Avant d’entrer en procession dans la Basilique, D. Christophe a béni les cierges représentant la lumière que Syméon a reconnue dans Jésus
lorsqu’il a été présenté par Marie et Joseph au temple 40 jours après Noël.
Le 1er dimanche de chaque mois,
les paroissiens de Notre-Dame de la Paix qui le souhaitent,
se retrouvent pour partager leur repas dans les salles paroissiales
Simple et conviviale, la première édition a eu lieu dimanche dernier.
Avis aux amateurs pour les prochains premiers dimanches !%MCEPASTEBIN%
Samedi 1er février, se tenait dans les salles de Notre-Dame de La Paix,
la deuxième réunion des services de la paroisse.
C’est plus de trente bénévoles qui se sont retrouvés, attirés peut-être aussi par les crêpes de la chandeleur….
Après un temps de prière au pied de la Vierge-Marie et dans la lumière de Jésus présenté au temple, D. Martin attaquait le vif du sujet : mieux travailler en équipe pour mieux servir l’église et le Christ.
Deux points essentiels au bon fonctionnement d’une équipe ont été abordés : les signes de reconnaissance et la gestion des conflits.
A nous maintenant de nous approprier et de vivre dans nos services et dans nos vies tout ce que nous avons reçu ce jour.
Nous nous retrouverons, toujours avec joie, pour une dernière rencontre de l’année le vendredi 29 mai en soirée.
Chacun de nous a de la valeur aux yeux de Dieu. Comme il nous le dit lui-même : « Tu as du prix à mes yeux, tu as de la valeur et je t’aime ». Cette parole tirée du livre d’Isaïe (Isaïe 43, 4) me paraît être l’affirmation implicite contenue dans l’évangile de ce dimanche. En effet, c’est quand il ne vaut plus rien, qu’il est devenu fade, que le sel est jeté dehors. Au contraire donc, quand il ne mérite pas ce sort, on le garde car il a conservé sa fonction, il a conservé sa valeur. De même pour la lumière, elle a de la valeur, elle est précieuse. Bien positionnée, elle est capable de briller pour tous ceux qui sont dans la maison. Ainsi, lorsque Jésus dit à ses disciples « vous êtes le sel de la terre » ou encore « vous êtes la lumière du monde », nous comprenons que nous avons chacun, en tant que disciples, une valeur certaine. C’est déjà un premier sujet de réflexion et d’émerveillement ! Ailleurs dans l’évangile, Jésus nous parle de talents (Matthieu 25, 14-30). Ce sont les dons variés que Dieu a donnés à chacun pour être utilisés. De telle manière que l’usage de ces talents produise une valeur supplémentaire, c’est à dire que les qualités exercées par chacun fassent grandir le bien. De même que le sel a la capacité de rendre appétissants les aliments et que la lumière a la capacité de rendre visible ce qui existe, nous avons cette faculté extraordinaire de faire reconnaitre le monde pour aussi bon et aussi beau qu’il est. Voilà notre valeur !
Ce n’est pas pour nous mettre à l’épreuve ou pour nous « mettre la pression » que Jésus nous dit « vous êtes le sel de la terre, vous êtes la lumière du monde ». En effet, il ne dit pas « soyez » ou « devenez » le sel et la lumière mais « vous êtes ». Ou autrement dit : « Tu as du prix à mes yeux, tu as de la valeur et je t’aime ». Mais nous comprenons aussi que cette valeur peut se perdre, qu’elle peut être gâchée. La valeur que nous avons n’est pas garantie par le fait de la conserver mais au contraire par le fait de la donner. Le sel apporte ce qu’il est lorsqu’il est déposé dans un plat. La lumière rend service quand elle est mise sur un lampadaire. C’est donc que notre plus grande valeur est notre capacité à donner ce que nous sommes, c’est-à-dire aussi notre capacité à aimer ! L’amour ne serait-il pas le véritable sel de la terre et la véritable lumière du monde ? Nous serons finalement de véritables disciples du Christ en apprenant à dire nous aussi à notre prochain : « tu as du prix à mes yeux, tu as de la valeur et je t’aime » !
Don Martin PANHARD
Date Chapelet Messe
Lundi 10 février Chapelet à 17h30 Messe à 18h
Mardi 11 février Notre-Dame de Lourdes Chapelet à 14h30 Messe à 15h
Mercredi 12 février Chapelet à 11h Messe à 11h30
Jeudi 13 février Chapelet à 17h30 Messe à 18h
Vendredi 14 février Chapelet à 17h30 Messe à 18h
Samedi 15 février Chapelet à 8h30 Messe à 8h
Dimanche 16 février Chapelet à 10h15 Messe à 11h
Lundi 17 février Chapelet à 17h30 Messe à 18h
Mardi 18 février Sainte-Bernadette Chapelet à 17h30 Messe à 18h
Afin de payer son pèlerinage pour la Terre Sainte jeune fille cherche des baby-sitting
Contact : 06 51 61 58 40
Eglise Sainte-Bernadette le 11 février 2020
Appel aux bonnes volontés
Lundi 10 février à partir de 14h30 à Sainte-Bernadette
– Pour les paroissiennes chargées d’installer et de décorer la salle où se déroulera le goûter des anciens
– Pour les paroissiens afin d’installer les tables et les chaises
Mardi 11 février de 10h à 12h
Venez déposer à Sainte-Bernadette les viennoiseries, gâteaux, boissons qui seront offerts après la Messe
Ô Marie, Nous avons besoin de ton regard immaculé,
pour regarder les personnes
et les choses avec respect et reconnaissance.
Nous avons besoin de ton coeur immaculé, pour aimer de façon gratuite, sans arrière-pensées mais en cherchant le bien de l’autre.
Nous avons besoin de tes mains immaculées, pour toucher la chair
de Jésus dans les frères et soeurs pauvres, malades, méprisés.
Nous avons besoin de tes pieds immaculés
pour marcher sur les sentiers de celui qui est égaré,
pour rendre visite aux personnes seules.
Nous te remercions, ô Mère, parce qu’en te montrant à nous, libre
de toute tache du péché, tu nous rappelles qu’avant tout il y a la grâce
de Dieu, il y a l’amour de Jésus Christ qui a donné sa vie pour nous,
il y a la force de l’Esprit Saint qui renouvelle tout.
Notre-Dame de Lourdes, accueillez nos intentions
et nos appels que nous vous adressons avec foi et espérance.
Quatrième mystère joyeux du Rosaire, abondamment présente dans l’iconographie chrétienne (dès les années 440 dans une mosaïque de Sainte-Marie Majeure à Rome), la Présentation de Jésus au Temple a inspiré de très nombreux artistes (Fra Angelico et Philippe de Champaigne par exemple). Jusqu’à la réforme liturgique issue de Vatican II, elle clôturait le Temps de la Nativité, 40 jours après Noël, d’où l’usage conservé parfois de garder la crèche jusqu’à cette date. Etant une fête du Christ, elle supplante le Temps Ordinaire quand elle est célébrée un dimanche.
Dans sa célébration, deux thèmes ont une grande importance : la rencontre et la lumière. Les orthodoxes ont un autre nom pour cette fête, l’hypapante (signifiant en grec, aller au devant). Ils insistent sur la rencontre du vieillard Siméon et de Jésus qui viennent au-devant l’un de l’autre manifestant ainsi la structure essentielle de la liturgie, rencontre de Dieu et de son Peuple pour la célébration de l’Alliance. Nous ne pouvons rencontrer Dieu s’il ne vient d’abord à nous et nous procure, dans l’Esprit, l’élan qui nous mène à lui.
Sa popularité ne peut se résumer à la seule confection des crêpes. Elle est depuis toujours un évènement majeur de l’histoire du Salut ! Célébrée avec faste à Jérusalem dès le 4ème siècle « avec la plus grande liesse, comme si c’était Pâques » (témoignage d’Egérie vers 382), elle devient une solennité dans tout l’Orient en 542, au début de la grande peste de Justinien. Dans l’Eglise romaine, elle apparait un siècle plus tard comme la fête des chandelles (Chandeleur), sans être forcément la christianisation de la fête païenne des lupercales, célébration de la fécondité tombée alors largement en désuétude. Le plus important est que sa célébration commence à l’aurore par une longue procession de pénitence, à la lueur des cierges, procession représentant le voyage de Joseph, de Marie et de l’enfant Jésus pour aller de Bethléem au Temple de Jérusalem. On bénit les cierges en insistant sur la victoire de la lumière sur les ténèbres. Ce sont aussi les mots du vieillard Syméon qui résonnent ! A propos de Jésus, il s’exclame « mes yeux ont vu le salut… lumière pour éclairer les nations païennes, et gloire d’Israël ton peuple » (Luc 2, 30-32). Déjà, à la Crèche, les bergers avaient été enveloppés de lumière (Luc 2,9), l’épitre aux Hébreux qualifient à deux reprises les baptisés, « d’illuminés » (Hb. 6,4 et 10,32).
Evêque de Jérusalem à partir de 634, saint Sophrone synthétise tout cela dans un sermon pour la fête des lumières : « De même, en effet, que la Mère de Dieu, la Vierge très pure, a porté dans ses bras la véritable lumière à la rencontre de ceux qui gisaient dans les ténèbres ; de même, nous, illuminés par ses rayons et tenant en main une lumière visible pour tous, hâtons-nous vers celui qui est vraiment la lumière…. Soyons-en tous illuminés, mes frères, soyons-en tous resplendissants… Nous aussi, en embrassant par la foi le Christ venu de Bethléem à notre rencontre, nous qui venions des nations païennes, nous sommes devenus le peuple de Dieu, car c’est le Christ qui est le salut de Dieu le Père. Nous avons vu de nos yeux Dieu qui s’est fait chair. Et nous célébrons sa venue par une fête annuelle pour ne jamais risquer de l’oublier ».
Don Stéphane PELISSIER
Vente de charité organisée par l’Entraide paroissiale
21-22 Février à Notre-Dame de la Paix
Vêtements, bibelots, vaisselle, livres, meubles…
(Christian : 06 31 86 94 55 – Pierre : 06 76 17 64 70)%MCEPASTEBIN%