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Récollection de Notre-Dame de la Paix à Stanislas

Récollection de Notre-Dame de la Paix à Stanislas 1600 867 Paroisses de Saint-Raphael

Cafés chauds et viennoiseries savoureuses, l’équipe d’accueil de Notre-Dame de la Paix était parfaite pour accueillir les 95 paroissiens à l’Institut Stanislas! Après une belle messe de la Saint Joseph, Honoré, Pierre, Ezéchiel et Amaury ont reçu leurs nouveaux cordons de servants d’autel! Puis ce fut le temps du partage d’évangile où nous nous sommes mis à l’écoute de la parole de Dieu ! Le repas nous avait été remarquablement préparé par l’équipe de restauration, Philippe paroissien, avait cuisiné une délicieuse paëlla et une tarte Tatin mémorable ! Nous nous sommes retrouvés ensuite pour un grand jeu où petits et grands se sont particulièrement amusés ! Nous avons fini notre journée par une conférence sur Saint Joseph, maître de prière, et une adoration où les hommes et les garçons ont pu se faire bénir par Jésus Eucharistie ! Les adolescents et enfants, de leur côté, avaient un joli programme préparé par Don Axel et deux lycéennes. Merci au conseil de la paroisse d’avoir organisé une si belle journée ressourçante !

Récollection de Sainte-Bernadette au clos des roses

Récollection de Sainte-Bernadette au clos des roses 0 0 Paroisses de Saint-Raphael

Samedi 19 novembre, pour la fête de la Saint Joseph, a eu lieu la journée de récollection de la paroisse Sainte Bernadette. C’est dans le splendide cadre du Clos des Roses que se sont retrouvés environ 80 paroissiens, pour une journée festive. La journée a débuté par un chaleureux accueil autour d’un café et de viennoiseries, s’en est suivi un topo très complet de Don Louis-Marie sur l’unité, puis, nous avons tous été conviés à nous mettre en petits groupes pour échanger entre nous sur les grâces reçues dans la paroisse : moment intime et émouvant qui a pris fin pour laisser place à la messe, point central de notre journée. Don Marc-Antoine nous a rejoints pour concélébrer avec Don Louis-Marie. Après un pique-nique partagé, Gérard a pu témoigner. Le grand jeu de l’après-midi a réuni petits et grands sur le thème des croisades ! Tous se sont bien amusés ! Pour résumer, cette journée était un mélange de « Ici on s’aime, ici on prie ! », la devise de la paroisse et de « Ici on joue, ici on prie! », la devise du patronage ! Ainsi, Don Louis-Marie a eu à cœur de faire vivre cette journée à ses paroissiens pour « qu’ils soient un ! », thème de notre année ! Merci à lui et à tous les bénévoles qui ont contribué à la préparation de cette belle journée !

Le rôle des chrétiens dans la société actuelle

Le rôle des chrétiens dans la société actuelle 1181 664 Paroisses de Saint-Raphael

Les Amis de la Basilique Notre-Dame de la Victoire remercient toutes les personnes qui ont participé le samedi
12 mars 2022 à leur rendez-vous.
Le débat a mis en évidence que le rôle des chrétiens se répartit entre les laïcs, les prêtres, les évêques et le pape.
A l’issue des échanges, en présence de Don Marc-Antoine, le groupe a préconisé :
– éduquer la nouvelle génération à comprendre son héritage chrétien.
– Assumer une cohérence politique : promouvoir la Doctrine Sociale de l’église dans la sphère politique et civile.
– Proposer un monde plus fraternel.
– Annoncer l’Evangile et la bonté de Dieu à tous.
– Justice et Paix : contribuer à la Paix, défendre les plus fragiles.
– Prier dans ce monde agité.
– Aider les Prêtres dans leurs missions.
Le pot de l’amitié a clôturé cette rencontre. Prochain débat : SAMEDI 21 MAI 2022

La dignité des fils

La dignité des fils 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

Bien souvent nous voulons nous en sortir par nos propres forces : “laisse, je gère.” Nous voulons réussir chacun par soi-même pour prouver, à soi et aux autres, que nous en avons la capacité : ainsi le fils de la parabole qui veut réussir sa vie loin du père. Il est l’image de l’humanité, qui a voulu vivre en autonomie, sans Dieu, depuis le péché de nos premiers parents. Ce désir d’indépendance est une façon d’affirmer sa dignité et, pourtant, c’est justement par cet acte d’affirmation de soi que la dignité est perdue. Pour avoir voulu s’affirmer comme sujet libre, le fils devient gardien de porcs, moins bien nourri qu’un esclave. Dans nos péchés d’orgueil, c’est justement quand nous voulons nous élever que nous nous abaissons. La liberté absolue est un leurre : celui qui ne veut pas servir Dieu devient esclave du diable, mauvais maître qui nous méprise d’autant plus que nous lui avons obéi.
Si la dignité de l’homme ne réside pas dans l’indépendance, elle ne réside pas non plus dans la puissance, la capacité à suivre ses désirs, à faire ce que l’on veut. Parce qu’il ne sait pas mettre un frein à ses appétits, le fils prodigue est mené à la ruine, au point de ne plus pouvoir satisfaire ses besoins les plus basiques. Cette tendance à perdre la liberté en voulant l’affirmer est caractéristique de l’époque de la “jouissance sans entraves” : les limites sont justement ce qui permet de ne pas devenir l’esclave d’un appétit toujours plus puissant à force de ne pas être contenu. Mais, en réalité, cette tendance est celle de toutes les époques, depuis qu’Adam et Eve n’ont pas voulu résister à l’attrait du fruit défendu.
La dignité ne réside pas non plus dans le fait d’obéir à la loi de Dieu. Jésus pour sa parabole a volontairement choisi deux fils pour nous montrer deux écueils symétriques. L’aîné par son obéissance extérieure aux règles de la bienséance espère une récompense. Cela lui pèse d’être un bon fils et il préférerait pouvoir faire la fête avec ses amis sans sa famille. Il est “soumis”, au mauvais sens du terme. Ce n’est pas cette relation, ultimement intéressée, que Dieu veut entre nous et Lui, mais celle de l’amour filial. Celui qui est enfant de Dieu fait le bien parce que celui-ci jaillit de son cœur rendu bon par l’Esprit-Saint qui nous a été donné, et non en se forçant pour essayer par là de mériter un amour qui, de toute façon, ne peut être que gratuit.
En réalité, la dignité de l’homme ne dépend pas de ce qu’il fait mais lui est donnée gratuitement par Dieu, indépendamment de tout mérite préalable. Dieu n’a pas peur de nous aimer alors que nous sommes pécheurs, que nous nous sommes volontairement coupés de Lui, parce qu’Il sait que son amour transforme et rend bon ce qui ne l’était pas au préalable. La miséricorde n’est pas une faiblesse de papa-gâteau, parce qu’elle change celui qui la reçoit pour le rendre digne de ce don. Notre dignité, c’est l’adoption filiale qui fait de nous des enfants de Dieu par les mérites de Jésus-Christ. C’est la seule chose qui a vraiment de la valeur, et elle ne s’achète pas. Demandons donc à Dieu de comprendre que ce ne sont ni la liberté individualiste, ni la capacité de faire ce que l’on veut, ni l’obéissance extérieure à des règles qui fondent notre dignité, mais le don de la grâce qui nous rend amis de Dieu.
Don Axel de PERTHUIS

1ère Conférence de carême à Sainte-Bernadette

1ère Conférence de carême à Sainte-Bernadette 2560 1920 Paroisses de Saint-Raphael

Vendredi 11 mars de nombreux paroissiens ont assisté à la première conférence de carême donnée par Don Marc Antoine sur l’Eucharistie, après avoir partagé un modeste bol de riz pour signifier ce jour d’abstience durant le carême.

Sauvé par le gong

Sauvé par le gong 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

Dans la nuée de la Transfiguration, dimanche dernier, le Père nous demandait expressément « Celui-ci est mon Fils, écoutez-le ! ». Alors tendons l’oreille (du cœur) à cette parabole du figuier stérile que Jésus donne en réponse à ses interlocuteurs. En effet ces derniers posent à Jésus une question morale précise en relatant une affaire scandaleuse qui a défrayé la chronique : Pilate a fait exécuter des galiléens venus à Jérusalem en pèlerinage. Le problème est le suivant : en quoi ces malheureux ont-ils mérité leur sort ? Et s’ils ne l’ont pas mérité, comment expliquer cette sévérité qui s’est abattue injustement sur eux ? Cela fait également écho aux paroles des disciples sur l’aveugle-né, « Seigneur est-ce lui ou ses parents qui ont péché ? ». En prenant un autre fait divers, Jésus écarte l’idée qu’ils étaient plus grands pêcheurs pour mériter un tel sort.
Mais Jésus va plus loin et renchérit : « si vous ne vous convertissez pas, vous périrez tous de même. » Nous ne pourrons pas dire que nous ne savions pas. Jésus nous invite à nous libérer du regard que l’on porte sur les autres et leurs péchés. Ce qui aveugle précisément notre propre cœur. Nous l’entendions il y’a quelques dimanches : « qu’as-tu à regarder la paille qui est dans l’œil de ton frère ? ». La discussion nous conduit à revenir à notre propre vie, à notre figuier qui ne porte pas de fruit de conversion. La conversion est une action. Le pire serait de ne rien faire.
Dans le mouvement de la conversion il y a d’abord un rejet, une aversion du mal. Puis une attraction à Dieu. Comment répondons-nous à cet appel à la conversion ? Jésus disait à un moine bénédictin irlandais : « avec l’appel, je donne toujours la grâce de répondre à mon appel. »
Pour illustrer cela, la parabole du figuier stérile nous secoue mais nous console également. Elle nous bouscule, car le propriétaire de l’arbre semble avoir eu du fruit de son arbre dans le passé, mais cela fait trois ans qu’il ne trouve plus rien. Il a montré une certaine patience ! Mais malgré cela, un jardinier trouve encore la bonté de lui proposer des soins particuliers (inutiles ?). On y retrouve dans la générosité et le labeur de ce sauveur les mêmes traits que le père de la parabole du fils prodigue. Sa miséricorde semble ne pas avoir de limite. Cela heurtera le fils aîné, ce qui est humainement compréhensible. Pourtant ne nous trompons pas, le jardinier lui-même dira : « laisse-le encore cette année (…) sinon tu le couperas. » La volonté du jardinier et du propriétaire coïncident. Tout arbre qui ne porte pas de fruits sera jeté dehors. Nous trouvons dans ces deux personnages, comme une image de Jésus et de Saint Jean-Baptiste qui nous annoncent la colère qui vient. Mais Jésus est là pour proclamer : « L’Esprit du Seigneur est sur moi parce que le Seigneur m’a consacré par l’onction. Il m’a envoyé porter la Bonne Nouvelle aux pauvres, annoncer aux captifs leur libération et aux aveugles qu’ils retrouveront la vue, remettre en liberté les opprimés, annoncer une année favorable accordée par le Seigneur. » Luc 4, 19.
Alors… merci Seigneur de ta patience. Merci de nous libérer de nos esclavages ! Que nous portions un fruit qui te plaise, un fruit en abondance !
Don Christophe GRANVILLE

Journée des familles du patronage

Journée des familles du patronage 640 480 Paroisses de Saint-Raphael


Dimanche 6 mars étaient réunies à Sainte-Bernadette de nombreuses familles du patronage pour une journée festive. Au programme : messe, apéritif, pique-nique, topo pour les parents, jeux pour les enfants, spectacle des enfants et grand loto familial et joyeux dont les lots, tout en humour, ont bien fait rire petits et grands !
Cette journée a également été l’occasion de remercier Lise, la directrice qui, après 5 années de présence au patronage, arrêtera à la fin de l’année scolaire.
Un grand merci à tous ceux qui ont aidé au bon fonctionnement de cette journée : aux hommes pour leur aide dans le montage et démontage de la tente et l’installation des tables, à Débora pour le très bel apéritif préparé pour l’occasion et à toutes celles qui l’ont aidée. Merci aux Soeurs de la Consolation qui étaient présentes et qui avaient préparé un joli spectacle avec les enfants. Merci à Don Louis-Marie, l’aumônier du patronage, pour son investissement dans cette journée. Merci aux autres prêtres d’être venus déjeuner avec nous. Et merci à toutes les familles venues en nombre partager ces bons moments tous ensemble ! Ici on joue, ici on prie !!!

Appel décisif de nos 10 catéchumènes

Appel décisif de nos 10 catéchumènes 2560 1440 Paroisses de Saint-Raphael


Nos 10 catéchumènes qui se préparent à recevoir le baptême cette année, se sont réunis ce week-end lors de la retraite de l’appel décisif. Autour de notre évêque, de leurs accompagnateurs, parrains et marraines, ils ont répondu « me voici » ! à l’appel du Seigneur. 70 catéchumènes sur tout le diocèse seront baptisés cette année, dont 10 de Saint-Raphaël, Deo gratias !
Prochaines dates des scrutins dans les paroisses : 20 mars à Sainte-Bernadette, 27 mars à Don Bosco et 3 avril à la Notre-Dame de la Paix.

PUSH CAR

PUSH CAR 2560 2333 Paroisses de Saint-Raphael


Pour sa 17ème édition, la traditionnelle course de Push car s’est déroulée dans le magnifique domaine de la Navarre à la Crau. Une centaine de collégiens s’est rassemblée autour de l’évêque et 7 d’entre eux représentaient la paroisse de Saint-Raphaël. Nous avons terminé 1er aux olympiades, 2ème à la course de Push car, et… 1er à la course des prêtres, séminaristes, et religieuses ! Merci à Marc, Elisa, Amaury, Pablo, Lily, Jean et Lucas pour cette si belle journée ! Téléchargez Outlook pour iOS

La Gloire et la Croix

La Gloire et la Croix 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

Le temps du Carême n’en est encore qu’à son début et, pourtant, l’Église veut déjà nous redonner du courage, en nous donnant à voir l’objectif de ce temps de prière, de pénitence et de partage  : la glorification de Dieu et notre propre glorification avec Lui. Dans notre itinéraire de Carême, après avoir suivi Jésus au désert pour triompher avec lui des tentations de Satan, nous sommes maintenant appelés à gravir avec Lui la montagne, pour découvrir sur son visage humain la splendeur de sa divinité. Dans cet épisode, la lumière et la voix attestent la divinité de Jésus : par la lumière, quelque chose de la gloire divine de Jésus nous est donné pour nous rendre capable de confesser qu’Il est vrai Dieu et vrai homme ; par sa voix, le Père accrédite une nouvelle fois son Fils unique auprès des hommes, en nous appelant à écouter sa voix.
Comme Pierre, Jacques et Jean, nous recevons de l’épisode de la Transfiguration une force dans le grand chemin de Croix que constitue le Carême, à la suite de Jésus. La Croix et la Gloire sont indissociables : de même que, dans la Gloire du Ciel, Jésus conservera les marques de ses souffrances, de même, déjà, dans la Passion et la Croix, transparaît sa gloire, c’est-à-dire le resplendissement de son amour : la Croix est une exaltation, une élévation du Fils par le Père. Dans toutes les épreuves de notre vie, cette lumière nous est nécessaire. « Ce qu’est ce soleil pour les yeux de la chair, Jésus l’est pour les yeux du cœur », écrit saint Augustin. La lumière pour surmonter les épreuves de notre vie ne peut venir que de cette Croix glorieuse de Jésus, qui retourne un instrument de souffrance en instrument d’amour et de salut.
Comme Pierre, Jacques et Jean, nous voudrions rester avec Jésus seul sur le Thabor, dans une union intime d’amour que la prière vient permettre en nous mais, pourtant, il nous faut, tant que nous demeurons sur terre, redescendre de la montagne pour œuvrer ensemble à la charité qui transforme, peu à peu, mystérieusement le monde. Comme le dit saint Vincent de Paul, « on ne quitte pas Dieu pour aller à Dieu », on ne quitte pas Jésus lorsqu’on le retrouve dans le visage de nos frères et sœurs, en particulier les plus fragiles. Tel est le sens de l’unité profonde entre les trois piliers du Carême : la pénitence qui purifie notre âme et notre corps, la prière qui nous unit à Dieu et le partage qui nous tourne vers les autres, dans un chemin commun de sanctification.

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