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Déménagement de la Basilique

Déménagement de la Basilique 1181 722 Paroisses de Saint-Raphael

De nombreux paroissiens sont venus dimanche soir, après la messe de 18h30, déménager la sacristie afin de permettre aux entreprises de commencer les travaux de la Basilique dès le lundi. Nous avons ensuite transféré solennellement le St Sacrement dans la nouvelle chapelle à Don Bosco. Le Seigneur vous y attend !
Un grand merci à tous ceux qui ont répondu à l’appel.

Entrée en catéchuménat

Entrée en catéchuménat 2560 1920 Paroisses de Saint-Raphael

Nous avons eu le plaisir dimanche dernier de recevoir à la Basilique Enora et Kaïna, deux nouvelles jeunes filles pour leur entrée en catéchuménat. Remercions le Seigneur qui nous fait la confiance de nous envoyer de nombreuses personnes pour les conduire jusqu’à lui. Prions bien pour elles, qu’elles deviennent de grandes saintes !

Conversion et foi

Conversion et foi 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

La prédication de Jésus à Nazareth, que nous suivons sur deux dimanches, constitue un véritable programme dans l’évangile selon saint Luc. Nous l’avons lu dimanche dernier, Jésus se présente comme le Messie promis, car en disant : « le Seigneur m’a marqué par l’onction », il se dit oint, ce qui se dit messie en hébreu, ou christ, en grec. Le Seigneur m’a consacré par l’onction, c’est-à-dire « m’a oint », c’est-à-dire m’a fait messie ou christ. Jésus signale à ses auditeurs que la promesse du messie qui devait venir, c’est aujourd’hui qu’elle s’accomplit, en sa personne. Autrement dit : “je suis le Messie, je suis le Christ attendu”.
Et ce n’est pas cette affirmation qui a particulièrement choqué ses auditeurs, qui connaissaient bien Jésus, concitoyen de Nazareth, et qui sont même dans l’admiration devant celui qui leur semble bien parti pour devenir un grand homme. Toute municipalité est fière de savoir qu’un grand homme est issu de ses entrailles.
Et sans doute que déjà, certains y voient leur intérêt, et disent : “tous ces miracles et ce succès que tu as déjà eu à Capharnaüm, réalise-le également dans ta propre ville ! Tu es des nôtres ; en quelque sorte, tu nous appartiens, et ta ville a droit à des égards particuliers, si vraiment tu es ce grand homme et ce Messie que tu nous annonces !”
“D’accord, dirait Jésus, mais alors je vais dire comme je dis à tous : d’abord, « convertissez-vous et croyez à la Bonne Nouvelle » (Mc 1,15), pour avoir part comme les gens de Capharnaüm aux biens messianiques… Il n’y a pas de raison que je vous fasse un passe-droit de connivence. Si vous voulez avoir les biens messianiques pour des motifs humains, sans conversion, au nom d’une espèce de ‘privilège municipal’, parce que vous pensez que je ne suis que le fils de Joseph et non, comme l’indique la figure du Messie d’après les Ecritures, le Fils de Dieu (cf Ps 2, Ps 109/110, Mi 5,1-4, Dn 7,13-14; Sg 7,25-26…; cf Mt 26,63), alors le courant ne passera pas entre nous  ! Je suis le Messie promis, et il me faut votre foi au Messie des Ecritures. «  Croyez à la Bonne Nouvelle ! » Et d’ailleurs, comme Messie, je ne suis pas seulement de Nazareth ! Je suis destiné au monde entier ! Je ne suis pas ici pour être ‘récupéré’ par la famille ou la municipalité.”
S’ils ne se convertissent pas, s’ils ne croient pas qu’il est le Messie pour tous et non pas seulement le fils du charpentier pour l’honneur du village, il sera obligé de faire comme Élie et Élisée : ils sont allés donner des grâces aux païens, en laissant le ciel “fermé” pour Israël, car Israël sera fermé à la foi en son Messie, et fermé à mort. C’est aussi l’ouverture aux païens qui sera racontée dans les Actes des Apôtres, qui est préfigurée ici (exemple : Ac 13,44-52). Il faut la conversion et la foi, c’est pour tout le monde pareil, sans passe-droit : « Ainsi donc, aux païens aussi Dieu a donné la conversion qui conduit à la Vie ! » (Ac 11,18).
Jamais Jésus ne peut être limité à notre groupe humain, à telle étiquette humaine. Cela peut rendre imperméable à la grâce divine : la pluie, la rosée de la grâce ne tombe pas sur cette terre, elle va arroser ailleurs. Catholique veut dire universel. Ne jamais s’approprier le Messie, celui qui est déjà venu dans la chair, parce qu’il serait du même groupe humain que nous. C’est aussi le Fils de Dieu, Celui qui doit revenir dans la gloire. Le ciel et la terre passeront, mais ses paroles, celles de l’Evangile, ne passeront pas (Mt 24,35). Ne l’enfermons pas dans des postures ou impostures religieuses humaines : « seulement dans la conversion et la foi sera votre salut » (cf Is 30,15).
Don Laurent LARROQUE

« Week-end Frat Patro »

« Week-end Frat Patro » 1962 2560 Paroisses de Saint-Raphael

Le week-end dernier, du 14 au 16 janvier, s’est déroulé, à Meyzieu dans le Rhône, le « week-end Frat Patro CSM ». Directeurs et aumôniers de 15 des patronages de la Communauté Saint-Martin se sont ainsi réunis pour échanger sur leurs différents patronages et recevoir les témoignages de divers intervenants.
Notre patronage de Saint-Raphaël : « La Cité de l’Archange » était représenté par sa directrice Lise et par Don Axel. Joie et partage étaient les maîtres-mots de ce beau week-end ! Nous avons même pu faire un petit pèlerinage au sanctuaire du Mas Rillier (photo). « Ici on joue ! Ici on prie ! »

Aperuit illis

Aperuit illis 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

Avec le Motu Proprio « Aperuit illis » c’est-à-dire « il ouvrit leur intelligence à la compréhension des Écritures » (Lc 24, 45), le Pape François nous a donné un nouveau rendez-vous liturgique. Chaque année, le 3ème dimanche du Temps Ordinaire est institué le dimanche de la Parole. Un peu comme a été institué un dimanche pour la fête du Saint Sacrement ou Fête Dieu, ce dimanche de la Parole est là pour nous aider à apprécier ce don de Dieu. Bien sûr, c’est tous les dimanches et à chacune de nos prières que nous nous mettons à l’écoute de la Parole de Dieu, mais cette institution veut nous aider à être plus attentifs à la Parole de Dieu, à la place des saintes écritures dans notre vie.
La Bible est le livre le plus vendu dans le monde. Ce succès demeure depuis l’invention de l’imprimerie ! Mais, pour nous chrétiens, la Bible n’est pas seulement un livre, c’est la Parole de Dieu. Elle nous sert à connaître Dieu, connaître son projet d’amour pour l’humanité et nous ajuster à sa volonté pour nous.
Dans la Communauté Saint Martin nous avons un trésor, hérité d’une tradition bénédictine, qui est la lecture priée de l’Écriture Sainte ou lectio divina. Ce n’est pas réservé aux moines ! Qu’est-ce que c’est ? C’est un temps conséquent que nous prenons pour lire, écouter, ruminer, contempler et mettre en pratique les lectures que l’Eglise nous offre pour la liturgie. C’est un peu comme si vous aviez reçu une lettre de quelqu’un qui vous est très cher : vous la lisez, la relisez, savourez chaque mot, chaque détail au point de la connaître presque par cœur ! Avec un peu de pratique, avec l’aide de l’Esprit-Saint, nous sentons, petit à petit, que cette parole prend un relief particulier, qu’elle devient vivante et efficace, « plus pénétrante qu’un glaive à deux tranchants » (He 4,12). Certes nous utilisons notre raison pour comprendre cette parole, mais ce n’est pas seulement un exercice de l’intelligence, c’est d’abord une prière. Son but est de nous mettre en contact avec Dieu, nous le faire connaitre, nous faire éprouver son amour particulier pour chacun de nous. Comme pour les pèlerins d’Emmaüs à qui le Christ ouvrit l’intelligence à la compréhension des écritures, nous en sortons avec le cœur brûlant.
« J’aimerais beaucoup, a insisté le pape François, que tous les chrétiens puissent apprendre ‘la science sublime de Jésus-Christ’ à travers la lecture assidue de la Parole de Dieu, puisque le texte sacré est la nourriture de l’âme et la source pure et pérenne de la vie spirituelle pour chacun de nous. » (Discours du 29 septembre 2014).
Dans notre prière nous prenons souvent du temps pour parler à Dieu… mais est-ce que nous prenons autant de temps pour l’écouter ? Dans une relation ce n’est pas toujours le même qui parle, n’est-ce pas chacun son tour ? La lectio divina et la lecture des écritures, sont le moyen humble, concret, efficace pour laisser à Dieu l’occasion de nous parler. Alors il mettra dans notre cœur et notre bouche des mots nouveaux pour lui parler, pour être enflammé d’amour pour lui.
Alors peu à peu, nous serons façonnés, refaçonnés par cette parole et nous pourrons peut-être même devenir une bonne nouvelle ambulante pour les autres !

Don Marc-Antoine CROIZEPOURCELET

Pastorale de la famille et de la vie

Pastorale de la famille et de la vie 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

La Pastorale de la Famille et de la Vie vous informe de la visite des responsables de l’association « Mère de Miséricorde » dans notre diocèse, les 21 et 22 janvier.
Au programme pour ces deux jours :
Le vendredi soir 21 janvier, à Draguignan
Église de la Sainte Famille (188 chemin des collettes)
19h00 à 20h30 : temps convivial avec repas tiré du sac
20h30 : veillée pour la vie
Contact pour prévenir de sa présence
Marie Lafontaine 06 88 22 12 29

Débat sur le thème de la foi organisé par les amis de la Basilique

Débat sur le thème de la foi organisé par les amis de la Basilique 2560 1920 Paroisses de Saint-Raphael

Les amis de la Basilique Notre Dame de la Victoire remercient toutes les personnes qui ont participé, samedi 8 janvier 2022, à leur rendez-vous sur le thème : « Quelles sont les raisons de la perte de la foi ? ». A l’issue des échanges Don Marc Antoine a mis en évidence les trois raisons principales :
– l’absence de transmission en famille – le matérialisme – l’éloignement de la relation à Dieu
Le débat s’est clôturé par le pot de l’amitié. Les amis de la Basilique vous donnent rendez-vous le 12 février prochain pour débattre sur le thème : « Quelles sont les raisons de la chute de la pratique dominicale » ?

Il manifesta sa gloire

Il manifesta sa gloire 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

Après l’adoration des mages il y a quinze jours, le baptême de Jésus dimanche dernier, nous célébrons aujourd’hui les noces de Cana. Traditionnellement, ces trois événements étaient commémorés ensemble en tant qu’épiphanies, manifestations du divin.
Cela est très clair pour les deux premiers : l’adoration des mages est la manifestation du Dieu fait homme aux nations païennes, le baptême de Jésus est à la fois la manifestation de la Trinité et l’attestation de l’identité divine de Jésus, mais il est beaucoup moins visible que les noces de Cana soient une épiphanie : après tout, le miracle de Jésus est ignoré de la quasi-totalité des convives et sa signification n’a rien d’évident. Pourtant l’évangile nous dit bien qu’à cette occasion Jésus « manifesta sa gloire et [que] ses disciples crurent en Lui. »
Il faut donc creuser pour comprendre la signification de ce miracle et en quoi celui-ci révèle la mission de Jésus. La conversion de l’eau en vin montre tout d’abord la puissance de Jésus, à qui les éléments sont soumis : personne d’autre que Lui ne peut prétendre dominer ainsi la nature. Cependant ce pouvoir, dû à son identité divine, se montre également dans tous ses miracles, par définition ; nous pouvons donc nous demander pourquoi Jésus a manifesté pour la première fois sa gloire par ce miracle-ci et non par un autre comme une guérison, une pêche miraculeuse ou même une résurrection. Le plan de la Providence ne laisse rien au hasard et il est délibéré que Jésus ait réalisé son premier miracle à un mariage où le vin manqua.
Les convives du mariage faisaient la fête et avaient donc besoin « du vin qui réjouit le cœur de l’homme » (Ps 103), sans quoi leur célébration risquait d’être bien terne. L’eau est sans saveur, le vin, lui, contient de multiples arômes, il réjouit, fait sortir de soi. Les anciens allaient jusqu’à le considérer comme un moyen de s’élever jusqu’à la sphère du divin. Bien entendu, la réalité de l’alcoolisme et des ravages de l’alcool tempère cette conception, mais il faut comprendre que nous nous intéressons ici à ce que représente le vin sur le plan symbolique. Sans Jésus, depuis le péché de nos premiers parents, l’homme est condamné à une existence peineuse, il ne peut plus accéder à la joie simple qui naît de l’amitié avec Dieu, et toutes ses souffrances sont inutiles. La jeune sainte Sandra Sabattini nous dit que « La vie vécue sans Dieu est un passe-temps, ennuyeux ou amusant, avec lequel jouer en attendant la mort. » Loin de Dieu, il est possible de vivre beaucoup de belles choses, mais pas d’atteindre le bonheur plénier pour lequel nous sommes faits.
Jésus est venu apporter le sel qui donne du goût à l’existence, qui fait de cette vie l’occasion d’apprendre à vivre avec Dieu et qui permet que même la souffrance prenne un sens, quand elle est acceptée par amour de Lui. Jésus est venu nous apporter le vin véritable qui permet à ce mariage qui s’annonçait mal d’être conclu : à savoir celui de Dieu et de l’humanité, malmené par l’infidélité de l’épouse. Par son sang versé par amour est scellée une nouvelle alliance, définitive, entre la multitude des hommes et leur Créateur (Cf. Lc 22,20).
A Cana, c’est donc bien la mission de Jésus qui a été manifestée : celle de rendre à nos existences la joie que Dieu nous destinait et de permettre que le projet de mariage entre le Créateur et l’humanité aboutisse enfin, par le don de la grâce qui seule rend digne de Lui l’épouse infidèle que nous étions. Pour entrer dans cette alliance, imitons donc ses disciples et présentons Lui l’hommage de notre foi.
Don Axel de Perthuis

Plouf

Plouf 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

Nous fêtons le baptême de Jésus dans les eaux du Jourdain. Jusqu’au IVème siècle, une seule et même fête était célébrée pour la Nativité et le Baptême du Seigneur. Il s’agissait de la Théophanie. « Dans Sa Nativité, le Fils de Dieu vint au monde de façon cachée, dans Son Baptême, il apparaît de façon manifeste » (saint Jérôme). Or, si vous avez sous les yeux une icône du baptême de Jésus, de nombreux détails donnent le sens profond de cette fête : il est venu vaincre la mort et nous donner Sa vie. La nouvelle naissance qu’offre le baptême de Jean est un signe de la mort et de la Résurrection de Jésus. Le mystère pascal est annoncé. Sur les représentations nous trouverons habituellement Jésus, entièrement nu, les pieds dans le Jourdain. Le fleuve est représenté comme un tombeau, liquide, et on peut même y trouver des petits personnages de l’Ancien Testament au fond. Ils attendent la délivrance. Les plus chanceux reconnaîtront un petit Jonas attaché à sa baleine.

La victoire.
Jésus est notre Sauveur et notre Rédempteur, mais il est aussi le grand Vainqueur. En effet, il aurait pu sauver chacun d’entre nous en venant simplement dans le monde. Nous aurions été sauvés par cette volonté divine exaucée, par une obéissance filiale. Mais il a voulu également terrasser les puissances du mal. Il est en cela le grand vainqueur : il a vaincu le mal, non pas du haut de sa Gloire, mais en partageant humblement notre existence. Mais qui dit Victoire, dit Bataille. Et ce combat glorieux, Jésus l’a mené dans les eaux de la mort. Les ennemis du Christ, aveuglés par leur propre méchanceté, n’ont pas vu que sa naissance, sa vie et sa mort ainsi que sa résurrection étaient le plan pour les vaincre. Et pour nous, nous donner la guérison et la vie.

Vivre de la Victoire de Jésus
Les eaux du baptême sont donc le théâtre d’opération de la grande Victoire à venir. Les trois ennemis du Christ sont la mort, les péchés et le Diable. A cela, comment pouvons nous vivre aujourd’hui en vainqueur ? L’évangile de ce dimanche nous montre un chemin.
Face à la mort, nous devons vivre de la grâce de notre recréation reçue le jour de notre Baptême. La mort est cette séparation avec Dieu. La grâce du baptême que nous avons reçue doit susciter en nous l’adhésion à la vie que le Père veut pour chacun d’entre nous. Ses paroles sont esprit et elles sont Vie. Écoutons l’amour premier de Dieu le Père nous redire : « Toi, tu es mon Fils bien-aimé ; en toi, je trouve ma joie. » Face au péché, nous contemplons l’humilité du Fils. Cette humilité se manifeste par sa démarche du baptême dont il n’avait pas besoin à titre personnel. Humilité aussi dans sa prière qui suit immédiatement le baptême. La Vie du Père se déploie dans notre vie sacramentelle reçue humblement et non comme un dû, mais aussi dans la fidélité de notre prière qui nous rend disponible à la Grâce. L’humilité et la prière nous disposent à laisser agir Jésus en nous, il est en effet le seul Vainqueur du péché.

Face au diable, à l’esprit diviseur et menteur, nous sommes aussi appelés à suivre Jésus. Lui même guidé par l’Esprit Saint au désert résistera à ses séductions. Car voici la réelle emprise qu’a le démon sur nous : quand nous faisons le mal délibérément, nous nous mettons sous son joug. Saint Pierre alors nous exhorte  : « soyez sobres, veillez : votre adversaire, le diable, comme un lion rugissant, rôde, cherchant qui dévorer. » Le prince de la mort a cru remporter le combat en voyant la mort de Jésus sur la Croix. Mais Jésus est ressuscité. Vivant, le véritable Lion (Ap 5,5) a vaincu. C’est en contemplant l’Innocence de Jésus que le lâcher-prise face au péché se fait. Nous baissons les armes et l’Agneau immolé nous fait rentrer indemne dans la joie de l’amour, de la Vie.
Que nos vies soient baignées dans les eaux de Vie de la Grâce ce dimanche et vivons en vainqueur en suivant l’Agneau Immolé. Amen !
Don Christophe GRANVILLE

Changement à l’Entraide Paroissiale

Changement à l’Entraide Paroissiale 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

En mars 2006 Don Bruno et Don Stéphane m’ont accordé leur confiance en me faisant l’honneur de créer et de diriger cette petite structure caritative. Grâce au dévouement de toutes les personnes qui se sont succédé au sein de cette association, à toutes les bonnes volontés pour les ventes de charité entre autres et aux généreux donateurs, nous avons pu aider financièrement 164 familles. Les aides hors financement (vêtements, meubles, appareils ménagers….) sont beaucoup plus nombreuses mais non comptabilisées.
L’âge venant et 16 années s’étant écoulées, j’ai décidé de passer le relais. Xavier Dambielle a accepté cette responsabilité. Après le vote des membres et avec l’accord de M. le Curé, il assumera la conduite de l’Entraide dès le 5 janvier 2022.
Je rends grâce au Seigneur pour ces années de responsabilités et je tiens à remercier très sincèrement toutes les personnes qui ont œuvré directement avec moi ainsi que toutes celles qui, par leurs visites, leurs achats, leurs dons, ont permis à l’Entraide d’être efficace. Bon vent à ce nouveau dirigeant et à son équipe. Que le Seigneur t’accompagne Xavier ! Claude Rizzotto

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