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Week-End Alpha à Cotignac

Week-End Alpha à Cotignac 3264 2448 Paroisses de Saint-Raphael

Les samedi 9 et dimanche 10 novembre au Foyer de la Sainte Famille à Cotignac a eu lieu le week-end de mi-parcours du parcours ALPHA de notre paroisse.
Le thème de ce moment fort est l’Esprit Saint :
Qui est l’Esprit Saint ? Comment être rempli de l’Esprit Saint ?
C’est un moment d’enseignement mais aussi de recueillement, de prière individuelle et collective et de convivialité ; C’est une parenthèse dans notre vie quotidienne.
Nous étions un groupe d’une vingtaine d’animateurs et d’invités.
Le personnel du foyer ainsi que les frères de la communauté de Saint Jean nous ont accueillis avec une telle disponibilité, répondant à toutes nos questions, un tel sourire rayonnant de Foi, que nous avons tous été touchés.Notre week-end a été ensoleillé et nous avons vécu ce temps fort de manière vraiment fraternelle.

Attention, un Temple peut en cacher un autre !

Attention, un Temple peut en cacher un autre ! 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

L’évangile nous présente Jésus au Temple avec ses disciples. Le Temple de Jérusalem est encore à ce moment-là le lieu privilégié de la rencontre avec Dieu et même le lieu de la présence de Dieu. Jésus y a été présenté par ses parents après sa naissance selon la loi de Moïse. Adolescent, il y va en pèlerinage et y reste même à l’insu de ses parents qui le retrouveront en train de faire la leçon aux docteurs de la loi. Pendant son ministère public, il s’y trouve fréquemment pour enseigner. Enfin, c’est à proximité du Temple que Jésus va être arrêté, crucifié au moment même où dans le Temple on commence à sacrifier les agneaux pour la Pâque, puis va ressusciter.
Mais la relation de Jésus avec le Temple prépare une rupture fracassante. Jésus ne lui prédit pas un grand avenir. Il annonce clairement sa destruction prochaine et totale. Elle adviendra en effet environ quarante ans plus tard et il ne sera jamais relevé. Mais le propos de Jésus ne concerne pas le plan d’urbanisme de Jérusalem. Quand on lui parle du Temple et de sa beauté, il répond en parlant de lui… et de nous.
– de lui. Car ce qui va advenir au Temple en pierre figure ce qui va advenir de lui : il sera détruit. A la différence fondamentale près que Jésus va s’en relever en ressuscitant d’entre les morts. Il l’avait annoncé : « Détruisez ce Temple et moi, en trois jours, je le rebâtirai ». Les disciples ne comprendront cette parole qu’après sa résurrection. En effet, le Temple dont parlait Jésus, c’était son propre corps. lorsque son corps est déchiré sur la croix, à quelques centaines de mètres, le rideau du Temple se déchire de haut en bas, attestant l’abolition du culte lié à ce Temple près de disparaitre définitivement et l’avènement de l’Alliance Nouvelle scellée dans le sang du Christ sur la croix. Il y a bien un Temple mais celui-ci n’est plus fait de main d’hommes. C’est Jésus lui-même en qui l’humanité est réconciliée avec Dieu. C’est en lui que Dieu habite pleinement parmi les hommes.
– de nous. Car nous avons pris conscience aussi que nous constituons nous-mêmes le nouveau Temple, en prolongement du corps du Christ. Tel est l’enseignement explicite de saint Paul : l’Eglise est le Temple de Dieu. Chaque chrétien est lui-même Temple de Dieu en tant que membre du corps du Christ. Voilà le Temple définitif qui n’est pas fait de main d’hommes : c’est l’Eglise, corps du Christ, lieu de la rencontre entre Dieu et les hommes, signe de la présence divine ici-bas. De ce Temple-là, l’ancien sanctuaire n’était donc qu’une figure, suggestive mais imparfaite, provisoire et maintenant dépassée. Nous pouvons comprendre les persécutions et autres maux que nous annonce Jésus dans cet évangile comme la garantie que nous sommes bien son corps  ! En persévérant, nous subirons le même sort : nous garderons la vie !
D. Martin PANHARD

Mon Avent avec Saint Jean XXIII

Mon Avent avec Saint Jean XXIII 250 381 Paroisses de Saint-Raphael

Personnage marquant du XXe siècle, Jean XXIII décède le 30 juin 1963 au Vatican, à l’âge de 82 ans. Encore aujourd’hui, on se souvient de lui pour son légendaire sourire. Un guide pour vous accompagner chaque jour de l’avent et du temps de Noël dans votre cheminement de foi
En vente à la sortie des messes

Formation de la Pastorale de la santé : 2ème formation

Formation de la Pastorale de la santé : 2ème formation 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

« La loi sur l’euthanasie : aspect juridique, éthico-médical et psychologique »
Mr Jean-Michel PERMINGEAT (juriste) – Dr Isabelle Palayer (médecin, éthico-médical)
P. Christophe (DDPS, psychologico-pastorale)
La séance prévue le samedi 5 Mars 2022 est reportée au samedi 26 mars de 9h à 12h
à l’église Notre Dame de la Paix de St Raphaël (159 Boulevard du Maréchal Alphonse Juin)
Aucune inscription préalable n’est nécessaire.
Cette formation est ouverte à tous, engagés ou non à la Pastorale de la santé.
Venez nombreux !

Bénédiction des tombes au cimetière de l’Aspé par Don Christophe

Bénédiction des tombes au cimetière de l’Aspé par Don Christophe 1181 886 Paroisses de Saint-Raphael

Bénédiction des tombes au cimetière de l’Aspé par Don Martin

Bénédiction des tombes au cimetière de l’Aspé par Don Martin 1181 1575 Paroisses de Saint-Raphael

Bénédiction des tombes au cimetière Alphonse Karr

Bénédiction des tombes au cimetière Alphonse Karr 1181 886 Paroisses de Saint-Raphael

Prière des défunts

Prière des défunts 1181 886 Paroisses de Saint-Raphael

Commémoration des défunts péris en mer

Commémoration des défunts péris en mer 1181 886 Paroisses de Saint-Raphael

Résurrection ou Néant ? Il faut choisir…

Résurrection ou Néant ? Il faut choisir… 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

La fin de l’Année liturgique approche avec des textes évangéliques très marqués : l’Eglise nous invite à nous remettre face aux questions fondamentales de la mort, de l’éternité et du salut. Comme l’écrivait en 1985 le Cardinal Ratzinger, « la question essentielle posée à la vie humaine, c’est la mort ; si l’on n’y répond pas, on n’a, en définitive, rien répondu du tout  ».
Il ne faut pas avoir peur de comprendre que LE REGARD QUE NOUS POSONS SUR LA MORT ET L’AU-DELà CONDITIONNE ABSOLUMENT TOUTE NOTRE VIE.
Saint Paul nous met en garde depuis deux millénaires : « si le Christ n’est pas ressuscité, votre foi est vaine… Nous sommes les plus à plaindre de tous les hommes » (1ère lettre aux Corinthiens 15, 16s). Croire en un Dieu créateur, aimant et miséricordieux, celui révélé par le Christ, lui-même vrai Dieu et vrai homme, c’est croire en la nécessaire Résurrection annoncée et vécue par ce même Jésus. Si nous ne croyons pas à La résurrection et à la vie éternelle, nous n’avons plus rien à faire dans les églises.
Pourquoi prier pour nos morts s’il n’y rien après ? Pourquoi avoir le désir de faire le bien sur la terre s’il n’y a pas de récompense après cette vie ? Soyons un peu logique tout de même !
Allons jusqu’au bout du raisonnement : « Que faire si Dieu n’existe pas, si Rakitine a raison de prétendre que c’est une idée forgée par l’humanité ? Dans ce cas l’homme serait le roi de la terre, de l’univers. Très bien ! Seulement, comment sera-t-il vertueux sans Dieu ? Je me le demande. Alors tout est permis »? (Paroles de Dimitri dans Les frères Karamazov de Dostoïevski).
Nous subissons chaque jour davantage de manière dramatique les conséquences écologiques, économiques et spirituelles de cette terrible erreur dominante de l’homme-roi de la terre puisque Dieu (dont on ne se pose plus la question de l’existence) n’est plus un obstacle à sa toute-puissance. Le Pape émérite Benoît XVI nous a rappelé récemment que la crise de l’Europe était anthropologique : nous ne savons plus qui nous sommes car nous ne croyons plus que nous sommes faits à l’image de Dieu.
La Révélation biblique accepte la réalité de la mort, conséquence du péché, mort qui creuse un fossé infranchissable par l’homme avec la vie terrestre.
Laissons à l’historien P. Chaunu ces mots magnifiques de foi et d’espérance : « Si la mort est bien la mort, la vie est la vie. Et la vie est pour Dieu. Alors quand le but est atteint, quand l’amour de Dieu envahit les instants de cette vie, il n’est plus possible que l’amour de Dieu qui est ‘au commencement’, en dehors du temps qu’Il a créé, tienne encore dans ce temps… Cette histoire d’amour entre Dieu et les hommes conduit au-delà de la mort et du temps… L’amour de Dieu transforme l’instant de la mort, l’ultime instant qui récapitule la totalité du temps vécu, à travers une mutation qui est dite résurrection, en éternité participée…
La mort est vraie mais l’Amour de Dieu est vrai plus encore. Et l’amour de Dieu ne peut se satisfaire en dehors de l’Eternité. Eternité d’acceptation ou de refus ».
D. Stéphane Pélissier

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