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Confessions du 15 août

Confessions du 15 août 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

Une permanence sera assurée avec plusieurs prêtres le VENDREDI 14 AOÛT
de 14h à 16h à la Basilique

Fête de la Saint Pierre à Saint-Raphaël

Fête de la Saint Pierre à Saint-Raphaël 1476 1107 Paroisses de Saint-Raphael

Suivre Jésus sur les eaux

Suivre Jésus sur les eaux 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

Là où est le Christ, les tempêtes s’apaisent. C’est une des significations de cet évangile qui nous fait découvrir que la Foi, avant d’être une adhésion à un Credo, est la découverte d’une présence dans notre vie, celle du Fils de Dieu. Mais cette rencontre n’est jamais une improvisation ou le fait du hasard comme peut nous le faire comprendre ce récit. Jésus oblige ses disciples à monter dans la barque, il les envoie au-devant, c’est une des rares fois où l’on voit s’exercer, par le Christ, une contrainte sur des personnes humaines. Mais c’est l’image même de la vie humaine qui, lorsqu’elle n’est pas vécue comme un engagement, est subie comme une contrainte. Rejoindre d’autres rivages en affrontant les vagues de l’existence est le lot de tout homme. La contrainte du Christ est un rappel au réalisme de la vie. Nous pouvons penser que le Christ nous abandonne, mais il nous porte dans et par sa prière et lorsque les vents sont contraires, il vient à notre rencontre et cette rencontre est une mise à l’épreuve de notre foi.
Mais il est un autre aspect que cet évangile souligne. C’est l’attitude de Pierre. Sa foi n’est pas assez forte alors il veut mettre à l’épreuve le Christ en voulant faire et être comme lui. Mais le disciple ne peut être le singe savant du Messie qui reproduit les faits et gestes de son maître. Le croire et le vouloir c’est être petit de Foi. Le disciple est celui qui suit le Messie en allant vers lui comme son Sauveur.
« Nous ne sommes pas capables d’« imiter » Jésus ou, du moins, nous ne pouvons jamais avoir cette prétention. C’est vrai que Jésus consent à la demande de Pierre, en lui disant : « Viens ! » Viens à moi ! Mais aller ainsi à Jésus est une suivance et non une imitation. La différence entre les deux paroles est inscrite dans le présent récit. Tant que Pierre présume qu’il peut marcher sur les eaux comme Jésus et qu’il est donc capable de l’« imiter », de pouvoir être ou faire comme lui, il va au-devant d’un échec. En revanche, quand commence-t-il à suivre Jésus ? Quand il lui crie : « Seigneur, sauve-moi ! ».
Autrement dit, la différence entre imitation et suivance ne consiste pas tant dans le genre de « prestation » que dans son esprit. Ou bien nous acceptons de nous mettre humblement à la suite de Jésus ( et dans ce cas nous pouvons même faire des oeuvres plus grandes que les siennes, comme nous l’apprend Jean 14, 12 : ce n’est pas une question de mesure exacte ), ou bien nous avons la prétention d’être ou de faire comme lui et, dans ce cas, nous démontrons que nous n’avons pas besoin de son aide, de son modèle pour guide, de son secours et nous ne pouvons qu’aller au-devant du naufrage de toutes nos fausses certitudes. » ( Alberto Mello )

Les aventures clownesques de célestin troupe « les bons bardes »

Les aventures clownesques de célestin troupe « les bons bardes » 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

dans le cadre du festival Anuncio
Spectacle musical gratuit et participatif (tout public)
VENDREDI 7 AOÛT à 21 h
Parvis de la BASILIQUE NOTRE-DAME DE LA VICTOIRE

Le Bon Conseil, Patronage en visite à saint-Raphaël

Le Bon Conseil, Patronage en visite à saint-Raphaël 600 800 Paroisses de Saint-Raphael


Le Bon Conseil, patronage catholique a été créé en 1894 par l’abbé Esquerré dans le 7ème arrondissement de Paris.
Il compte actuellement 2.600 jeunes et est ouvert 7 jours sur 7. Plus de 40 activités sont proposées. Il compte 200 bénévoles, 60 salariés et dirigé par l’abbé Vincent de Mello depuis 12 ans. Devise des Patronages : Ici on joue ici on prie.
Le patronage du Bon Conseil, maison catholique qui accueillent des centaines de jeunes depuis maintenant plus de 125 ans, n’a pas fait exception à la règle. Dans la vallée de l’Arvan qui surplombe Saint Jean de Maurienne, célèbre par le col de la Croix de Fer, plus de cent jeunes de 8 à 18 ans ont peuplé l’endroit de leurs chants et de leur bonne humeur. Le but du séjour : lier de belles amitiés sous le regard du Christ, en profitant des paysages splendides offerts par les montagnes qui dominent le site, à plus de 2.000 mètres. Les souffrances endurées pendant les randonnées étaient vite oubliées en atteignant les cîmes. La beauté de la création qui s’étale sous les pieds des enfants leur fait oublier le quotidien parisien.
Les éducateurs ont à cœur de les encadrer avec amour et bienveillance, deux mots si galvaudés aujourd’hui. Mais au chalet, ce ne sont pas seulement des termes vidés de leur sens, c’est une réalité que chacun porte au plus profond de son âme. « Devenir meilleur avec le Christ », telle est la devise du Bon Conseil pour forger des hommes et des femmes fermes dans leur foi, qui n’ont pas peur de témoigner de l’amour de Dieu dans un monde en recherche d’idéal et d’absolu. Quel meilleur exemple pour des adolescents de 14 ans que de se savoir guidés pendant dix jours par des jeunes adultes qui se mettent au service, gratuitement, par amour et par passion de l’éducation.
À l’issue des camps, pour les plus grands d’entre eux, des lycéens et leurs éducateurs, l’aventure devait les amener beaucoup plus loin, plus au sud, à Saint-Raphaël. Localité : le sud. Température : élevée, très élevée. Accueilli par les paroisses, le groupe a sillonné la région et les plus beaux sanctuaires et abbayes qu’elle recèle  : Cotignac, la Sainte-Baume, Le Thoronet. Ce furent cinq jours rythmés par la prière, des jeux en tout genre, des baignades dans cette eau très salée mais dont la température a de quoi rendre jaloux l’ouest de la France. En bref, c’est un séjour pour le moins agréable, dans l’une des plus belles régions de notre pays. Si le contexte porte au laisser-aller et à l’insouciance des vacances, le but spirituel du camp n’est pas mis de côté, bien au contraire. Chaque lieu visité est l’occasion pour tous de méditer sur sa foi, sur la figure de saint Joseph et sainte Marie-Madeleine ou sur l’état de vie des petites Sœurs de Bethleem. Les enseignements du Père de Mello, ou ceux dispensés par les éducateurs, ouvrent la porte à la discussion personnelle avec chacun d’eux. Accompagner les jeunes confiés à la responsabilité du Bon Conseil, les faire grandir, les faire prier sont autant de missions à remplir, que les encadrants prennent avec beaucoup de sérieux. C’est de cette manière que de nombreux enfanst et jeunes décident à leur tour de se mettre au service des plus petits  : ils ont reçu un trésor, et veulent dorénavant le transmettre. Le camp de cet été 2020, en dépit de l’angoisse véhiculée par les informations qui tournent en boucle et asphyxient ceux qui les écoutent, aura permis de révéler des futurs éducateurs, impatients de témoigner de la joie qui les habitent, désireux de la partager autour d’eux. C’est une des missions du Bon Conseil, mise en application en Provence pendant quelques jours.

Cinq pains et deux poissons

Cinq pains et deux poissons 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

Le miracle de la multiplication des cinq pains et des deux poisson montre l’amour miséricordieux de Dieu pour les hommes, particulièrement pour ceux qui l’aiment et veulent le rencontrer. L’Évangile nous expose l’importance de la rencontre avec Dieu pour se nourrir de Sa Parole, exprimée dans Son Évangile.
Puis, nous voyons Sa miséricorde lorsqu’Il guérit le malade qui lui est amené. Enfin, l’Évangile montre que le Christ, notre Seigneur, ne sépare pas les soins pour l’âme de ceux pour le corps. Toutefois Il donne priorité à l’âme sur le corps.
La multiplication des cinq pains et des deux poissons a inspiré les oeuvres de charité de l’Église. L’Évangile est une source de lumière pour chaque Chrétien et pour l’Église entière aussi, parce qu’il a inspiré les oeuvres de charité de l’Église, les cantines pour les pauvres, l’aide à ceux qui ont faim, aux malades et aux personnes vulnérables.
Les pains et les poissons ont été multipliés tandis qu’ils ont été distribués  : La multiplication des cinq pains et deux poissons a été précédée non seulement par la guérison du malade, mais aussi par l’enseignement de l’Évangile du Royaume de Dieu. Autrement dit, le Christ, notre Seigneur, nourrit d’abord les âmes des hommes avec Sa présence miséricordieuse, affectueuse et avec la lumière de sa Parole, l’Évangile du Royaume des cieux ou de la vie éternelle.
Les cinq pains et les deux poissons étaient peu de nourriture en comparaison avec à la foule affamée qui n’avait rien mangé de tout le jour, mais ils sont multipliés par la bénédiction. Ce fait montre le pouvoir de la miséricorde du Seigneur parce qu’Il ne fait pas de miracles pour impressionner, intimider ou se valoriser, mais par amour miséricordieux pour les hommes et les femmes qui ont patiemment écouté l’Évangile et ont assisté à la guérison de beaucoup de malades et de gens souffrants.
En raison de leur écoute dévouée et patiente, le Christ, notre Seigneur, leur a préparé un dîner afin qu’ils ne dépensent pas d’argent et n’aient pas à errer, fatigués, dans les villages avoisinants, pour acheter de la nourriture.
Le fait que ce soit lors de leur distribution aux gens, que les pains et les poissons ont été multipliés, est très important. Ils ont été multipliés parce qu’ils ont été bénis et parce qu’ils sont distribués. Personne n’a vu de piles de pains ou de poissons, mais ils ont été multipliés au moment même où ils étaient distribués.
Ainsi, le Christ nous enseigne que nous ne devons pas amasser de grandes provisions de choses matérielles, périssables, ce qui donne uniquement une fausse sécurité et un bonheur illusoire. Le soin de Dieu et l’amour pour les humains sont plus grands que n’importe quelle thésaurisation de choses matérielles, périssables.
Le Christ, notre Seigneur, nous appelle aussi à avoir une attitude de confiance en l’amour miséricordieux de Dieu et ne pas être avide, faire des réserves, ou amasser beaucoup de richesses matérielles, en pensant que ceci peut nous assurer la sécurité dans la vie.
Le Christ, notre Seigneur, veut que les dons qu’Il a bénis soient reçus en bon ordre, en les attendant dans la paix et le calme. Il a béni la nourriture, rompu le pain et l’a donné à Ses disciples qui l’ont distribué. Ici nous voyons le rôle du sacerdoce. Le Christ donne à l’Église par les mains de Ses Apôtres et fidèles qui sont les serviteurs du saint autel. Ceux dont le rôle est de distribuer les dons reçus de Dieu, doivent donc montrer à un grand nombre de personnes l’amour de Dieu et être des témoins de l’amour de Dieu pour les humains.
Une fois que la foule a été rassasiée, les miettes ont été ramassées dans 12 paniers. Ils symbolisent le fait que Dieu donne la nourriture au peuple choisi d’Israël, les 12 nations, si ces gens obéissent à la parole de Dieu. Mais ces 12 paniers montrent aussi que le Christ, notre Seigneur, nourrit Son Église par les 12 Apôtres, tant en ce qui concerne les dons spirituels que les soins charitables à ceux qui ont faim, qui sont pauvres et qui sont vulnérables.

A propos du port du masque dans les églises

A propos du port du masque dans les églises 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

Certaines personnes refusent de porter le masque durant les célébrations dans nos églises. Elles s’appuient sur des « révélations » diffusées par un site canadien, en particulier un « message » de Marie daté du 16 mai, adressé à Edson Glauber (Brésil). Ces révélations sont condamnées par l’évêque du lieu et par Rome.
La congrégation pour la Doctrine de la Foi a fait savoir qu’elle considérait ces apparitions comme inauthentiques.
Le 18 avril 2017, la prélature d’Itacoatiara publie un communiqué dans lequel elle annonce
la « non reconnaissance de l’authenticité des apparitions », conformément à la position de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi. Elle ordonne le silence sur les prétendues apparitions, demandant à ce qu’il n’en soit plus fait mention dans le culte et à ce que la divulgation des messages soit interrompue.
Le 2 décembre 2017, Mgr Sergio Eduardo Castriani, archevêque de Manaus, publie une lettre ouverte à l’attention de M. Edson Glauber et de l’association responsable du sanctuaire d’Itapiranga pour un rappel à l’obéissance aux autorités ecclésiales, dans l’attente d’une décision ultérieure sur les événements d’Itapiranga.
Le P. Aguila, doyen de l’Est-Var, a adressé à tous les curés du doyenné,
le décret paru au journal officiel du 11 juillet 2020, concernant les lieux de culte,
espaces clos accueillant du public, avec l’obligation du port du masque.

Ce trésor est la Parole

Ce trésor est la Parole 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

Avec ce dimanche, se termine l’enseignement de Jésus en sept paraboles, sur le Règne de Dieu.
Ce Règne a à voir avec la vie concrète des hommes comme en témoigne la volonté délibérée de Jésus d’en faire la catéchèse par des paraboles qui rejoignent l’expérience professionnelle et domestique de son auditoire. Ce n’est donc pas du « prêt-à-porter » ou un « prêt-à-penser », mais du « sur-mesure », à la mesure des oreilles du cœur.
Où et comment arrive ce Règne ? Par l’accueil dans sa vie de la Parole de Dieu (le semeur). Ce règne, le mal ne pourra en empêcher l’avènement (la parabole de l’ivraie) tant est grande la force et la vitalité de la Parole (le grain de sènevé, le levain et la farine). Mais le blé n’est semé et ne pousse que pour être moissonné et la moisson est faite pour donner le froment qui deviendra le pain quotidien. Le Règne s’accomplira définitivement dans un ultime acte de jugement discriminatoire sur le discernement de sa valeur et sa richesse (le trésor et la perle) et entre les bons et les mauvais ( le filet ). « Ne vous faites pas de trésors sur la terre, là où les mites et la rouille les dévorent, où les voleurs percent les murs pour voler. Mais faites-vous des trésors dans le ciel, là où les mites et la rouille ne dévorent pas, où les voleurs ne percent pas les murs pour voler. Car là où est ton trésor, là aussi sera ton cœur » (Matthieu 6,19-21).
Les paraboles de cette semaine nous posent une triple interrogation : l’Eglise est-elle notre trésor ? Sommes-nous prêts à tout vendre pour suivre le Christ ? Sommes-nous prêts à être jugés par Dieu ? Nous savons bien que nous ne pouvons répondre par l’affirmative sans présomption orgueilleuse. Que comprendre alors ?
Si nous pouvons lire ces paraboles du Royaume comme une exhortation à une authentique vie chrétienne faite d’accueil et d’écoute fructueuse de la Parole malgré les attaques du mal, et comme un appel à cultiver notre jardin à l’instar de Candide en attendant le jour de la moisson, elles nous révèlent aussi le mystère même de Dieu.
Ce maître de maison qui tire de son trésor du neuf et de l’ancien et à qui doit s’apparenter le disciple, peut évoquer le Père qui, dans sa volonté de sauver la création originelle issue de sa Parole, envoie son Fils unique mourir et ressusciter afin de rassembler ses enfants dispersés, leur donner l’Esprit de vie et renouveler la face de la terre. Sous cet éclairage, les images utilisées dans ces paraboles (le grain de blé, le moissonneur, le champ, le filet, le trésor…) prennent alors une coloration particulière. Si donc les paraboles du Royaume évoquent le processus de notre croissance spirituelle, elles mettent surtout en relief que l’essentiel, à savoir la vitalité mise en œuvre et le devenir spirituel, échappe à notre maîtrise car c’est œuvre de Dieu et non des hommes. Il nous faut donc pour être disciple du royaume commencer par être scribe, c’est à dire familier et professionnel (celui qui professe) de la Parole de Dieu laquelle n’est pas d’abord un texte ou une voix mais une personne, celle du Christ.

Par l’intermédiaire de l’entraide Paroissiale

Par l’intermédiaire de l’entraide Paroissiale 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

Famille vivant à Flayosc cherche pour leur fille de 15 ans qui entre en seconde à Stanislas
une chambre individuelle. (Contact Claude 06.98.89.57.60)

Fête de la Saint-Pierre

Fête de la Saint-Pierre 190 228 Paroisses de Saint-Raphael

Dimanche 2 août 2020

8h30 : Messe basse
9h30 : Départ de la procession de l’église San Raféu à la Basilique
10h : Grand-Messe à la Basilique suivie de la procession au lien de Mer
17h30 : Vêpres et Salut du Saint-Sacrement à la Basilique
18h30 : Messe chantée en latin

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