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Repas de fin d’année des catéchistes à Sainte-Bernadette

Repas de fin d’année des catéchistes à Sainte-Bernadette 1024 768 Paroisses de Saint-Raphael

Ménage à Notre-Dame de la Paix

Ménage à Notre-Dame de la Paix 1280 960 Paroisses de Saint-Raphael

Bravo et merci aux volontaires qui se sont rendus disponibles samedi dernier pour une petite matinée de nettoyage à Notre-Dame de la Paix !

Barbecue Missionnaire

Barbecue Missionnaire 1280 960 Paroisses de Saint-Raphael

Samedi 20 juin, les paroissiens de Sainte Bernadette étaient invités à un barbecue quelque peu atypique : ce barbecue avait en effet pour but de faire connaître l’Eglise à des personnes qui en sont un peu éloignées. Ainsi, beaucoup de paroissiens ont pu inviter des amis, collègues, voisins, ou connaissance à participer à ce moment de rencontre festif. Pour l’occasion, la cour de Sainte Bernadette était décorée de ballons et les prêtres de Saint-Raphaël se sont rendus disponibles pour aller à la rencontre de tous. Merci à tous les organisateurs de cette belle journée!
Ici on s’aime, ici on prie !

Perdre sa vie… Sérieusement ?

Perdre sa vie… Sérieusement ? 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

L’évangile de ce dimanche est assez difficile à écouter tant le Christ se montre exigent  : « Celui qui aime son père ou sa mère plus que moi n’est pas digne de moi  ; celui qui aime son fils ou sa fille plus que moi n’est pas digne de moi ; celui qui ne prend pas sa croix et ne me suit pas n’est pas digne de moi. Qui a trouvé sa vie la perdra ; qui a perdu sa vie à cause de moi la gardera. »
Pourquoi faudrait-il préférer l’amour de Dieu à tout autre affection ? Faut il vraiment perdre sa vie pour la trouver ?
Ces invitations du Christ à ne rien lui préférer et à lui abandonner jusqu’à notre propre vie sont d’autant plus difficiles à accepter à notre époque où la science nous promet l’avènement d’une ère nouvelle dans laquelle la souffrance et la mort seraient bientôt éradiquées.
Cet homme nouveau, forgé du dehors par la science, n’est-t-il pas préférable à cet homme nouveau (au sens de transformé intérieurement par la grâce) que nous annonce saint Paul dans la deuxième lecture ?
Gustave Thibon s’est posé cette question dans le dernier chapitre de l’ignorance étoilée et voici un extrait de sa réponse :

« Supposons un parfait aménagement de la nature et de la société et la mort vaincue. Peut-on rêver, au niveau du profane et du temporel, une situation plus positive ? Y verrez-vous alors le point d’insertion privilégié du surnaturel ? Et rendrez-vous sans restriction, grâce à Dieu, d’avoir permis ce progrès qui nous condamnerait à ne jamais le rejoindre, à ne jamais connaître l’heure nuptiale où, le voile des apparences se déchirant, la foi se dissout dans l’évidence? Ou bien préférerez-vous la croix au paradis artificiel et la mort en Dieu à l’immortalité sans Dieu? La survie du christianisme dépend de notre choix dans cette alternative. Question limite, je le répète, et qui ne sera sans doute jamais posée en termes aussi tranchants, mais qui éclaire d’en haut l’ensemble de nos réactions devant les prodigieuses mutations du monde moderne. Suivant qu’on y répond dans un sens ou dans l’autre, on met son espérance suprême dans l’éternité ou dans l’avenir, on opte pour le Dieu qui s’est fait homme ou pour l’homme qui s’est fait Dieu. »

Or le Christ dans l’Evangile d’aujourd’hui, est clair ! Il nous invite à perdre notre vie (c’est à dire à accueillir la mort), pour pouvoir la garder (c’est à dire recevoir une vie nouvelle)… Il nous invite pour reprendre les mots de Thibon, à préférer « la réalité invisible d’une éternité sans avenir » au « mirage éclatant d’un avenir sans éternité. »
La prière de Saint François d’Assise se termine ainsi : « O Seigneur, que je ne cherche pas tant à être consolé qu’à consoler, (…) Car (…) c’est en s’oubliant qu’on se retrouve, c’est en mourant qu’on ressuscite à l’éternelle vie. »
Puisque seule la résurrection nous plonge dans cette vie nouvelle que le temps ne peut nous donner, il s’agit pour nous de rejeter une immortalité qui nous priverait de l’éternité !
Puissions nous dire « oui » à cette parole de Dieu : Oui, Seigneur, je veux bien aller jusqu’à perdre ma vie pour qu’elle soit totalement revivifier en Toi !
Comme le dit le Credo : J’attends la résurrection de la chair et la vie éternelle !
D. Louis-Marie DUPORT

2ème scrutin pour Judith et Anissa

2ème scrutin pour Judith et Anissa 1181 886 Paroisses de Saint-Raphael

Entrée dans l’Eglise pour Jordan et Matthieu

Entrée dans l’Eglise pour Jordan et Matthieu 1181 886 Paroisses de Saint-Raphael

25 ans de sacerdoce

25 ans de sacerdoce 1280 1024 Paroisses de Saint-Raphael

Le 4 juillet prochain, D. Grégoire, D. Jacques et D. Jean-Yves fêteront leur 25 ans de sacerdoce.

Nous invitons tous les amis et paroissiens de Saint-Raphaël à s’unir physiquement ou spirituellement à cette célébration.

Nous nous retrouverons le 12 juillet à Arles

Messe à 11.00 à Saint Trophime (Arles) – Repas partagé dans les jardins du Carmel d’Arles

Les cheveux de votre tête sont tous comptés !

Les cheveux de votre tête sont tous comptés ! 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

Voilà une affirmation de Jésus qui fait parfois sourire ceux pour qui ce n’est pas une opération difficile… Il ne s’agit apparemment pas de la nouvelle la plus importante de l’évangile. Savoir que Dieu connait le nombre exact de nos cheveux nous amuse un peu mais ne va peut-être pas changer notre vie. On préfère poursuivre un peu la lecture de l’évangile à la recherche d’une information plus existentielle. Pourtant, si Jésus a pris la peine de le dire et si l’évangile le conserve si précieusement, c’est peut-être que cette parole n’est pas si anodine. A y regarder de plus près, on peut en tirer les réflexions suivantes.
Premièrement, il y a quelque chose d’infini en moi que je ne connais pas et que Dieu connait parfaitement. Si c’est vrai pour les cheveux, c’est vrai de tout. Chacun est un mystère à ses propres yeux. La profondeur, la hauteur de notre être profond, nous ne pouvons pas les mesurer. Il y a bien quelque chose d’infini en nous. La valeur de nos actes que notre Père voit dans le secret nous échappe mais ne lui échappe pas. « Ton Père voit ce que tu fais dans le secret, il te le revaudra » (Cf. Matthieu 6, 4.6.18).
En second lieu, cet infini qui m’échappe et que Dieu connait ne l’empêche pas de s’intéresser au détail. Chaque cheveu est compté ! Chacun est connu de Dieu. Paradoxalement, ce qui nous parait revêtir le moins d’importance retient l’attention inconditionnelle de Dieu. Parfois nous nous cachons à nous-même ce qui est important pour nous alors qu’en toute honnêteté la perte des cheveux, par exemple, peut devenir un traumatisme. Quant à Dieu, il assume parfaitement que c’est important. Chaque détail de nous-même compte. Et Dieu le prend en charge paternellement.
Quant à nous, ayant entendu notre vocation : « Soyez parfaits comme votre Père céleste est parfait ! » (Matthieu 5, 48), comment pouvons-nous nous en inspirer pour mieux nous aimer les uns les autres ? Si Dieu nous aime ainsi nous devons, nous aussi, aimer de la même manière. Savons-nous considérer l’infini en chaque personne ? Savons-nous ne pas enfermer les gens dans des cases ou des catégories ? Pouvons-nous remarquer chez chacun quelque chose qui nous dépasse et nous en émerveiller ? Sommes-nous également capables de porter attention aux mêmes personnes dans le détail ? Sans dire trop vite que ça n’a pas d’importance ? Car Dieu lui-même y accorde certainement beaucoup d’importance !
Savoir que nos cheveux sont tous comptés est finalement assez bouleversant puisque cela dit quelque chose de la façon dont Dieu nous aime et indique donc aussi la façon dont nous sommes appelés à aimer !
D. Martin PANHARD

Les associations Familiales catholiques de Saint-Raphaël

Les associations Familiales catholiques de Saint-Raphaël 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

La Quête pour la Vie a rapporté 970 €. Ce montant sera reversé intégralement à l’association varoise « Maisons Bethléem », lancées par Mgr REY qui accueille les futures mamans en difficulté. Les A.F.C. vous remercient pour votre générosité.

Réunis à Montmartre le 8 juin 2020, les évêques de France ont adressé cette prière :

Réunis à Montmartre le 8 juin 2020, les évêques de France ont adressé cette prière : 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

Seigneur Jésus-Christ,
Sur cette colline de Montmartre où les martyrs ont versé leur sang pour confesser ton Nom,
en cette basilique consacrée à ton Sacré Cœur
et édifiée avec la participation de fidèles de tous les diocèses de France,
devant cet autel où s’élève jour et nuit la prière en présence du sacrement de ton Corps eucharistique,
nous, évêques de France présents ou unis à distance à cette célébration,
nous venons te remettre ceux qui sont morts et ceux qui restent dans le chagrin.
Nous venons aussi te rendre grâce et te confier notre pays.
Sois béni d’avoir été à nos côtés alors que nous traversions l’épreuve de la pandémie,
comme tu nous as protégés en bien d’autres circonstances de notre histoire.
Sois béni pour la prière que ton Esprit a maintenue vivante
alors que ceux qui croient en toi ne pouvaient se rassembler pour te célébrer.
Sois béni pour les multiples gestes fraternels à l’égard des plus démunis
et pour le dévouement des soignants.
Sois béni pour l’accompagnement des malades et le soutien aux familles éprouvées.
Sois béni pour l’engagement de ceux qui doivent veiller
sur toutes les composantes de notre communauté nationale.
Nous t’en prions : accorde maintenant à tous la grâce du discernement
et de la détermination pour mettre en œuvre les changements nécessaires
et faire face aux difficultés de la période à venir.
À chacun des membres de ton Église, accorde d’être attentifs à tous et d’annoncer ton Évangile,
et à nous-mêmes, que tu as établis pasteurs de ton peuple,
de l’aimer et de le servir avec l’amour qui vient de ton Cœur
jusqu’au jour où tu nous accueilleras dans la Cité céleste.
AMEN.

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