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Messe des malades à Sainte-Bernadette

Messe des malades à Sainte-Bernadette 1920 2560 Paroisses de Saint-Raphael

Pèlerinage à Lourdes

Pèlerinage à Lourdes 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

du 13 au 18 juillet 2025 accompagné par Don Louis Marie

Réunion d’information
Dimanche 2 mars à 15h à Sainte-Bernadette
en présence du Diacre Bernard Terreneuve

Il reste des places pour le pèlerinage

Heureux sommes-nous d’être chrétiens !

Heureux sommes-nous d’être chrétiens ! 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

« Heureux êtes-vous ! » Voici l’appel vibrant que nous adresse le Seigneur : nous sommes faits pour le bonheur, pour être heureux. Suivre le chemin qu’Il nous propose, nous conduira à la vraie Béatitude. Dans la somme de théologie, saint Thomas d’Aquin commence la partie de théologie morale par le traité sur la Béatitude. Pour un chrétien : agir de manière droite, c’est nous diriger vers le chemin du vrai bonheur. Nous sommes appelés au bonheur infini du Ciel où il n’y aura ni larmes, ni souffrance physique ou morale, ni mort mais, déjà ici-bas nous pouvons goûter le bonheur véritable qui provient de la communion avec Dieu et de la joie de faire sa volonté. « La vie éternelle a déjà commencé » dit une des préfaces des dimanches. Les commandements, l’éducation, toute la morale ne sont pas là pour nous contraindre dans notre agir mais pour nous aider à trouver le vrai bonheur.
Il est vrai cependant que le bonheur véritable peut parfois nous sembler éloigné des aspirations superficielles de notre existence : « heureux les pauvres », « heureux vous qui avez faim », « heureux vous qui pleurez », « heureux quand les hommes vous haïssent et vous excluent ». Si nous nous écoutons nous-mêmes, les béatitudes ressembleraient plutôt à celles-ci : « heureux les riches, heureux ceux qui ont réussi, heureux ceux qui sont en bonne santé, heureux ceux que tout le monde admire. » Le chemin de la vie chrétienne consiste à découvrir petit à petit, en méditant l’évangile et en contemplant le Christ, que le vrai bonheur est donné à celui qui « se plaît dans la Loi du Seigneur et murmure sa Loi jour et nuit ». Moins de moi, plus de Dieu !
Nous partons aujourd’hui avec les jeunes de l’aumônerie pour six jours de camp à Notre Dame du Laus, dans ce lieu béni, visité par la Sainte Vierge au cœur des Alpes. Dans un climat de vacances fraternelles pour ces jeunes, nous allons essayer de leur faire goûter les vraies béatitudes : « heureux celui qui rend service avant même qu’on le lui demande », « heureux celui qui sourit alors qu’il a envie de râler », « heureux celui qui se contente du peu de confort qu’il a, mais qui ne cherche pas la facilité », « heureux celui qui se détache du regard des autres en passant une semaine sans réseau social » ! Chers paroissiens, je me permets de confier ce camp à votre prière : non pas d’abord pour que nous fassions des exploits en ski, ni même d’abord pour que nous ayons beau temps (même si cela serait quand même mieux !) mais surtout pour que les jeunes se détournent de leur égoïsme et grandissent dans la joie de se donner, qu’ils puissent vivre une expérience vivante de Dieu afin que le Seigneur oriente vraiment leurs actes et leurs paroles.
Priez pour que nos jeunes soient des saints : rien ne sera plus utile à notre pays !
Don Raphaël SIMONNEAUX

Fête de la chandeleur célébrée dans les paroisses

Fête de la chandeleur célébrée dans les paroisses 2560 1920 Paroisses de Saint-Raphael

A notre Dame de la Victoire

A Notre Dame de la Paix

Messe d’action de grâce de Mgr REY

Messe d’action de grâce de Mgr REY 480 640 Paroisses de Saint-Raphael

Journée de pré-jubilé des jeunes

Journée de pré-jubilé des jeunes 848 1131 Paroisses de Saint-Raphael

Pèlerinage diocésain au sanctuaire Saint-Joseph

Pèlerinage diocésain au sanctuaire Saint-Joseph 700 411 Paroisses de Saint-Raphael

Temps fort diocésain à Cotignac à l’occasion de la solennité de Saint-Joseph
Mercredi 19 mars 2025
Pour se rendre au pèlerinage de Cotignac nous louons un bus
RDV mercredi 19/03 à 8h15 devant le parking Bonaparte – retour vers 19h00
participation 20€ (à payer dans le bus)
Pour réserver des places : appeler le secrétariat de la paroisse 04 94 19 81 29
avant le 15 mars 2025 !


Programme :
Au sanctuaire Saint-Joseph du Bessillon : Au sanctuaire Notre-Dame de Grâces :
10h30 Messe (sur le parking) présidée 14h15 Conférence par Mgr François Touvet animée par nos enfants du patronage
par Monseigneur François Touvet 15h30 Procession-Chapelet
17h00 Vêpres solennelles et adoration 16h00 Vêpres solennelles

Duc i altum !

Duc i altum ! 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

Les textes de ce cinquième dimanche du Temps Ordinaire nous permettent d’identifier un processus qui advient généralement lors d’une conversion. Il s’agit d’étapes clés par lesquelles sont passés ceux qui disent avoir la foi. Même si ces étapes du chemin de conversion ne sont pas toujours bien tranchées, je crois que l’on peut ainsi résumer la dynamique missionnaire.

  • Une rencontre avec Dieu
  • Qui bouleverse et transforme notre existence
  • Et qui nous rend missionnaires.

Ce même processus est vécu par Isaïe (1ère lecture), Paul (2ème lecture) et Pierre (Evangile).
Tout commence par une irruption du divin. Isaïe voit le Seigneur dans sa gloire, Paul est saisi par le Ressuscité sur le chemin de Damas, Pierre est bouleversé par la puissance de Jésus lors de la pêche miraculeuse. Cette rencontre n’a rien d’anodin : elle dérange, elle met en lumière ce que l’homme est vraiment devant Dieu.
Car aussitôt après vient un moment de lucidité douloureuse : la prise de conscience de son indignité. Isaïe s’écrie : « Malheur à moi, je suis un homme aux lèvres impures ! », Pierre tombe aux genoux du Christ en confessant  : « Éloigne-toi de moi, Seigneur car je suis un homme pécheur  !  » et Paul se reconnaît comme « l’avorton », le dernier des apôtres, indigne de sa mission. La proximité du divin est une lumière qui révèle la vérité de notre être en nous plaçant immédiatement dans l’humilité : non pas un écrasement, mais la juste condition de la créature face au Créateur. Devant Dieu, nous ne pouvons plus nous illusionner sur nous-mêmes.
Mais cette même lumière ne révèle pas seulement notre indignité. Elle éclaire aussi nos talents, nos potentialités cachées, celles que nous ignorions nous-mêmes ou que nous n’osions pas reconnaître. Isaïe, l’homme aux lèvres impures, devient le prophète d’une parole brûlante. Paul, le persécuteur, devient l’infatigable missionnaire des nations. Pierre, le pêcheur sans envergure, devient le roc de l’Église. En rencontrant Dieu, ils découvrent en eux une richesse insoupçonnée. La toute puissance divine lorsqu’elle se rapproche de nous, n’écrase pas, elle élève.
L’amour de Dieu va plus loin. Pour nous permettre de nous déployer, de réaliser les potentialités qui sont en nous, il choisit un moyen très simple mais si beau : Il fait confiance !
Il nous confie ce qu’il a de plus beau : l’annonce de l’évangile.
Ce schéma – rencontre, prise de conscience, envoi – n’est pas réservé aux grandes figures bibliques. Il est celui de toute vie chrétienne authentique. Dieu se donne à voir dans nos existences : à travers une parole, un événement, une rencontre. Il nous révèle à nous-mêmes, non pour nous accabler, mais pour nous ouvrir à sa grâce. Et il nous envoie, chacun selon notre vocation, être témoins de son amour dans le monde.
Peut-être pouvons nous profiter de ce dimanche pour demander la grâce d’une rencontre plus approfondie avec le Seigneur, pour qu’en le laissant s’approcher de nous, il puisse faire grandir la confiance. Prenons cette décision de ne plus nous laisser enfermer dans nos propres limites en écoutant le Christ nous envoyer au large.
Don Louis Marie DUPORT

Lumière des nations

Lumière des nations 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

C’est le nom que le vieillard Syméon donne à cet enfant de 40 jours en le prenant dans ses bras et en l’élevant, j’imagine, en action de grâces dans le Temple de Jérusalem, comme pour le présenter à son Père et à nous, à l’ensemble de l’humanité.
C’est le nom que le Concile Vatican II a voulu lui redonner, environ 2000 ans plus tard, en intitulé d’un de ses principaux documents (“Lumen Gentium”). Et en l’an 2025, nous fêtons encore cet Enfant qui est venu, qui a prêché l’évangile et qui a réalisé le Salut par sa mort et sa Résurrection, nous “jubilons” même, car cette Bonne Nouvelle du Salut en Jésus-Christ reste “la grande joie pour tous les peuples” (cf Lc 2,10) : Jésus Christ ! Non seulement pour le passé, mais annoncé encore dans notre présent fébrile, et attendu encore dans le futur pour son retour dans la gloire, car passé, présent et futur se rejoignent en la Personne de ce Jésus, proclamé par Syméon, reconnu comme Lumière par les nations, « annoncé chez les païens, et cru dans le monde » (cf 1Tim 3,16), c’est Lui la Bonne Nouvelle indépassable, « Celui qui est, qui était, et qui vient ! » (Ap 1,8).
Moi aussi, Seigneur Jésus, je t’appelle « Lumière des nations » avec jubilation intérieure, avec la joie d’une Bonne Nouvelle indépassable à annoncer encore au monde entier, à toutes les nations, même celles qui aujourd’hui mettent beaucoup d’énergie (malsaine) à ne pas te reconnaître comme leur vraie Lumière.
Oui, le fait que tu ne sois pas reconnu comme l’Enfant-Dieu, Innocent et Sauveur, faible et ressuscité, « crucifié en raison de ta faiblesse, mais vivant par la Puissance de Dieu » (2Co 13,4) m’attriste infiniment, mais “ma tristesse se changera en joie, et personne ne me l’enlèvera !”
(cf Jn 16,22). Oui, que l’évangile soit mis au “banc des nations” alors qu’il est « Lumière des nations » me peine profondément, d’une part parce que « l’Amour n’est pas aimé », d’autre part parce que rejeter la Lumière est la meilleure garantie d’épaissir les ténèbres et de s’y enfoncer.
« Pour peu de temps encore la lumière est parmi vous. Marchez tant que vous avez la lumière, de peur que les ténèbres ne vous saisissent ; celui qui marche dans les ténèbres ne sait pas où il va. Tant que vous avez la lumière, croyez en la lumière, afin de devenir des fils de lumière. »
Jn 12,35-36.
Cet avertissement de Jésus à la veille de sa mort et de sa disparition dans le tombeau, comme Jonas dans le ventre du cachalot, je souhaite le redire à ma génération.
« Il ne sera pas donné de signe à cette génération !… » Elle en a déjà eu trop, et ça n’a servi à rien qu’à endurcir les cœurs dans l’incrédulité et la méchanceté. « …Si ce n’est le signe de Jonas ». (Mt 16,4). Mais comme alors, ça ne servira à rien pour ceux qui ont déjà le cœur dur.
Prends l’Enfant-Jésus de 40 jours dans tes bras, c’est Marie qui te le tend, mon cher contemporain au cœur dur, et que l’Amour inoffensif et vulnérable « en raison de sa faiblesse » brise ton cœur endurci, qu’il te donne de croire que l’Amour indépassable, plus fort que la mort, et plus puissant que toutes les puissances au Ciel, sur terre et aux enfers, s’est déjà manifesté et que tu n’as rien d’autre à faire qu’à te laisser aimer. Ce n’est pas trop beau pour être vrai. C’est la vraie Lumière des nations, comme il était au commencement, ici et maintenant et toujours et pour les siècles des siècles, amen !
Don Laurent LARROQUE

« Popcorn et Théologie »

« Popcorn et Théologie » 1587 2245 Paroisses de Saint-Raphael

Mercredi 5 février 2025 à 20h
LIBRES
Un voyage au cœur de l’âme
au cinéma Vox, animé par Don Bruno
Il y a près de 2100 monastères dans le monde où vivent des personnes qui renoncent à une vie extérieure pour une quête intérieure. Peu de caméras ont pu pénétrer dans leur vie. Dans leur monde. Ce que vous verrez et entendrez ici est inédit.

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