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Evènement dans les paroisses

Evènement dans les paroisses 2560 1440 Paroisses de Saint-Raphael

Réunion Béta des Amis de la Basilique

Evènement dans les paroisses

Evènement dans les paroisses 640 480 Paroisses de Saint-Raphael

Première communion d’enfants du catéchisme à Sainte Bernadette

Evènement dans les paroisses

Evènement dans les paroisses 768 1024 Paroisses de Saint-Raphael

Récollection de carême de Sainte-Bernadette à Bargemon

Prions pour nos catéchumènes qui vont être baptisés à la vigile de Pâques

Prions pour nos catéchumènes qui vont être baptisés à la vigile de Pâques 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

5 Adultes : Liam, Dorine, Virginie, Emma et Jean-Baptiste
3 Ados : Mehlaan Baptist, Romain et Sacha
et 3 Enfants : Sténi, Naïs et Eugénie

10 commandements pour devenir libre

10 commandements pour devenir libre 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

Dans la première lecture, l’église nous donne de méditer sur une série de commandements qui date de plus de 2700 ans… Ces préceptes ne correspondent-ils pas à une époque désormais révolue ? Est-il vraiment opportun d’y prêter attention ? Faut-il encore s’embarrasser de commandements venant du VIIème siècle avant notre ère ?
Saint Paul répond à cette question lorsqu’il écrit aux romains :
« Quand des païens qui n’ont pas la Loi pratiquent spontanément ce que prescrit la Loi, eux qui n’ont pas la Loi sont à eux-mêmes leur propre loi. Ils montrent ainsi que la façon d’agir prescrite par la Loi est inscrite dans leur cœur, et leur conscience en témoigne, ainsi que les arguments par lesquels ils se condamnent ou s’approuvent les uns les autres. » Rm 2,15

En d’autres termes, ces 10 commandements sont immuables parce qu’ils sont l’expression d’une loi que Dieu a gravée dans le cœur de l’homme. Nous appelons ordinairement cette loi « naturelle ». Elle n’est rien d’autre que la lumière de l’intelligence, infusée en nous par Dieu. Grâce à elle, nous connaissons ce que nous devons accomplir et ce que nous devons éviter. Cette lumière et cette loi, Dieu les a données dans la création. Il les a données ensuite au cours de l’histoire d’Israël, en particulier par ces dix commandements du Sinaï, par lesquels Il a fondé l’existence du peuple de l’Alliance.

Jésus lui-même se réfère aux commandements. Lorsque le jeune homme riche lui demande : « Maître, que dois-je faire de bon pour posséder la vie éternelle   ?  » Jésus répond : Si tu veux entrer dans la vie, observe les commandements.
Le Christ met ici en lumière le lien qui existe entre la vie éternelle et l’obéissance aux commandements. « Ce sont les commandements de Dieu qui indiquent à l’homme le chemin de la vie et qui conduisent vers elle. Par la bouche même de Jésus, nouveau Moïse, les commandements du décalogue sont redonnés aux hommes ; lui-même les confirme définitivement et nous les propose comme chemin et condition de salut.» (Veritatis splendor n°12)
Ces commandements ne sont donc pas destinés à restreindre notre liberté, mais bien au contraire, en mettant en lumière les préceptes de la loi naturelle, ils nous permettent de la trouver !

« Ils sont la première étape nécessaire sur le chemin vers la liberté, son commencement : « La première liberté, écrit saint Augustin, c’est donc de ne pas commettre de péchés graves… comme l’homicide, l’adultère, les souillures de la fornication, le vol, la tromperie, le sacrilège et toutes les autres fautes de ce genre. Quand un homme s’est mis à renoncer à les commettre — et c’est le devoir de tout chrétien de ne pas les commettre —, il commence à relever la tête vers la liberté, mais ce n’est qu’un commencement de liberté, ce n’est pas la liberté parfaite… » (Veritatis splendor n°23)
« Puisqu’ils expriment les devoirs fondamentaux de l’homme envers Dieu et envers son prochain, les dix commandements révèlent, en leur contenu primordial, des obligations graves.

Puisque Jésus nous dit : « Si vous m’aimez, vous resterez fidèles à mes commandements. (…) Celui qui a reçu mes commandements et y reste fidèle, c’est celui-là qui m’aime », prenons la décision pendant ce Carême, et plus particulièrement au cours de cette semaine de méditer et d’apprendre par cœur ces commandements. «Ils sont foncièrement immuables et leur obligation vaut toujours et partout. Nul ne pourrait en dispenser.» (Cec n° 2072).

Laissons-les éclairer notre vie !

Don Louis Marie DUPORT

La Transfiguration, signe d’espérance

La Transfiguration, signe d’espérance 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

Jésus, en se transfigurant devant ses trois disciples, montre qu’il n’est pas seulement homme, mais aussi qu’il est Dieu fait homme, le Fils de Dieu.
Pourquoi fait-il cela ? La Préface liturgique de la messe de ce 2ème dimanche de Carême nous répond. Justement, le Carême va vers la célébration de la mort et de la Résurrection de Jésus, et il fallait préparer les apôtres, au moins trois d’entre eux, à ne pas succomber complètement au scandale de la Passion, de la mort et de l’ensevelissement de ce Jésus, qui n’est pas seulement « un prophète puissant en paroles et en œuvres » (Lc 24,19), mais Dieu fait homme.
Voici le texte de cette Préface (la prière qui est juste avant la prière eucharistique) : « Après avoir prédit sa mort à ses disciples, Jésus les mena sur la montagne sainte ; en présence de Moïse et du Prophète Élie, il a manifesté sa splendeur : Il nous révélait ainsi que sa passion le conduirait à la gloire de sa Résurrection. »
Par cette vision de sa Gloire, Jésus voulait, dit Saint Léon, pape de 440 à 461, «  prémunir ses disciples contre le scandale de la Croix », « empêcher que les abaissements de sa Passion volontaire ne bouleversent leur foi » de façon irrémédiable.
L’église fait de même en proposant à notre carême cet évangile de la Transfiguration, afin de nous préparer à Pâques, qui passe par la douleur du Vendredi Saint, mais qui ne s’y arrête pas. Nous allons vers la Résurrection.
C’est un signe d’espérance pour notre carême, et surtout pour toute notre vie terrestre, qui est un passage, un pèlerinage vers le Ciel, qui passe aussi par des souffrances et qui passera par la mort, mais qui ne s’y arrêtera pas.
Contempler Jésus dans la lumière de sa Transfiguration, c’est-à-dire dans son identité divine, nous aide à le contempler déjà dans sa Résurrection, dans sa Vie éternelle, et à contempler la place qu’il est monté nous y préparer à ses côtés (Jn 14,3).
Quelle que soit la douleur du Vendredi Saint de nos vies, de la vie de nos familles, de la vie du monde, de la vie de la France, de la vie de l’église, de la marche accélérée de la culture de mort vers son produit prévisible, nous ne broyons pas du noir, car avec Jésus, la mort n’est pas un arrêt mais une porte. « Etroite et resserrée » (Mt 7,14), c’est-à-dire angoissante, certes, mais un passage vers la Vie éternelle.
Il ne faut pas tomber dans le désespoir des disciples d’Emmaüs, quittant Jérusalem vers le soleil couchant pour n’arriver qu’à la nuit noire et sans fin. “Nous espérions que ce prophète puissant en paroles et en œuvres allait nous délivrer du malheur des temps… et puis non ! Le voilà mort, c’est maintenant irrémédiable” (cf Lc 24,21), « notre espérance est morte » (Ex 37,11).
Jésus ressuscité nous a rejoints et nous répond comme à eux : « ô cœurs sans intelligence et lents à croire ! » “Je vous ai pourtant donné aujourd’hui, ô vous qui contemplez ma Transfiguration, le signe que je suis Dieu, et que les abaissements volontaires de ma Passion ne sont pas une défaite de Dieu, ni une victoire du diable, mais un plan de Dieu, qui sait tout, qui peut tout, qui n’est qu’Amour et miséricorde”, « et même les cheveux de votre tête sont comptés ! » (Mt 10,30).
Ce n’est pas quand il n’y a plus de raison d’espérer qu’il faut cesser d’espérer. « Nous espérons », pas « nous espérions ». Jamais au passé, toujours au présent.

Don Laurent LARROQUE

Quelques moments dans les paroisses

Quelques moments dans les paroisses 2560 1920 Paroisses de Saint-Raphael

Messe des malade à Sainte Bernadette

Récollection des enfants du catéchisme

Appel décisif pour nos catéchumènes

Pèlerinage diocésain au sanctuaire Saint-Joseph

Pèlerinage diocésain au sanctuaire Saint-Joseph 1280 960 Paroisses de Saint-Raphael

Action de carême 2024

Action de carême 2024 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

La Congrégation des sœurs arméniennes de l’Immaculée Conception
Avec l’indépendance de l’Arménie, le rêve des sœurs arméniennes de l’Immaculée Conception de servir dans la Patrie est devenu réalité. Suite à l’horrible tremblement de terre de 1988, les sœurs étaient déjà venues en Arménie pour consoler le chagrin de notre nation.
Aujourd’hui, l’Ordre possède un orphelinat, une école professionnelle et une garderie pour personnes âgées à Gyumri, une garderie à Tashir, un camp d’été à Tsaghkadzor, un centre de jeunesse à Erevan et un couvent à Javakhq, en Géorgie. Les sœurs enseignent le catéchisme et effectuent un travail pastoral dans de nombreux villages catholiques des régions de Shirak, Tashir et du sud de la Géorgie.
La mission du Centre Notre-Dame d’Arménie est d’assurer le développement global des enfants orphelins, abandonnés et nécessiteux.
Le centre s’efforce de créer une atmosphère où l’enfant peut développer ses capacités mentales, spirituelles, sociales, physiques et émotionnelles. Le centre vise également à fournir à ses adolescents les moyens nécessaires pour devenir des adultes instruits, compétents, indépendants et autonomes.

L’offrande de Carême pourra être versée par chèque à :
L’Association Alliance Arménienne : 10 bis, rue Thouin – 75005 Paris

Des enveloppes pour votre action de carême sont à votre disposition au fond de votre église

Les scrutins, qu’est-ce que c’est ?

Les scrutins, qu’est-ce que c’est ? 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

Les adultes qui demandent le baptême seront baptisés dans la sainte nuit de Pâques où nous fêterons le cœur de notre foi : la mort et la résurrection du Seigneur Jésus-Christ. Ceux qui ont été « appelés  » au baptême – les catéchumènes – vivent durant ce carême leur ultime préparation par des rites pénitentiels que l’on appelle aussi des «  scrutins ».
Le mot vient du latin scrutere, c’est-à-dire « scruter » pour faire apparaître dans les cœurs ce qu’il y a de faible, de malade ou de mauvais en vue de le guérir, mais aussi ce qu’il y a de bien, de bon, de saint en vue de l’affermir… Le prêtre, par la prière et l’imposition des mains, appelle sur eux la force de l’Esprit-Saint qui éclaire et libère. (Ps 138, 23) C’est à la lumière du Seigneur qu’ils sont invités à se regarder, pour qu’Il les illumine et les purifie. Déjà se dessine là, l’enracinement du sacrement de pénitence et de réconciliation. En approchant du baptême, ils prennent de plus en plus conscience de leur état de pécheur, de ce qui dans leur vie fait obstacle à l’amour de Dieu. Ces célébrations répétées sont une aide pour se tourner vers le Seigneur qui est riche en miséricorde.
La célébration est simple : après l’homélie les catéchumènes sont invités à s’avancer, à se mettre à genoux pour un temps de prière silencieuse, puis une prière litanique. Vient ensuite la prière d’exorcisme en lien avec l’Évangile. Enfin, les catéchumènes sont normalement renvoyés, sous la protection du Seigneur, et invités à revenir le dimanche suivant.
Le rituel recommande de célébrer ces trois scrutins, les 3ème, 4ème et 5ème dimanches de Carême où sont lus les évangiles de la Samaritaine (Jn 4), de l’Aveugle-né (Jn 9), de la résurrection de Lazare (Jn 11). Il y a dans ces évangiles un cheminement et une progression qui préparent à rencontrer celui qui donne l’eau vive, celui qui est la vraie Lumière, celui qui est la Résurrection et la Vie !
C’est pour toute l’assemblée aussi un cheminement qui nous rappelle la puissance du Seigneur à l’œuvre dans nos cœurs. Aujourd’hui c’est un fait : de moins en moins d’enfants sont baptisés et donc de plus en plus d’adultes demandent le baptême. Nous observons cela dans de nombreuses paroisses en France. Que c’est beau d’être aux premières loges de l’appel du Seigneur ! Ils ont écouté sa voix, ils se sont mis en route, et après un temps de purification et de préparation – stimulés par la communauté chrétienne – ils vont enfin recevoir ce sacrement.
Ce week-end, ils sont rassemblés autour de l’évêque pour « l’appel décisif » en vue d’être initiés aux sacrements. Leurs parrains ou marraines se prononcent, pour eux, pour nous faire savoir s’ils sont aptes à être admis. Puis ils sont nommément appelés pour exprimer leur désir d’être initiés.
Prions donc, de tout cœur, pour les catéchumènes de notre paroisse et ceux du monde entier qui vont bientôt renaître de l’eau et de l’Esprit-Saint !
Don Marc-Antoine CROIZE-POURCELET

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