrement des Malades. 14 autres personnes ont reçu la Bénédiction des Malades en fin de messe.
Après cette bénédiction, l’assistance nombreuse partit alors en procession vers la grotte puis se retrouva autour d’un très bon goûter servi par une superbe équipe de bénévoles.
Merci à toutes et à tous pour votre implication dans la très belle réussite de cette journée.
Mercredi 5 février a eu lieu la traditionnelle cérémonie annuelle de l’Enfance Missionnaire au patronage.
Mais de quoi s’agit-il ? Un peu d’histoire s’impose : au 19eme siècle, un évêque français, Monseigneur de Forbin JANSON, souhaitait aider les enfants de Chine qui vivaient dans la misère et ne connaissaient pas Jésus. Il eut une belle idée : grâce à leur prière, à leur générosité, les enfants français pourraient aider les missionnaires, et les missionnaires pourraient ainsi aider les enfants chinois. Les jeunes français acceptèrent le défi et le 9 mai 1843 naquit l’œuvre de l’Enfance Missionnaire (actuellement elle est partout dans le monde). Sa devise est : « les enfants aident les enfants ». Aujourd’hui, les enfants qui souhaitent s’engager reçoivent, de la part du Pape, un diocèse. Ils vont ainsi pouvoir prier tous les jours pour les enfants de ce diocèse (en récitant un « Je vous salue Marie » et en invoquant les trois saints patrons missionnaires : Sainte Thérèse de l’enfant Jésus, Saint François-Xavier, bienheureux Charles de Foucauld), apporter de temps en temps une pièce de 1€, ou des timbres oblitérés qui sont ensuite envoyés à un missionnaire qui, en échange, peut obtenir des médicaments.
C’est ainsi qu’environ 30 enfants du patronage de Saint-Raphaël, en présence de leurs familles, se sont engagés ou réengagés à aider les enfants d’un diocèse.
Les parents ont bien prié pour leurs enfants et ces derniers ont pu chanter : « la croix et la ceinture, pour nous rien n’est trop dur, MISSION ! ». Par l’Oeuvre de l’Enfance Missionnaire, la devise du patronage prend tout son sens : « Ici on joue, ici on prie ! ».
Chers amis,
Pour la 28ème Journée Mondiale du Malade, notre Pape François vient d’écrire un beau message qui mériterait d’être retranscrit dans son intégralité. En voici cependant quelques extraits qui, je l’espère, vous aideront à en estimer la valeur.
Le Oape cherche tout d’abord à entrer dans le regard même que Jésus pose sur notre humanité blessée en commentant Matthieu 11,28 : « Venez à moi, vous tous qui peinez et ployez sous le fardeau et moi je vous soulagerai ». Ces paroles de Jésus indiquent le mystérieux chemin de la grâce qui se révèle aux simples et qui offre un soulagement à ceux qui peinent et qui sont fatigués. Ces mots expriment la solidarité du Fils de l’homme face à une humanité affligée et souffrante. (…). Jésus regarde l’humanité blessée. Lui, il a des yeux qui voient, qui s’aperçoivent, car ils regardent en profondeur. Il ne s’agit pas d’un regard rapide et indifférent, mais qui s’attarde et accueille tout l’homme et tout homme dans sa condition de santé, sans écarter personne, mais en invitant chacun à entrer dans sa vie pour faire une expérience de tendresse.»
Si Jésus est ainsi capable d’avoir un tel regard, c’est parce qu’il s’est fait faible lui-même, faisant ainsi l’expérience de la souffrance humaine et recevant à son tour le réconfort du Père. De fait, seul celui qui fait personnellement cette expérience saura être un réconfort pour l’autre.
Le Pape François insiste ensuite sur l’importance d’entrer nous même dans ce regard du Christ en prenant en compte toutes les dimensions de la personne malade.
Il apparaît alors nécessaire de personnaliser l’approche à l’égard du malade, non plus seulement en soignant mais aussi en prenant soin, pour une guérison humaine intégrale. Lorsqu’elle est malade, la personne ressent que, non seulement son intégrité physique est compromise, mais aussi ses dimensions relationnelle, intellectuelle, affective et spirituelle. Elle attend donc, en plus des thérapies, un soutien, une sollicitude, une attention… en somme, de l’amour. En outre, aux côtés du malade, il y a une famille qui souffre et qui demande, elle aussi, réconfort et proximité.
Puis, s’adressant plus particulièrement aux agents du monde de la santé, le pape rappelle que toute intervention diagnostique, préventive, thérapeutique, de recherche, de soin et de rééducation, s’adresse à la personne malade, où le substantif « personne » prime toujours sur l’adjectif « malade ». Par conséquent, votre action doit tendre constamment à la dignité et à la vie de la personne, sans jamais céder à des actes de nature euthanasique, de suicide assisté ou de suppression de la vie, pas même quand le stade de la maladie est irréversible.
(…) La vie doit être accueillie, protégée, respectée et servie, de la naissance à la mort : c’est à la fois une exigence tant de la raison que de la foi en Dieu auteur de la vie. Dans certains cas, l’objection de conscience est pour vous le choix nécessaire pour rester cohérents au « oui » à la vie et à la personne. En tout cas, votre professionnalisme, animé par la charité chrétienne, sera le meilleur service rendu au vrai droit humain : le droit à la vie. Quand vous ne pouvez pas guérir, vous pouvez toujours soigner grâce à des gestes et à des procédures qui apportent soulagement et réconfort au malade.
Puissions nous répondre ensemble à l’invitation de notre Pape, pour que l’Eglise puisse toujours être l’« auberge » du bon Samaritain qu’est le Christ (Luc 10, 34)
Don Louis-Marie DUPORT
Consécration à Marie : 2eme conférence donnée le 11 février 2020 par Bernard
Marie : Fille du Père
Avant d’entrer en procession dans la Basilique, D. Christophe a béni les cierges représentant la lumière que Syméon a reconnue dans Jésus
lorsqu’il a été présenté par Marie et Joseph au temple 40 jours après Noël.
Le 1er dimanche de chaque mois,
les paroissiens de Notre-Dame de la Paix qui le souhaitent,
se retrouvent pour partager leur repas dans les salles paroissiales
Simple et conviviale, la première édition a eu lieu dimanche dernier.
Avis aux amateurs pour les prochains premiers dimanches !%MCEPASTEBIN%
Samedi 1er février, se tenait dans les salles de Notre-Dame de La Paix,
la deuxième réunion des services de la paroisse.
C’est plus de trente bénévoles qui se sont retrouvés, attirés peut-être aussi par les crêpes de la chandeleur….
Après un temps de prière au pied de la Vierge-Marie et dans la lumière de Jésus présenté au temple, D. Martin attaquait le vif du sujet : mieux travailler en équipe pour mieux servir l’église et le Christ.
Deux points essentiels au bon fonctionnement d’une équipe ont été abordés : les signes de reconnaissance et la gestion des conflits.
A nous maintenant de nous approprier et de vivre dans nos services et dans nos vies tout ce que nous avons reçu ce jour.
Nous nous retrouverons, toujours avec joie, pour une dernière rencontre de l’année le vendredi 29 mai en soirée.
Chacun de nous a de la valeur aux yeux de Dieu. Comme il nous le dit lui-même : « Tu as du prix à mes yeux, tu as de la valeur et je t’aime ». Cette parole tirée du livre d’Isaïe (Isaïe 43, 4) me paraît être l’affirmation implicite contenue dans l’évangile de ce dimanche. En effet, c’est quand il ne vaut plus rien, qu’il est devenu fade, que le sel est jeté dehors. Au contraire donc, quand il ne mérite pas ce sort, on le garde car il a conservé sa fonction, il a conservé sa valeur. De même pour la lumière, elle a de la valeur, elle est précieuse. Bien positionnée, elle est capable de briller pour tous ceux qui sont dans la maison. Ainsi, lorsque Jésus dit à ses disciples « vous êtes le sel de la terre » ou encore « vous êtes la lumière du monde », nous comprenons que nous avons chacun, en tant que disciples, une valeur certaine. C’est déjà un premier sujet de réflexion et d’émerveillement ! Ailleurs dans l’évangile, Jésus nous parle de talents (Matthieu 25, 14-30). Ce sont les dons variés que Dieu a donnés à chacun pour être utilisés. De telle manière que l’usage de ces talents produise une valeur supplémentaire, c’est à dire que les qualités exercées par chacun fassent grandir le bien. De même que le sel a la capacité de rendre appétissants les aliments et que la lumière a la capacité de rendre visible ce qui existe, nous avons cette faculté extraordinaire de faire reconnaitre le monde pour aussi bon et aussi beau qu’il est. Voilà notre valeur !
Ce n’est pas pour nous mettre à l’épreuve ou pour nous « mettre la pression » que Jésus nous dit « vous êtes le sel de la terre, vous êtes la lumière du monde ». En effet, il ne dit pas « soyez » ou « devenez » le sel et la lumière mais « vous êtes ». Ou autrement dit : « Tu as du prix à mes yeux, tu as de la valeur et je t’aime ». Mais nous comprenons aussi que cette valeur peut se perdre, qu’elle peut être gâchée. La valeur que nous avons n’est pas garantie par le fait de la conserver mais au contraire par le fait de la donner. Le sel apporte ce qu’il est lorsqu’il est déposé dans un plat. La lumière rend service quand elle est mise sur un lampadaire. C’est donc que notre plus grande valeur est notre capacité à donner ce que nous sommes, c’est-à-dire aussi notre capacité à aimer ! L’amour ne serait-il pas le véritable sel de la terre et la véritable lumière du monde ? Nous serons finalement de véritables disciples du Christ en apprenant à dire nous aussi à notre prochain : « tu as du prix à mes yeux, tu as de la valeur et je t’aime » !
Don Martin PANHARD
Date Chapelet Messe
Lundi 10 février Chapelet à 17h30 Messe à 18h
Mardi 11 février Notre-Dame de Lourdes Chapelet à 14h30 Messe à 15h
Mercredi 12 février Chapelet à 11h Messe à 11h30
Jeudi 13 février Chapelet à 17h30 Messe à 18h
Vendredi 14 février Chapelet à 17h30 Messe à 18h
Samedi 15 février Chapelet à 8h30 Messe à 8h
Dimanche 16 février Chapelet à 10h15 Messe à 11h
Lundi 17 février Chapelet à 17h30 Messe à 18h
Mardi 18 février Sainte-Bernadette Chapelet à 17h30 Messe à 18h
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