Alice, Stéphane et Matisse ont fait leur entrée en catéchuménat ce dimanche
à Sainte-Bernadette.
Nous les portons dans notre prière

Alice, Stéphane et Matisse ont fait leur entrée en catéchuménat ce dimanche
à Sainte-Bernadette.
Nous les portons dans notre prière
Le traditionnel barbecue des curés a remporté un franc succès samedi dernier. Environ 250 personnes ont pu se retrouver à l’église Sainte Bernadette. Beaucoup de paroissiens ont réussi à faire découvrir notre belle paroisse à leur invité. De nombreuses intentions ont été confiées à notre prière.
La soirée fut illuminée par le beau témoignage de conversion de Liam, puis celui de Neila.
Merci Seigneur pour toutes ces grâces répandues en abondance !
Vendredi 14 Juin 2024 notre 7ème et dernière rencontre du Groupe BETA.
Après un petit-déjeuner, nous avons eu le plaisir d’accueillir avant son départ pour Brive la Gaillarde, le Père Jean-Baptiste pour le thème du jour :
« La Messe – l’Eucharistie » qui a clôturé le cycle de formation BETA.
Il a eu un langage clair et accessible, en se présentant avec une grande simplicité, en matérialisant ses exemples, en utilisant des transitions bien pensées…
Après le temps passé avec les animateurs de chaque groupe et pour finaliser ce cursus, quelques personnes sont venues témoigne. Vous pouvez écouter sur les vidéos jointes leurs expériences. Notre esprit d’équipe, notre détermination, notre sérieux au travail ont été la clé de notre réussite. C’était une expérience hors du commun. La vie est un mystère qu’il faut vivre et non un problème à résoudre.
Pourquoi Jésus dort-il dans nos tempêtes ? C’est qu’il ne s’impose pas. Il est toujours là dans notre barque, mais quand on lui dit : “laisse-nous mener la barque. Tu étais charpentier, tu n’étais pas marin. Va te reposer, Jésus, nous on prend le gouvernail”.
Jésus ne s’impose que dans des cas exceptionnels. Mais généralement, il nous laisse libre d’essayer de nous y prendre par nous-mêmes, avec toutes nos prétentions de “savoir-faire”, et il attend. Il s’endort en attendant qu’on vienne recourir à Lui. Il savait pourtant bien, en s’engageant sur le lac, que des nuages allaient surgir de derrière les collines, et que la tempête allait éclater. Il était le seul à savoir. Mais il a voulu laisser les apôtres à leur savoir-faire, afin de leur rappeler leurs limites et vers quels dangers peuvent nous porter nos illusions. Alors quand ils l’ont gentiment prié de le laisser faire, il est allé dormir sur un coussin à l’arrière. Il devait en avoir bien besoin, parce que même la tempête ne l’a pas réveillé. Mais dans son sommeil, il devait avoir – mais n’a-t-il pas encore maintenant ? – une certaine amertume, de voir que l’homme éprouve si peu le besoin de recourir à Lui, qui est pourtant descendu du ciel jusque dans chacune de nos barques, pour se faire tout proche de nous, tout penché sur nous, tout intéressé par la façon dont nous manœuvrons notre gouvernail et notre barque en ce monde dangereusement fluctuant.
« Ils se réjouissent (…) d’être conduits au port qu’ils désiraient » dit le Psaume. L’essentiel, c’est d’arriver à bon port, le ciel. « Il a dit : allons de l’autre bord ! » Ce qu’il a dit, il est capable de l’accomplir (cf Rm 4,21). Sa Parole compte plus que la tempête. Mais alors il faut nous rendre compte que Dieu est toujours proche et qu’il ne demande qu’à nous aider. Le point de départ sera souvent de commencer par se fier à sa Parole. N’est-elle pas à notre disposition ?
Cependant, nous sommes des sourds spirituels, nous n’entendons pas le murmure de l’Esprit-Saint qui coule comme une source au fond de notre cœur pour vivifier en nous la lecture de la Parole de Dieu ; nous sommes des aveugles spirituels, et nous risquons notre ruine spirituelle, engloutis par le monde, parce que nous voulons agir par nous-mêmes en un monde global qui a voulu mondialement se diriger par lui-même sans Dieu. Alors que Dieu est là, dans nos barques (ma personne, ma famille, ma paroisse, mon Eglise, ma France, mon Europe, ce monde qui n’en peut plus de son “savoir-faire”…), Dieu est là, apparemment endormi, mais attentif à nos besoins en attendant qu’on l’appelle à l’aide.
Aussi lorsque Pierre, en voyant que les vagues qui s’approchaient, allaient vraiment être fatales pour le bateau, a enfin lâché son gouvernail pour aller secouer Jésus à l’arrière en lui disant : “au secours, Seigneur!” (non sans lui reprocher son sommeil), alors l’amertume de Jésus est cependant tombée d’un coup. Jésus est Dieu, et quand on l’a mis de côté dans nos vies, il n’est pas comme nous. Il ne dit pas: “je t’avais bien dit, mais tu n’a pas voulu m’écouter, maintenant débrouille-toi.” Lui, il est Jésus, son Nom veut dire : Sauveur, le Dieu Sauveur. Le seul Sauveur, il n’y en a pas d’autres. Il n’y a rien qui sauve en dehors de Lui. Et il est venu pour cela. Jésus sauve toujours dès qu’on l’appelle. Pourvu qu’on l’appelle. Sa voix, sa Parole domine les grandes eaux, la grosse vague de la mort. Comptons sur sa Parole !
Don Laurent LARROQUE
« Ma grâce te suffit «
Magnifique pèlerinage des mères de famille à Cotignac ! 25 pèlerines raphaëloises, accompagnées de Sœur Lucie-Gertrude et de Don Raphaël ont marché 40 kilomètres jusqu’à à Saint-Joseph et Notre-Dame de Grâces pour y déposer leurs intentions de prière et celles confiées par les paroissiens .
Les pèlerines rentrent comblées et fortifiées dans leur foi ! Elodie
« S’il y en avait trois comme toi sur la terre, mon royaume serait détruit ». Cette phrase a été prononcée par Satan lui-même à l’adresse de Saint Jean-Marie VIANNEY, appelé également le curé d’Ars. Mise en lien avec l’évangile de ce dimanche, nous pouvons mieux saisir ce que nous attendons tous : l’avènement du royaume de Dieu dans les cœurs de tous les hommes. Nous n’attendons pas un homme providentiel qui pourrait rendre à notre pays sa grandeur d’antan (je pense en particulier aux élections qui auront lieu bientôt dans notre pays), nous ne cherchons pas à créer un monde parfait, mais simplement que le Christ règne dans nos cœurs. Ce faisant, le monde deviendra meilleur. Mais cela nécessite beaucoup de foi puisque ce n’est pas un résultat que nous percevons immédiatement.
Notre Seigneur Jésus dit au chapitre 15 de l’évangile selon saint Luc : « C’est ainsi qu’il y aura de la joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se convertit, plus que pour quatre-vingt-dix-neuf justes qui n’ont pas besoin de conversion ». La conversion des pécheurs, voilà ce que nous recherchons et c’est de notre conversion dont il s’agit, ce n’est pas celle du voisin qui fait tant de mal selon nous. Nous rencontrons des difficultés à comprendre cela, car il y a beaucoup de scandales et de mal inqualifiable dont nous sommes témoins régulièrement. Nous voulons les dénoncer avec force et nous avons raison et même le droit de le faire, mais à trop les combattre, nous pouvons oublier que le royaume de Dieu doit venir avant toute chose en nous.
C’est l’objectif essentiel de notre vie. « Il est comme une graine de moutarde : quand on la sème en terre, elle est la plus petite de toutes les semences. Mais quand on l’a semée, elle grandit et dépasse toutes les plantes potagères ». Cette graine qui est semée dans nos cœurs grandit alors même que nous souffrons, que nous nous réjouissons, que nous vivons. Dieu opère en nous de belles choses qui nous font faire du bien et hâter la venue du Christ. Chers frères et sœurs, il y a tant de belles choses qui se passent dans nos paroisses et qui ne font pas de bruit !
Le Seigneur fait grandir son royaume dans nos cœurs sans que nous ne nous en apercevions, en silence, discrètement. Continuons inlassablement de nous battre pour que Dieu vienne faire sa demeure en nous !
Don Bruno de LISLE
Adoration suivie des vêpres
Départ de la procession dans la ville