Articles par :

admin6070

Le Bon Conseil, Patronage en visite à saint-Raphaël

Le Bon Conseil, Patronage en visite à saint-Raphaël 600 800 Paroisses de Saint-Raphael


Le Bon Conseil, patronage catholique a été créé en 1894 par l’abbé Esquerré dans le 7ème arrondissement de Paris.
Il compte actuellement 2.600 jeunes et est ouvert 7 jours sur 7. Plus de 40 activités sont proposées. Il compte 200 bénévoles, 60 salariés et dirigé par l’abbé Vincent de Mello depuis 12 ans. Devise des Patronages : Ici on joue ici on prie.
Le patronage du Bon Conseil, maison catholique qui accueillent des centaines de jeunes depuis maintenant plus de 125 ans, n’a pas fait exception à la règle. Dans la vallée de l’Arvan qui surplombe Saint Jean de Maurienne, célèbre par le col de la Croix de Fer, plus de cent jeunes de 8 à 18 ans ont peuplé l’endroit de leurs chants et de leur bonne humeur. Le but du séjour : lier de belles amitiés sous le regard du Christ, en profitant des paysages splendides offerts par les montagnes qui dominent le site, à plus de 2.000 mètres. Les souffrances endurées pendant les randonnées étaient vite oubliées en atteignant les cîmes. La beauté de la création qui s’étale sous les pieds des enfants leur fait oublier le quotidien parisien.
Les éducateurs ont à cœur de les encadrer avec amour et bienveillance, deux mots si galvaudés aujourd’hui. Mais au chalet, ce ne sont pas seulement des termes vidés de leur sens, c’est une réalité que chacun porte au plus profond de son âme. « Devenir meilleur avec le Christ », telle est la devise du Bon Conseil pour forger des hommes et des femmes fermes dans leur foi, qui n’ont pas peur de témoigner de l’amour de Dieu dans un monde en recherche d’idéal et d’absolu. Quel meilleur exemple pour des adolescents de 14 ans que de se savoir guidés pendant dix jours par des jeunes adultes qui se mettent au service, gratuitement, par amour et par passion de l’éducation.
À l’issue des camps, pour les plus grands d’entre eux, des lycéens et leurs éducateurs, l’aventure devait les amener beaucoup plus loin, plus au sud, à Saint-Raphaël. Localité : le sud. Température : élevée, très élevée. Accueilli par les paroisses, le groupe a sillonné la région et les plus beaux sanctuaires et abbayes qu’elle recèle  : Cotignac, la Sainte-Baume, Le Thoronet. Ce furent cinq jours rythmés par la prière, des jeux en tout genre, des baignades dans cette eau très salée mais dont la température a de quoi rendre jaloux l’ouest de la France. En bref, c’est un séjour pour le moins agréable, dans l’une des plus belles régions de notre pays. Si le contexte porte au laisser-aller et à l’insouciance des vacances, le but spirituel du camp n’est pas mis de côté, bien au contraire. Chaque lieu visité est l’occasion pour tous de méditer sur sa foi, sur la figure de saint Joseph et sainte Marie-Madeleine ou sur l’état de vie des petites Sœurs de Bethleem. Les enseignements du Père de Mello, ou ceux dispensés par les éducateurs, ouvrent la porte à la discussion personnelle avec chacun d’eux. Accompagner les jeunes confiés à la responsabilité du Bon Conseil, les faire grandir, les faire prier sont autant de missions à remplir, que les encadrants prennent avec beaucoup de sérieux. C’est de cette manière que de nombreux enfanst et jeunes décident à leur tour de se mettre au service des plus petits  : ils ont reçu un trésor, et veulent dorénavant le transmettre. Le camp de cet été 2020, en dépit de l’angoisse véhiculée par les informations qui tournent en boucle et asphyxient ceux qui les écoutent, aura permis de révéler des futurs éducateurs, impatients de témoigner de la joie qui les habitent, désireux de la partager autour d’eux. C’est une des missions du Bon Conseil, mise en application en Provence pendant quelques jours.

Cinq pains et deux poissons

Cinq pains et deux poissons 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

Le miracle de la multiplication des cinq pains et des deux poisson montre l’amour miséricordieux de Dieu pour les hommes, particulièrement pour ceux qui l’aiment et veulent le rencontrer. L’Évangile nous expose l’importance de la rencontre avec Dieu pour se nourrir de Sa Parole, exprimée dans Son Évangile.
Puis, nous voyons Sa miséricorde lorsqu’Il guérit le malade qui lui est amené. Enfin, l’Évangile montre que le Christ, notre Seigneur, ne sépare pas les soins pour l’âme de ceux pour le corps. Toutefois Il donne priorité à l’âme sur le corps.
La multiplication des cinq pains et des deux poissons a inspiré les oeuvres de charité de l’Église. L’Évangile est une source de lumière pour chaque Chrétien et pour l’Église entière aussi, parce qu’il a inspiré les oeuvres de charité de l’Église, les cantines pour les pauvres, l’aide à ceux qui ont faim, aux malades et aux personnes vulnérables.
Les pains et les poissons ont été multipliés tandis qu’ils ont été distribués  : La multiplication des cinq pains et deux poissons a été précédée non seulement par la guérison du malade, mais aussi par l’enseignement de l’Évangile du Royaume de Dieu. Autrement dit, le Christ, notre Seigneur, nourrit d’abord les âmes des hommes avec Sa présence miséricordieuse, affectueuse et avec la lumière de sa Parole, l’Évangile du Royaume des cieux ou de la vie éternelle.
Les cinq pains et les deux poissons étaient peu de nourriture en comparaison avec à la foule affamée qui n’avait rien mangé de tout le jour, mais ils sont multipliés par la bénédiction. Ce fait montre le pouvoir de la miséricorde du Seigneur parce qu’Il ne fait pas de miracles pour impressionner, intimider ou se valoriser, mais par amour miséricordieux pour les hommes et les femmes qui ont patiemment écouté l’Évangile et ont assisté à la guérison de beaucoup de malades et de gens souffrants.
En raison de leur écoute dévouée et patiente, le Christ, notre Seigneur, leur a préparé un dîner afin qu’ils ne dépensent pas d’argent et n’aient pas à errer, fatigués, dans les villages avoisinants, pour acheter de la nourriture.
Le fait que ce soit lors de leur distribution aux gens, que les pains et les poissons ont été multipliés, est très important. Ils ont été multipliés parce qu’ils ont été bénis et parce qu’ils sont distribués. Personne n’a vu de piles de pains ou de poissons, mais ils ont été multipliés au moment même où ils étaient distribués.
Ainsi, le Christ nous enseigne que nous ne devons pas amasser de grandes provisions de choses matérielles, périssables, ce qui donne uniquement une fausse sécurité et un bonheur illusoire. Le soin de Dieu et l’amour pour les humains sont plus grands que n’importe quelle thésaurisation de choses matérielles, périssables.
Le Christ, notre Seigneur, nous appelle aussi à avoir une attitude de confiance en l’amour miséricordieux de Dieu et ne pas être avide, faire des réserves, ou amasser beaucoup de richesses matérielles, en pensant que ceci peut nous assurer la sécurité dans la vie.
Le Christ, notre Seigneur, veut que les dons qu’Il a bénis soient reçus en bon ordre, en les attendant dans la paix et le calme. Il a béni la nourriture, rompu le pain et l’a donné à Ses disciples qui l’ont distribué. Ici nous voyons le rôle du sacerdoce. Le Christ donne à l’Église par les mains de Ses Apôtres et fidèles qui sont les serviteurs du saint autel. Ceux dont le rôle est de distribuer les dons reçus de Dieu, doivent donc montrer à un grand nombre de personnes l’amour de Dieu et être des témoins de l’amour de Dieu pour les humains.
Une fois que la foule a été rassasiée, les miettes ont été ramassées dans 12 paniers. Ils symbolisent le fait que Dieu donne la nourriture au peuple choisi d’Israël, les 12 nations, si ces gens obéissent à la parole de Dieu. Mais ces 12 paniers montrent aussi que le Christ, notre Seigneur, nourrit Son Église par les 12 Apôtres, tant en ce qui concerne les dons spirituels que les soins charitables à ceux qui ont faim, qui sont pauvres et qui sont vulnérables.

A propos du port du masque dans les églises

A propos du port du masque dans les églises 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

Certaines personnes refusent de porter le masque durant les célébrations dans nos églises. Elles s’appuient sur des « révélations » diffusées par un site canadien, en particulier un « message » de Marie daté du 16 mai, adressé à Edson Glauber (Brésil). Ces révélations sont condamnées par l’évêque du lieu et par Rome.
La congrégation pour la Doctrine de la Foi a fait savoir qu’elle considérait ces apparitions comme inauthentiques.
Le 18 avril 2017, la prélature d’Itacoatiara publie un communiqué dans lequel elle annonce
la « non reconnaissance de l’authenticité des apparitions », conformément à la position de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi. Elle ordonne le silence sur les prétendues apparitions, demandant à ce qu’il n’en soit plus fait mention dans le culte et à ce que la divulgation des messages soit interrompue.
Le 2 décembre 2017, Mgr Sergio Eduardo Castriani, archevêque de Manaus, publie une lettre ouverte à l’attention de M. Edson Glauber et de l’association responsable du sanctuaire d’Itapiranga pour un rappel à l’obéissance aux autorités ecclésiales, dans l’attente d’une décision ultérieure sur les événements d’Itapiranga.
Le P. Aguila, doyen de l’Est-Var, a adressé à tous les curés du doyenné,
le décret paru au journal officiel du 11 juillet 2020, concernant les lieux de culte,
espaces clos accueillant du public, avec l’obligation du port du masque.

Ce trésor est la Parole

Ce trésor est la Parole 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

Avec ce dimanche, se termine l’enseignement de Jésus en sept paraboles, sur le Règne de Dieu.
Ce Règne a à voir avec la vie concrète des hommes comme en témoigne la volonté délibérée de Jésus d’en faire la catéchèse par des paraboles qui rejoignent l’expérience professionnelle et domestique de son auditoire. Ce n’est donc pas du « prêt-à-porter » ou un « prêt-à-penser », mais du « sur-mesure », à la mesure des oreilles du cœur.
Où et comment arrive ce Règne ? Par l’accueil dans sa vie de la Parole de Dieu (le semeur). Ce règne, le mal ne pourra en empêcher l’avènement (la parabole de l’ivraie) tant est grande la force et la vitalité de la Parole (le grain de sènevé, le levain et la farine). Mais le blé n’est semé et ne pousse que pour être moissonné et la moisson est faite pour donner le froment qui deviendra le pain quotidien. Le Règne s’accomplira définitivement dans un ultime acte de jugement discriminatoire sur le discernement de sa valeur et sa richesse (le trésor et la perle) et entre les bons et les mauvais ( le filet ). « Ne vous faites pas de trésors sur la terre, là où les mites et la rouille les dévorent, où les voleurs percent les murs pour voler. Mais faites-vous des trésors dans le ciel, là où les mites et la rouille ne dévorent pas, où les voleurs ne percent pas les murs pour voler. Car là où est ton trésor, là aussi sera ton cœur » (Matthieu 6,19-21).
Les paraboles de cette semaine nous posent une triple interrogation : l’Eglise est-elle notre trésor ? Sommes-nous prêts à tout vendre pour suivre le Christ ? Sommes-nous prêts à être jugés par Dieu ? Nous savons bien que nous ne pouvons répondre par l’affirmative sans présomption orgueilleuse. Que comprendre alors ?
Si nous pouvons lire ces paraboles du Royaume comme une exhortation à une authentique vie chrétienne faite d’accueil et d’écoute fructueuse de la Parole malgré les attaques du mal, et comme un appel à cultiver notre jardin à l’instar de Candide en attendant le jour de la moisson, elles nous révèlent aussi le mystère même de Dieu.
Ce maître de maison qui tire de son trésor du neuf et de l’ancien et à qui doit s’apparenter le disciple, peut évoquer le Père qui, dans sa volonté de sauver la création originelle issue de sa Parole, envoie son Fils unique mourir et ressusciter afin de rassembler ses enfants dispersés, leur donner l’Esprit de vie et renouveler la face de la terre. Sous cet éclairage, les images utilisées dans ces paraboles (le grain de blé, le moissonneur, le champ, le filet, le trésor…) prennent alors une coloration particulière. Si donc les paraboles du Royaume évoquent le processus de notre croissance spirituelle, elles mettent surtout en relief que l’essentiel, à savoir la vitalité mise en œuvre et le devenir spirituel, échappe à notre maîtrise car c’est œuvre de Dieu et non des hommes. Il nous faut donc pour être disciple du royaume commencer par être scribe, c’est à dire familier et professionnel (celui qui professe) de la Parole de Dieu laquelle n’est pas d’abord un texte ou une voix mais une personne, celle du Christ.

Par l’intermédiaire de l’entraide Paroissiale

Par l’intermédiaire de l’entraide Paroissiale 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

Famille vivant à Flayosc cherche pour leur fille de 15 ans qui entre en seconde à Stanislas
une chambre individuelle. (Contact Claude 06.98.89.57.60)

Fête de la Saint-Pierre

Fête de la Saint-Pierre 190 228 Paroisses de Saint-Raphael

Dimanche 2 août 2020

8h30 : Messe basse
9h30 : Départ de la procession de l’église San Raféu à la Basilique
10h : Grand-Messe à la Basilique suivie de la procession au lien de Mer
17h30 : Vêpres et Salut du Saint-Sacrement à la Basilique
18h30 : Messe chantée en latin

D. Raphaël, un diacre pour l’été

D. Raphaël, un diacre pour l’été 960 1280 Paroisses de Saint-Raphael

J’ai eu la grâce de naître dans une famille catholique, il y a tout juste 29 ans. Baptisé dans le diocèse de Montauban, j’ai essentiellement vécu à Angers où j’ai été confirmé. C’est dans cette ville que la question d’une vocation a discrètement commencé à faire son chemin en moi, au lycée, puis au cours de mes études.
Je me suis finalement décidé, grâce à un ami et suis entré au séminaire de la Communauté Saint-Martin en 2014. Me voici diacre depuis le 26 juin dernier
et Raphaëlois pour le mois, avant de me rendre à Rome où je suis envoyé poursuivre des études sur les Pères de l’Eglise.

Pèlerinage des pères de famille à Cotignac

Pèlerinage des pères de famille à Cotignac 1600 1200 Paroisses de Saint-Raphael

Il y a le bon et le mauvais semeur

Il y a le bon et le mauvais semeur 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

Dimanche dernier, Jésus se présentait comme le bon semeur. Le semeur de la parole qui fructifie lorsqu’elle est reçue dans un cœur et une intelligence bien disposés. Qu’elle soit bien reçue ou non, cette parole de Dieu est toujours bonne et ne peut produire que de bons fruits. Mais voilà que dans le champ où est semée la parole intervient sournoisement aussi un autre semeur : le semeur de la zizanie, appelée aussi ivraie. Jésus le désigne explicitement comme un ennemi ! « C’est un ennemi qui a fait cela ». Aussi étonnant que cela puisse paraitre, Dieu a donc un ennemi. Il s’agit en effet du diable. Cet ennemi de Dieu ne s’attaque pas pour autant à Dieu directement. Il sait bien qu’il ne pourra pas l’atteindre. En revanche, il s’attaque à ce que Dieu fait. S’il ne peut toucher Dieu, il peut néanmoins intervenir et abimer son œuvre. Ce que Dieu fait de bon par sa parole, le diable sait le fragiliser, le gêner, l’envahir même.
Nous savons donc quoi répondre nous aussi, lorsque nous voyons le champ de Dieu si mal correspondre au bien que nous attendons et espérons de lui. Lorsque nous voulons poser à Dieu la question un brin accusatrice : « Pourquoi y a-t-il tant de mal dans ce monde ? Pourquoi tant de souffrance et d’injustice ? » Nous savons répondre aussi «  c’est un ennemi qui a fait cela ». Cet ennemi est aussi le nôtre et la bataille contre lui nous concerne. Nous devons y prendre part de deux manières. D’une part en acceptant le conseil de Jésus qui est plutôt un ordre et qui est de ne pas prétendre rétablir la justice nous-même. « Laissez-les pousser ensemble jusqu’à la moisson et, au temps de la moisson, je dirai aux moissonneurs : enlevez d’abord l’ivraie… ». Il faut attendre le temps de la moisson et ce délai ne nous appartient pas. En revanche, il nous appartient de faire partie des serviteurs du champ du Seigneur. Il ne s’agit pas de déserter ce champ où ont été mêlés le bon grain et l’ivraie. Et c’est la deuxième manière de combattre cet ennemi, en étant serviteur du Seigneur, soucieux de la croissance du bon grain et de sa moisson. En chérissant cette place de serviteurs, non seulement nous ne risquons pas de devenir nous-mêmes ennemis du Seigneur, mais encore nous en deviendrons véritablement amis : «  Je ne vous appelle plus serviteurs, car le serviteur ne sait pas ce que fait son maître ; je vous appelle mes amis, car tout ce que j’ai entendu de mon Père, je vous l’ai fait connaitre » (Jean 15,15).

D. Martin PANHARD

Départ de d. Stéphane Pélissier

Départ de d. Stéphane Pélissier 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

Au terme de son mandat curial de 6 ans, D. Stéphane quittera Saint-Raphaël fin août
Il est nommé à Montrichard en Touraine (pour un an, à sa demande)
Sa messe d’action de grâces sera célébrée à la Basilique
le samedi 29 août à 10h30, suivie d’un buffet
Des enveloppes pour son cadeau (icône*) sont disponibles à l’entrée des églises
*L’idée de faire réaliser une icône de Notre-Dame de la Victoire est ancienne.
Celle-ci sera composée spécialement par un frère Carme du Saint Désert de Roquebrune

    Nous contacter

    +33 4 94 19 81 29

    Nous aider