Samedi dernier, la paroisse participait au Forum des associations de la ville de Saint Raphaël.
Une journée ventée, source de belles rencontres !
Pendant une semaine, une vingtaine de jeunes du mouvement catholique Anuncio, ont évangélisé dans les rues de St Raphaël. Voici leur histoire :
Le long des berges tremblantes d’air chaud, tels Jonas craché par la baleine, les missionnaires d’Anuncio, venus des quatre coins de la France, montèrent à l’assaut de la Ninive moderne : Saint-Raphaël et ses badauds désœuvrés.
Là, un athée qui n’attendait que de rencontrer Dieu ; ici, une jeune fille, attirée dans l’Eglise par les chants de louange, se mettant à poser sur le baptême mille questions, les yeux gorgés de larmes ; là encore, trois jeunes hommes, eux aussi très curieux de notre foi, et l’un d’entre eux, si affamé de Dieu, qu’il en vint à manger un petit papier sur lequel était inscrit un bref extrait de la Bible, sans savoir sans doute qu’un ange commanda jadis à Ezechiel d’en faire autant. Et là encore, un homme, en quête de sens et de guérison, venu exceptionnellement à St Raphaël voir quelque charlatan, rencontra les disciples du Guérisseur. Ici, enfin, trois adolescents, qui cinq minutes avant débattaient de la vérité du christianisme, virent soudain débouler sur eux deux ministres du Christ.
Sur la plage et dans les rues, jusque dans un bateau de luxe, guidés par un Esprit-Saint parfois facétieux, les missionnaires d’Anuncio, pleins de joie et d’espérance, se sont attelés à l’œuvre de Dieu ; merci aux prêtres et aux fidèles de la paroisse de St Raphaël de nous avoir accompagné et nourri durant ce séjour. Qu’ils en reçoivent une récompense de prophète.
En France, pendant plus de 200 ans la fête nationale était célébrée le 15 août. Ce n’est qu’en 1880 que la République a remplacé la fête nationale par celle du 14 juillet que nous connaissons aujourd’hui.
A l’origine de cette fête nationale, nous le savons bien sur notre terre de Provence, il y a l’histoire de la naissance de Louis XIV. Louis XIII (1601-1643) et son épouse Anne d’Autriche ne parvenaient pas à avoir d’enfant. Après
22 ans de mariage, il n’y avait toujours pas d’héritier. En 1637 le couple royal se met à supplier la Vierge de leur donner un fils. Ils demandent à tous leurs sujets de faire dans chaque paroisse, le 15 août, une procession afin d’avoir un fils.
Par ailleurs, à cette époque, le frère Fiacre des augustins déchaussés avait une grande gratitude pour la reine et priait à ses intentions. A cause de sa santé fragile, il bénéficiait des œuvres de la reine pour les malades. Le 3 novembre 1637, frère Fiacre reçoit l’apparition de la Vierge. Tandis qu’il prie, il entend d’abord la voix d’un petit enfant. Surpris, il tourne la tête et voit à cet instant la Vierge dans une belle lumière, vêtue d’une robe bleue semée d’étoiles, les cheveux pendants sur les épaules, assise sur une chaise, tenant un enfant. « N’ayez pas peur, je suis la Mère de Dieu », dit-elle au frère. Au bout de quelques secondes, elle ajoute en montrant le petit garçon assis sur ses genoux : « Ce n’est pas mon Fils, c’est l’enfant que Dieu veut donner à la France. » La Vierge demande trois neuvaines publiques à la reine Anne d’Autriche : une à Notre-Dame de Paris, une à Notre-Dame-des-Victoires à Paris et la dernière à Cotignac, à la suite desquelles elle lui promet un fils.
Enfin, Marie montre l’image d’un tableau de Notre-Dame de Grâce. Pour attester les paroles de la Vierge, le frère trouverait ce tableau dans l’église de Cotignac. Contre toute attente, le frère Fiacre est rapidement reçu par Anne d’Autriche et Louis XIII. Ils acceptent de mettre sur pied les demandes de Marie. Du 8 novembre 1637 au 5 décembre suivant, les neuvaines publiques sont faites dans les lieux choisis par Marie. À la mi-janvier 1638, la reine se rend compte qu’elle est enceinte. Le couple royal demande au frère de se rendre à Cotignac pour vérifier la présence du fameux tableau de la Vierge et pour prier pour le bon déroulement de la grossesse.
Le 10 février 1638, le souverain fait la promesse de consacrer le royaume de France à la Vierge Marie si un héritier lui est donné. C’est le fameux « vœu de Louis XIII ». Le 5 septembre 1638, soit neuf mois, jour pour jour, après la fin des neuvaines, Louis « Dieudonné », futur Louis XIV, vient au monde.
Le roi Louis XIII consacre de manière solennelle la France à la Vierge Marie sous le titre de Notre Dame de l’Assomption par un acte auprès du Parlement de Paris et demande à ses sujets de faire tous les 15 août, jour où était déjà célébrée la Fête de l’Assomption, une procession solennelle dans chaque paroisse. Le vœu sera confirmé par Louis XIV en 1650, Louis XV en 1738 et Louis XVIII en 1814. Publié par lettres patentes, après consultation du parlement de Paris, c’est un document législatif de portée nationale.
De plus, en 1922, la Vierge Marie a été proclamée Patronne principale de la France sous le vocable de Notre-Dame de l’Assomption par le Pape Pie X, confirmant ainsi la consécration de la France faite par le roi Louis XIII en 1638.
Quel honneur d’être sous un si beau patronage ! Confions-lui notre pays qu’il retrouve la grâce de son baptême !
Don Marc-Antoine CROIZE POURCELET, Curé

Procession de la Saint Pierre dans la ville

Messe à la Basilique Notre Dame de la Victoire

Départ du saint pour le Lion de mer
Dans l’évangile de ce dimanche, notre Seigneur se présente comme le pain venu du ciel, celui qui donne la vie éternelle, l’Eucharistie. Face à cette révélation, ses interlocuteurs auraient dû se réjouir qu’un si grand don soit fait aux hommes c’est pourtant tout le contraire, ils récriminent contre Jésus, refusant de croire en ses paroles.
Ils se disent entre eux : « Celui-là n’est-il pas Jésus, fils de Joseph ? Nous connaissons bien son père et sa mère; Comment peut-il dire ‘je suis le pain descendu du ciel' ». Alors qu’ils sont experts dans les écritures, qui ont nourri toute leur vie par les exploits que le Seigneur a accomplis pour son peuple, qu’ils ont vu les signes opérés par Jésus, ils n’ont pas accueilli ses paroles. Tout est dit dans ces deux mots « nous connaissons », là s’exprime l’orgueil de l’homme fermé à la liberté de l’Esprit de Dieu qui souffle où il veut. Et pourtant Dieu dit lui-même que nos pensées ne sont pas ses pensées. Dieu n’est pas un super homme qui raisonnerait comme un homme et agirait comme un homme, il est Dieu, d’une sagesse qui dépasse tout ce qu’on peut imaginer. Face à lui, l’homme doit être prêt à être surpris par les voies que le Seigneur prend.
Si la vérité de la foi est immuable, c’est dans sa manière d’agir que notre Seigneur se montre le plus étonnant, le plus déroutant. Sa sagesse se traduit par une finesse dans son action afin qu’elle soit adaptée à chaque situation concrète.
Nous le voyons bien dans les témoignages que nous entendons, chacune de nos vies est remplie de ces signes, de ces rencontres providentielles qui nous transforment. Nous nous sommes sûrement déjà exclamés « Que Dieu est fort » en entendant comment il avait relevé une personne éprouvée par la vie et le péché au moment où pour elle tout semblait perdu. Et si ces récits se multiplient dans notre temps où il y a tant d’hommes si loin de lui, aucun n’est redondant, nous n’avons jamais cette impression de déjà-vu.
La mission Anuncio a été le terrain parfait pour expérimenter cela, tant dans les témoignages des personnes rencontrées que par les retours des missionnaires. J’ai été particulièrement marqué par la chasse au trésor. Elle consistait à prier Dieu pour recevoir des images et ensuite aller à la recherche de celles-ci et aborder les passants. D’abord dubitatif quand les missionnaires ont rapporté être allés à la recherche d’une grenouille, j’ai dû reconnaitre que leur rencontre avec la gérante du magasin où ils l’ont trouvée a été providentielle pour cette dernière.
En étant ouvert à ce que Dieu agisse de manière inattendue, en étant à l’écoute de ses signes et des fruits qu’ils portent, on se laisse être un outil de sa providence sans y faire obstacle ; mais si, comme je l’étais vis à vis de la chasse au trésor, on néglige ce qui nous semble étrange, on limite les signes que le Seigneur peut employer avec nous et donc les fruits qui en sortiront.
Laissons-nous bousculer par la liberté de l’Esprit comme les apôtres se sont laissés toucher par la nouveauté de l’incarnation et de la passion pour reconnaitre le Christ et le suivre.
Damien MENARD, séminariste
Malgré la pluie de nombreux paroissiens ont suivi religieusement la procession

Présence de la communauté Chaldéenne

Don Marc Antoine renouvelle le vœu de Louis XIII à la Vierge Marie

En parcourant les côtes de l’Estérel en « snorkeling » (j’ai appris ce terme technique au petit-déjeuner ce matin : « randonnée aquatique masquée tubée souvent palmée »), j’ai eu l’occasion de rendre grâce pour les merveilles de la nature. Particulièrement lorsqu’il fallut passer par un étroit passage entre deux parois d’immenses rochers où la largeur du corps était seulement assurée. Deux mètres de profondeur, une dizaine d’autres au dessus, sur une longueur de 5 ou 6 mètres. Comme un étroit couloir rappelant la porte étroite toujours devant nous, avec, au fond, l’immensité de la mer, image de l’infini. Pour mystifier l’aventure, il y avait un peu d’obscurité du fait de la hauteur des falaises voisines, mais aussi un peu de soleil qui se trouvait presque parfaitement dans l’axe de cette anfractuosité et relevait les couleurs azur et rouge des éléments en jeu dans ce spectacle prodigieux. Dans le silence, de merveilleux petits poissons, souvent en banc, scintillant de mille feux colorés sous les quelques rayons du soleil accompagnaient mon avancée. C’était beau.
Je vivais cette expérience – masqué, tubé, palmé – entre deux rendez-vous d’ultime préparation au sacrement du mariage. L’actualité plus large nous présentait les suites du scandale de l’ouverture des Jeux Olympiques, les larmes d’une boxeuse italienne abandonnant la partie face à son adversaire algérienne dite intersexuée mais plutôt femme puisque, d’après son passeport, il faut dire « elle », la poignée de main entre deux athlètes nord-coréens et sud-coréens, l’ovation générale pour Léon Marchand qui a remporté plusieurs médailles en natation, et toujours les conflits armés dans le monde entier qui ne semblent pas se sentir concernés par la fameuse trêve olympique. Au niveau local, la ville de Saint-Raphaël se met au couleur de la saint Pierre, se prépare à vivre ces trois jours de fête patronale, après les ovations des feux d’artifice de Boulouris, et avant d’accueillir les missionnaires d’Annuncio.
Au fond, quel est le sens de toute cette Histoire, avec un grand H, cet immense récit au présent, de la réalité qui ne saurait être arrêtée et dont nous faisons partie ? Pourquoi la beauté est-elle toujours souillée par la laideur, le respect bafoué par l’obscénité et la violence, la culture violée par l’ignorance et l’arrogance, la paix compromise par l’égoïsme et l’attrait du pouvoir ou du gain ? Pourquoi ?
Parce que le drame de l’humanité est aussi le socle de son invincible espérance. Depuis le premier péché – déni de réalité et orgueil de l’homme pensant pouvoir se passer de Dieu – le monde gémit dans l’attente d’une rédemption que Dieu ne cesse de lui offrir.
Cette période estivale peut-être un moment privilégié pour mesurer davantage cette immense alternance dans laquelle nous sommes ballotés, alors que nous fixons un regard renouvelé sur la beauté, la bonté, et le bien.
Nous connaissons la phrase de Dostoïevski : « la beauté sauvera le monde ». Mais nous oublions souvent que Dostoïevski parlait alors du Christ-Jésus. C’est lui que nous devons voir lorsqu’au milieu des maux et du laid, il nous est donné d’entrapercevoir une fenêtre sur l’infini de l’éternité, fenêtre que toute chose belle, aussi discrète et ténue soit-elle, nous offre en vérité.
Père Jean-Baptiste MOUILLARD
Saint Jean dans cet évangile parle d’une grande foule et un verset après une foule « nombreuse ». Ces gens se précipitent pour voir et écouter cet homme dont la parole touche et le cœur et l’intelligence.
Jésus a le souci du salut de l’âme de chaque homme suivant sa mission. Mais il fait également attention aux détails matériels comme la nourriture ; cette foule a besoin d’une alimentation spirituelle mais leur corps a aussi besoin d’une nourriture plus concrète puisque cela fait longtemps qu’elle le suit. Le Christ teste la confiance de ses disciples en leur demandant d’aller acheter du pain pour nourrir cette foule. Philippe n’y voit que l’impossibilité financière, le groupe des Apôtres n’a pas assez d’argent pour acheter du pain ; André recense ce qu’ils ont : cinq pains et deux poissons qu’un jeune garçon a apportés avec lui.
Jésus aurait pu faire les choses bien différemment : transformer des pierres en pain comme le Diable l’avait suggéré dans les tentations au désert (cf. Luc 4,3) ; renouveler le miracle de la manne (cf. Exode 13,31sv.) ; créer du pain à partir de rien, mais il a voulu que cela vienne de l’assemblée, que ce soit une participation active de ceux qui l’écoutent. C’est donc ce qu’avait apporté un jeune garçon qui sert de base au miracle de la multiplication des pains.
Ce jeune garçon reste anonyme, nous savons simplement qu’il accepte de partager avec Jésus ce qu’il a prévu pour son propre repas, sans se douter que sa petite contribution va permettre de nourrir cinq mille hommes.
Chacun d’entre nous est ce jeune garçon ! Ce passage de l’Evangile nous interroge sur ce que nous possédons : cherchons ce que-nous pouvons mettre aujourd’hui à la disposition du Christ et de son Eglise ? Même si nos forces et nos moyens nous semblent dérisoires, soyons sûrs que, s’ils sont donnés avec foi et confiance, ils serviront à nos frères, bien au-delà de leur nécessaire, cela deviendra surabondant, nos cinq pains d’orge deviendront, après satiété, douze paniers pleins… Ce que nous offrons n’est pas une question de quantité ou de valeur, la pauvre veuve n’offrait que deux piécettes (cf. Luc 21,1-4) au Temple de Dieu et pourtant elle provoque l’admiration de Jésus parce qu’elle les donne sans arrière-pensée.
D’après un commentaire du P. Jean-Paul Bouvier
Don Brune de LISLE
Nous revenons de 10 jours de camp dans les Alpes. Nous avons passé 5 jours de marche en montagne où la fatigue et l’inconfort se sont fait ressentir mais nous avons vu des paysages magnifiques et avons passé de bons moments entre amis. Puis nous sommes allés au sanctuaire Notre-Dame du Laus où nous avons prié et participé à des activités, ce qui nous a permis d’approfondir notre foi et de rencontrer de nouvelles personnes.
Constance, Blanche, Elisa et Ambre
Jésus, voyant cette grande foule qui l’attendait « fut saisi de pitié envers eux, parce qu’ils étaient comme des brebis sans berger. »
Alors Il leur enseigna l’Evangile, qui sont les « verts pâturages » dont parle le Psaume, ceux de la « saine doctrine » (1Tim 1,10), et depuis 2000 ans,
il envoie ses apôtres continuer d’enseigner l’Evangile à toute cette foule, qui suscite aujourd’hui encore, et comme jamais, une grande pitié, car « ils se sont donnés des maîtres en quantité, et ne supportent plus la saine doctrine » (2Tim 4,3).
Mais dans cette foule, un grand nombre se lève en nous disant : “n’auriez-vous pas, vous, la vraie Bonne Nouvelle à nous annoncer, celle de Dieu, pas une invention des hommes ?” Et en effet, le nombre de catéchumènes augmente (ceux qui demandent spontanément une formation chrétienne et le baptême chrétien).
Oui, Dieu a parlé, c’est la Bible. C’est l’Evangile. Ça commence par la bonne nouvelle d’un Créateur Bon qui « a vu tout ce qu’il avait fait : cela était très bon ! » (Gn 1,31) À la page d’après, cependant, il y a la mauvaise nouvelle du premier péché (abus de la liberté que Dieu nous a donné comme un très noble cadeau), par lequel le serpent des origines a inoculé en nous le doute vis-à-vis de Dieu, comme si sa Loi devait nous amoindrir et la transgression nous agrandir. De serpent devenu aujourd’hui grand Dragon (Ap 12,3.9), qui semble dominer le monde, son message reste le même (Gn 3,5) :
“si vous transgressez la loi de Dieu, si vous continuez de vouloir remplacer sa Création (très bonne) par la vôtre très transgressive, « vous serez comme des dieux qui redéfinissent par eux-mêmes le bien et le mal selon leurs propres critères qui vont vous auto-diviniser” – c’est-à-dire, en fait (car c’est le menteur, Père du Mensonge et homicide dès le commencement, cf Jn 8,44) : vous allez vous auto-détruire.
Cela semble bien parti… Cependant il ne faut pas désespérer. “Le Dragon semble dominer”, disais-je, car si le Mal est puissant (à cause de notre adhésion à sa séduction infernale), le Bien, Dieu, est Tout-Puissant. Rien ne lui échappe. L’Adversaire des origines et de la fin des temps ne possède que le pouvoir que Dieu lui concède. Jusqu’à l’heure du jour du mois de l’année (cf Ap 9,15) où Dieu lui commandera : « stop ! » “Et il se fera un grand calme…” (cf Mc 4,39).
Donc, Gn 1 : tout va bien. Gn 3 : patatrac à l’origine des temps ! Ap 12 : patatrac à la fin des temps, et mondialement ! Entre les deux : Jésus-Christ. Le Sauveur. La Bonne Nouvelle. La porte des brebis perdues (Jn 10,7) pour retrouver le chemin du Paradis perdu. Il est lui-même « le Chemin, la Vérité et la Vie » (Jn 14,6), le « bon berger » (Jn 10,11), le Victorieux (Ap 6,2 et 19,11).
« Ainsi nous ne serons plus des enfants, nous ne nous laisserons plus ballotter et emporter à tout vent de doctrine, au gré de l’imposture des hommes et de leur astuce à fourvoyer dans l’erreur. » Eph 4,14. L’erreur du relativisme, qui voudrait réduire la « Bonne Nouvelle de Dieu » (Mc 1,14) à une opinion religieuse parmi les autres opinions religieuses ; réduire le Bon Berger à un “gentil fondateur de religion” parmi d’autres, et empêcher les brebis de se réunir derrière lui, jusqu’à devenir, selon sa prophétie, « un seul troupeau et un seul Pasteur » (Jn 10,16). Cela se réalisera, car « Dieu est assez puissant pour réaliser ce qu’il a promis. » Rm 4,19.
« Jésus Christ est le même hier et aujourd’hui, et il le sera à jamais. Ne vous laissez pas égarer par des doctrines étrangères et perverses. » Héb 13,8.
Don Laurent LARROQUE