Articles par :

admin6070

Messe des malades à l’église Sainte-Bernadette Jeudi 11 février 2021 à partir de 14h30

Messe des malades à l’église Sainte-Bernadette Jeudi 11 février 2021 à partir de 14h30 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

Fête de Notre-Dame de Lourdes : Jeudi 11 février à Sainte-Bernadette
14h30 chapelet et confessions
15h Messe solennelle suivie de la Procession à la grotte
En raison de la Covid, pas de goûter

Date chapelet Messe
Mercredi 10 février 11h30
Jeudi 11 février 
Notre-Dame de Lourdes
14h30 15h00
Vendredi 12 février 16h30 17h00
Samedi 13 février
Sortie paroissiale
Dimanche 14 février 10h15 11h00
Lundi 15 février 16h30 17h00
Mardi 16 février 16h30 17h00
Mercredi 17 février (Cendres) 11h30
Jeudi 18 février
Sainte-Bernadette
16h30 17h00

Actes de catholicité des paroisses

Actes de catholicité des paroisses 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

ACTES DE CATHOLICITE DES PAROISSES 2020

Paroisses
Baptêmes
Mariage
Obsèques
Notre-Dame de la Victoire
15
9
101
Notre-Dame de la Paix
15
1
29
Sainte-Bernadette
10
3
60
Sacré-Coeur de Boulouris
3
2
23
Agay-Le Dramont
4
2
11
TOTAL
47
17
227

ACTES DE CATHOLICITE DES PAROISSES 2019

Paroisses
Baptêmes
Mariage
Obsèques
Notre-Dame de la Victoire
56
14
99
Notre-Dame de la Paix
18
0
51
Sainte-Bernadette
22
6
71
Sacré-Coeur de Boulouris
2
4
20
Agay-Le Dramont
10
3
12
TOTAL
108
27
253

Chers paroissiens,

La fin de l’année 2020 a sonné, l’heure est donc au bilan. Vous trouverez ici un petit aperçu des actes de catholicité de nos paroisses de Saint Raphaël. Les chiffres sont éloquents surtout si nous les comparons à 2019… Bien sûr ces chiffres ne sont pas le seul indicateur de la vie des paroisses, mais ils manifestent un rétrécissement. Il faudrait ajouter à ces données le nombre de premières communions et de confirmations.

Sans doute l’effet crise du COVID est la principale cause, mais pas seulement peut-être. Dans tous les cas, nous sommes appelés à la mission, à l’annonce de l’espérance chrétienne ! Le pire serait de s’enliser. La vie chrétienne est une vie toujours plus sous l’impulsion de l’Esprit-Saint. Les sacrements sont le mode ordinaire de l’Esprit-Saint. Que notre créativité, nos œuvres, nos prières nous y conduisent toujours plus et toujours mieux, ainsi que tous ceux que nous aimons ! le Seigneur nous envoit !

Le Baptême

Le Baptême 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

« Chers amis, 

Nous célébrons ce dimanche le baptême de Jésus. Cette fête est l’occasion pour nous de faire mémoire de notre propre baptême et de s’arrêter ensemble sur la grandeur du don qui nous a été concédé ce jour là ! 

Notre pape François nous rappelle l’importance de s’arrêter sur ce sacrement sur  « lequel se fonde notre foi elle-même et qui nous greffe comme des membres vivants dans le Christ et dans son Église. Avec l’Eucharistie et la confirmation, il forme ce qu’on appelle l’« initiation chrétienne » qui constitue comme un unique grand événement sacramentel, et nous configure au Seigneur et fait de nous un signe vivant de sa présence et de son amour.

Mais une question peut naître en nous : le baptême est-il vraiment nécessaire pour vivre en chrétien et suivre Jésus ? N’est-ce pas au fond un simple rite, un acte formel de l’Église pour donner un nom au petit garçon ou à la petite fille. C’est une question qu’on peut se poser ? Et à ce propos, ce qu’écrit l’apôtre Paul nous éclaire : « Ne le savez-vous donc pas : nous tous, qui avons été baptisés en Jésus Christ, c’est dans sa mort que nous avons été baptisés  ? Si, par le baptême dans sa mort, nous avons été mis au tombeau avec lui, c’est pour que nous menions une vie nouvelle, nous aussi, de même que le Christ, par la toute-puissance du Père, est ressuscité d’entre les morts  » (Rm 6, 3-4). Ce n’est donc pas une formalité ! C’est un acte qui touche notre existence en profondeur. Un enfant baptisé ou un enfant non baptisé, ce n’est pas la même chose. Une personne baptisée ou une personne non baptisée, ce n’est pas la même chose. Avec le baptême, nous sommes plongés dans cette source intarissable de vie qui est la mort de Jésus, le plus grand acte d’amour de toute l’histoire ; grâce à cet amour, nous pouvons vivre une vie nouvelle, n’étant plus en proie au mal, au péché et à la mort, mais dans la communion avec Dieu et avec nos frères.

Un grand nombre d’entre nous n’a pas le moindre souvenir de la célébration de ce sacrement et cela est normal, si nous avons été baptisés peu après notre naissance. (…) Il est important de connaître le jour où nous avons été plongés précisément dans ce courant de salut de Jésus. Et je me permets de vous donner un conseil, mais, plus qu’un conseil, un devoir pour aujourd’hui. Aujourd’hui, à la maison, cherchez, demandez la date de votre baptême et ainsi vous connaîtrez bien le si beau jour du baptême. Connaître la date de notre baptême signifie connaître une date heureuse. Mais le risque de ne pas la «connaître» est de perdre conscience du souvenir de ce que le Seigneur a fait en nous, la mémoire du don que nous avons reçu. Alors nous finissons par le considérer seulement comme un événement qui a eu lieu dans le passé —  même pas par notre volonté, mais par celle de nos parents — et qui, pour cette raison, n’a plus aucune incidence sur le présent. Nous devons réveiller la mémoire de notre baptême. En revanche, nous sommes appelés à vivre notre baptême chaque jour, comme la réalité actuelle de notre existence (…)
Audience générale du 8 janvier 2014

Alors, chers amis, demandons en ce dimanche du baptême du Seigneur, la grâce de pouvoir toujours faire davantage l’expérience, dans notre vie de chaque jour, de l’action de notre baptême en nous. Et décidons de faire du jour anniversaire de notre baptême, un jour de fête et de joie.

…………………………………………………………………..     D. Louis-Marie DUPORT

La Prière du Père Jules Beaulac 

La Prière du Père Jules Beaulac  150 150 Paroisses de Saint-Raphael

« Seigneur Jésus, comme les bergers,
nous venons à Toi,
pauvres de nos misères personnelles et collectives,
mais riches de notre amour et de notre foi.
Comme eux, nous sommes heureux
que Tu nous accueilles tels que nous sommes
et comme eux nous sommes certains
qu’à Ton contact nous retournerons
à nos activités quotidiennes le cœur gonflé d’espérance
et de joie. Comme les mages,
nous venons aussi Te voir pour Te reconnaître
comme notre Roi et nous déposons devant Toi
ce que nous avons de plus précieux, non pas de l’or, de l’encens ou de la myrrhe, car nous n’en avons pas, mais bien notre volonté sincère de partager
ce que nous sommes et ce que nous possédons
avec les plus mal-pris que nous. » 

Le Pape François promulgue une année de la Famille 

Le Pape François promulgue une année de la Famille  1536 864 Paroisses de Saint-Raphael

Une année de réflexion sur « Amoris laetitia » (19 mars 2021-26 juin 2022), pour aider les familles chrétiennes à devenir « le ferment d’une nouvelle humanité et d’une solidarité concrète et universelle ».

A quelques jours de Noël, la liturgie nous invite à fixer notre regard sur la Sainte Famille de Jésus, Marie et Joseph. C’est beau de réfléchir sur le fait que le Fils de Dieu ait voulu avoir besoin, comme tous les enfants, de la chaleur d’une famille. C’est précisément pour cette raison que la famille de Jésus de Nazareth, est la famille-modèle, dans laquelle toutes les familles du monde peuvent trouver leur point de repère sûr et une inspiration sûre.

Le printemps de la vie humaine du Fils de Dieu a germé à Nazareth, au moment où il a été conçu par l’œuvre de l’Esprit Saint dans le sein virginal de Marie. Entre les murs hospitaliers de la maison de Nazareth s’est déroulée dans la joie l’enfance de Jésus, entourée de la sollicitude maternelle de Marie et du soin de Joseph, en qui Jésus a pu voir la tendresse de Dieu (cf. Lettre apostolique Patris corde, 2).

À l’imitation de la Sainte Famille, nous sommes appelés à redécouvrir la valeur éducative de la cellule familiale  : elle doit être fondée sur l’amour qui régénère toujours les relations en ouvrant des horizons d’espérance. En famille, on peut faire l’expérience d’une communion sincère quand elle est une maison de prière, lorsque les affections sont sérieuses, profondes et pures, lorsque le pardon l’emporte sur les discordes, lorsque la dureté quotidienne de la vie est adoucie par une tendresse mutuelle et par une adhésion sereine à la volonté de Dieu.

De cette manière, la famille s’ouvre à la joie que Dieu donne à tous ceux qui savent donner avec joie. En même temps, elle trouve l’énergie spirituelle pour s’ouvrir à l’extérieur, aux autres, au service de ses frères, à la collaboration pour la construction d’un monde toujours nouveau et meilleur ; capable pour cela de se faire porteuse de stimuli positifs ; la famille évangélise par l’exemple de sa vie.

C’est vrai, en famille, il y a des problèmes et aussi parfois on se dispute : « Père, je me suis disputé.. » Mais, on est humain, on est faible, et tous on a ce fait que nous nous disputons en famille. Je vais vous dire une chose  : si on se dispute en famille, que la journée ne finisse pas sans qu’on ait fait la paix. « Oui, je me suis disputé », mais avant de finir la journée, fais la paix. Et tu sais pourquoi ? Parce que la guerre froide du lendemain est très dangereuse. Cela n’aide pas.

Et puis en famille, il y a trois paroles,  trois paroles à toujours garder : « Est-ce que je peux ? Merci. Excuse-moi.  » « Est-ce que je peux ? » Pour ne pas être envahissant dans la vie des autres. « Est-ce que je peux faire ceci, il te semble que je puisse faire cela ? » « S’il te plaît. » Toujours. Ne pas être envahissant. « Est-ce que je peux  ?  » la première parole. « Merci ! » tant d’aide, tant de services qu’on se rend en famille. Toujours remercier  : «  Merci !  » La gratitude, c’est le sang de l’âme noble. « Merci ! » Et puis la plus difficile à dire : «  Excuse-moi ! » Parce qu’il nous arrive toujours de faire des choses pas bien. Et si souvent quelqu’un se sent offensé pour cela. « Excuse-moi ! Excuse-moi ! » N’oubliez pas les trois paroles : « Est-ce que je peux ? Merci  ! Excuse-moi ! » Si dans une famille, dans l’environnement familial, il y a ces trois paroles, la famille va bien.

C’est à l’exemple d’évangéliser par la famille que nous propose, à nouveau, l’idéal de l’amour conjugal et familial, comme cela a été souligné dans l’Exhortation apostolique Amoris laetitia, dont le 5e anniversaire de promulgation sera le 19 mars prochain.

Veillée à Sainte-Bernadette

Veillée à Sainte-Bernadette 1440 2560 Paroisses de Saint-Raphael

Célébration de la naissance de Jésus

Veillée à Notre-Dame de la Victoire

Veillée à Notre-Dame de la Victoire 2560 1920 Paroisses de Saint-Raphael

Jésus est déposé dans la crèche

Veillée de Noël à Notre-Dame de la Paix

Veillée de Noël à Notre-Dame de la Paix 640 480 Paroisses de Saint-Raphael

Bénédiction des petits Jésus de la crèche

L’Espérance

L’Espérance 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

« La petite Espérance s’avance entre ses deux grandes sœurs (la Foi et la Charité),
et on ne prend pas seulement garde à elle.
Sur le chemin du salut, sur le chemin charnel, sur le chemin
raboteux du salut, sur la route interminable, sur la route
entre ses deux sœurs la petite espérance
S’avance.
Entre ses deux grandes sœurs.
Celle qui est mariée.
Et celle qui est mère.
Et l’on n’a d’attention, le peuple chrétien n’a d’attention
que pour les deux grandes sœurs.
La première et la dernière.
Qui vont au plus pressé.
Au temps présent.
A l’instant momentané qui passe.
Le peuple chrétien ne voit que les deux grandes sœurs, n’a 
de regard que pour les deux grandes sœurs.
Celle qui est à droite et celle qui est à gauche.
Et il ne voit quasiment pas celle qui est au milieu.
La petite, celle qui va encore à l’école.
Et qui marche.
Perdue dans les jupes de ses sœurs.
Et il croit volontiers que ce sont les deux grands
qui traînent la petite par la main.
Au milieu.
Entre les deux.
Pour lui faire faire ce chemin raboteux du salut.
Les aveugles qui ne voient pas au contraire…
Que c’est elle au milieu qui entraîne ses grandes sœurs.
Et que sans elle elles ne seraient rien.
Que deux femmes déjà âgées.
Deux femmes d’un certain âge.
Fripées par la vie.
C’est elle, cette petite, qui entraîne tout. »
Charles Péguy, « le Porche du mystère de la deuxième vertu » (1912)

L’espoir humain fait vivre. L’espérance divine est vie éternelle commencée. Nous avons besoin des deux ; même s’il n’y a plus apparemment d’espoir humain, il y a toujours la petite sœur espérance. En sortirons-nous jamais de “ce voile de mort tendu sur toutes les nations” ?, cf Is 25,7-9. Oui, la petite sœur espérance, celle que la Foi et la Charité protègent, celle qu’elles tiennent par la main, pour avoir une raison d’avancer encore, leur fera voir l’invisible (cf 2Co 4,16-18).

Suivons les disciples d’Emmaüs, le visage éteint : « nous espérions, nous, que le Christ allait nous sauver… mais voilà qu’il est au tombeau depuis
3 jours déjà, tout est fini, le rêve est brisé ! » Réponse du Christ ressuscité qui les accompagne sans qu’ils le reconnaissent : « ô cœurs sans intelligence et lents à croire ! Ne mettez jamais le verbe espérer au passé ! En mon Nom, en mon Nom seulement, Jésus-Christ, tenez la main de la petite espérance, elle vous mènera vers ce lendemain qui n’est pas impossible pour Moi. »
Notre meilleur voeu : gardons l’espérance. Bonne année !
   D. Laurent LARROQUE

Cénacle du Mouvement Sacerdotal Marial

Cénacle du Mouvement Sacerdotal Marial 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

Samedi 2 janvier de 15h à 17h à Notre-Dame de la Victoire

Adoration, chapelet et Messe présidée par Don Laurent

    Nous contacter

    +33 4 94 19 81 29

    Nous aider