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Ce que nous offrons est grandi par Dieu

Ce que nous offrons est grandi par Dieu 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

Saint Jean dans cet évangile parle d’une grande foule et un verset après une foule « nombreuse ». Ces gens se précipitent pour voir et écouter cet homme dont la parole touche et le cœur et l’intelligence.
Jésus a le souci du salut de l’âme de chaque homme suivant sa mission. Mais il fait également attention aux détails matériels comme la nourriture ; cette foule a besoin d’une alimentation spirituelle mais leur corps a aussi besoin d’une nourriture plus concrète puisque cela fait longtemps qu’elle le suit. Le Christ teste la confiance de ses disciples en leur demandant d’aller acheter du pain pour nourrir cette foule. Philippe n’y voit que l’impossibilité financière, le groupe des Apôtres n’a pas assez d’argent pour acheter du pain ; André recense ce qu’ils ont : cinq pains et deux poissons qu’un jeune garçon a apportés avec lui.
Jésus aurait pu faire les choses bien différemment : transformer des pierres en pain comme le Diable l’avait suggéré dans les tentations au désert (cf. Luc 4,3) ; renouveler le miracle de la manne (cf. Exode 13,31sv.) ; créer du pain à partir de rien, mais il a voulu que cela vienne de l’assemblée, que ce soit une participation active de ceux qui l’écoutent. C’est donc ce qu’avait apporté un jeune garçon qui sert de base au miracle de la multiplication des pains.
Ce jeune garçon reste anonyme, nous savons simplement qu’il accepte de partager avec Jésus ce qu’il a prévu pour son propre repas, sans se douter que sa petite contribution va permettre de nourrir cinq mille hommes.
Chacun d’entre nous est ce jeune garçon ! Ce passage de l’Evangile nous interroge sur ce que nous possédons : cherchons ce que-nous pouvons mettre aujourd’hui à la disposition du Christ et de son Eglise ? Même si nos forces et nos moyens nous semblent dérisoires, soyons sûrs que, s’ils sont donnés avec foi et confiance, ils serviront à nos frères, bien au-delà de leur nécessaire, cela deviendra surabondant, nos cinq pains d’orge deviendront, après satiété, douze paniers pleins… Ce que nous offrons n’est pas une question de quantité ou de valeur, la pauvre veuve n’offrait que deux piécettes (cf. Luc 21,1-4) au Temple de Dieu et pourtant elle provoque l’admiration de Jésus parce qu’elle les donne sans arrière-pensée.
D’après un commentaire du P. Jean-Paul Bouvier
Don Brune de LISLE

Camp des jeunes de l’Aumônerie

Camp des jeunes de l’Aumônerie 2560 1984 Paroisses de Saint-Raphael

Nous revenons de 10 jours de camp dans les Alpes. Nous avons passé 5 jours de marche en montagne où la fatigue et l’inconfort se sont fait ressentir mais nous avons vu des paysages magnifiques et avons passé de bons moments entre amis. Puis nous sommes allés au sanctuaire Notre-Dame du Laus où nous avons prié et participé à des activités, ce qui nous a permis d’approfondir notre foi et de rencontrer de nouvelles personnes.
Constance, Blanche, Elisa et Ambre

Fête de la Saint-Pierre

Fête de la Saint-Pierre 2234 2560 Paroisses de Saint-Raphael

Dimanche 4 août 2024 à la basilique
9h30 : Départ de la procession de l’église San Rafeù à la Basilique
suivie de la Grand-Messe à la Basilique et de la procession au Lion de Mer
18h30 : Messe en grégorien

L’Entraide Paroissiale

L’Entraide Paroissiale 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

Les dates à retenir : Vendredi 5 Juillet fermeture pour l’été et réouverture le 27 Août.

Le Seigneur est mon Berger

Le Seigneur est mon Berger 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

Jésus, voyant cette grande foule qui l’attendait « fut saisi de pitié envers eux, parce qu’ils étaient comme des brebis sans berger. »
Alors Il leur enseigna l’Evangile, qui sont les « verts pâturages » dont parle le Psaume, ceux de la « saine doctrine » (1Tim 1,10), et depuis 2000 ans,
il envoie ses apôtres continuer d’enseigner l’Evangile à toute cette foule, qui suscite aujourd’hui encore, et comme jamais, une grande pitié, car «  ils se sont donnés des maîtres en quantité, et ne supportent plus la saine doctrine  » (2Tim 4,3).
Mais dans cette foule, un grand nombre se lève en nous disant : “n’auriez-vous pas, vous, la vraie Bonne Nouvelle à nous annoncer, celle de Dieu, pas une invention des hommes ?” Et en effet, le nombre de catéchumènes augmente (ceux qui demandent spontanément une formation chrétienne et le baptême chrétien).
Oui, Dieu a parlé, c’est la Bible. C’est l’Evangile. Ça commence par la bonne nouvelle d’un Créateur Bon qui « a vu tout ce qu’il avait fait : cela était très bon ! » (Gn 1,31) À la page d’après, cependant, il y a la mauvaise nouvelle du premier péché (abus de la liberté que Dieu nous a donné comme un très noble cadeau), par lequel le serpent des origines a inoculé en nous le doute vis-à-vis de Dieu, comme si sa Loi devait nous amoindrir et la transgression nous agrandir. De serpent devenu aujourd’hui grand Dragon (Ap 12,3.9), qui semble dominer le monde, son message reste le même (Gn 3,5) :
“si vous transgressez la loi de Dieu, si vous continuez de vouloir remplacer sa Création (très bonne) par la vôtre très transgressive, « vous serez comme des dieux qui redéfinissent par eux-mêmes le bien et le mal selon leurs propres critères qui vont vous auto-diviniser” – c’est-à-dire, en fait (car c’est le menteur, Père du Mensonge et homicide dès le commencement, cf Jn 8,44)  : vous allez vous auto-détruire.
Cela semble bien parti… Cependant il ne faut pas désespérer. “Le Dragon semble dominer”, disais-je, car si le Mal est puissant (à cause de notre adhésion à sa séduction infernale), le Bien, Dieu, est Tout-Puissant. Rien ne lui échappe. L’Adversaire des origines et de la fin des temps ne possède que le pouvoir que Dieu lui concède. Jusqu’à l’heure du jour du mois de l’année (cf Ap 9,15) où Dieu lui commandera : « stop ! » “Et il se fera un grand calme…” (cf Mc 4,39).
Donc, Gn 1 : tout va bien. Gn 3 : patatrac à l’origine des temps ! Ap 12 : patatrac à la fin des temps, et mondialement ! Entre les deux : Jésus-Christ. Le Sauveur. La Bonne Nouvelle. La porte des brebis perdues (Jn 10,7) pour retrouver le chemin du Paradis perdu. Il est lui-même « le Chemin, la Vérité et la Vie » (Jn 14,6), le « bon berger » (Jn 10,11), le Victorieux (Ap 6,2 et 19,11).
« Ainsi nous ne serons plus des enfants, nous ne nous laisserons plus ballotter et emporter à tout vent de doctrine, au gré de l’imposture des hommes et de leur astuce à fourvoyer dans l’erreur. » Eph 4,14. L’erreur du relativisme, qui voudrait réduire la « Bonne Nouvelle de Dieu » (Mc 1,14) à une opinion religieuse parmi les autres opinions religieuses ; réduire le Bon Berger à un “gentil fondateur de religion” parmi d’autres, et empêcher les brebis de se réunir derrière lui, jusqu’à devenir, selon sa prophétie, « un seul troupeau et un seul Pasteur » (Jn 10,16). Cela se réalisera, car « Dieu est assez puissant pour réaliser ce qu’il a promis. » Rm 4,19.
« Jésus Christ est le même hier et aujourd’hui, et il le sera à jamais. Ne vous laissez pas égarer par des doctrines étrangères et perverses. » Héb 13,8.
Don Laurent LARROQUE

La Voix de Saint Raphaël

La Voix de Saint Raphaël 857 1217 Paroisses de Saint-Raphael

de l’été est disponible
N’hésitez pas à la distribuer
autour de vous

Camp du patronage à monteux

Camp du patronage à monteux 2016 1512 Paroisses de Saint-Raphael

C’est sur les traces de Saint Pierre que les enfants du patronage sont partis en séjour la semaine dernière, planter la tente en pleine nature à Monteux, non loin d’Avignon. L’équipe a encadré 32 enfants de 6 à 11 ans pour un programme bien rempli avec trajets à vélo, baignades au lac, grands jeux, bricolages, messe au Monastère du Barroux, visite du Palais des Papes, et bien d’autres surprises. Les enfants sont rentrés fatigués, grandis et enrichis spirituellement.
Les inscriptions pour le patronage sont déjà ouvertes pour la rentrée qui aura lieu le mercredi 4 septembre. Ne tardez pas à imprimer le dossier de votre enfant et le déposer dans la boîte
aux lettres de Sainte Bernadette. Bel été à tous !

« Ne rien préférer à l’amour du Christ »

« Ne rien préférer à l’amour du Christ » 150 150 Paroisses de Saint-Raphael

« Ecoute, mon fils, les préceptes du maître et tends l’oreille de ton cœur. Reçois volontairement l’exhortation d’un père si bon et mets-la en pratique, afin de revenir par le labeur de l’obéissance à celui dont t’avait détourné la lâcheté de la désobéissance ».
Voici les premiers mots de la règle de saint Benoît, patron de l’Europe, que nous avons fêté le 11 juillet. Depuis près de 1500 ans, des moines et des moniales consacrent leur vie en entrant dans ce que saint Benoît appelle lui-même « une école du service du Seigneur. » La finalité est donc de se détourner de la désobéissance du péché pour revenir vers Dieu.
La règle organise le temps, l’espace, les relations jusque dans les petits détails de ce qui se vit au sein de la clôture monastique. Obéissance au père abbé qui « tient dans le monastère la place du Christ », pauvreté évangélique qui fait qu’aucun moine ne possède de biens propres, chasteté dans le respect de leur consécration religieuse et stabilité dans le monastère sont les quatre vœux que prononcent les moines et sur lesquels ils fondent leur vie. On résume souvent la règle par ces deux mots : « ora et labora », prie et travaille. Le moine se rend
six fois par jour et une fois au milieu de la nuit à l’église pour chanter la louange du Seigneur dans la liturgie des heures et, en conservant le silence, il s’adonne à un travail intellectuel ou manuel entre chacun des offices dans un climat de silence. Il y a dans la règle de saint Benoît quelque chose de très étonnant pour notre époque : tout est à l’opposé du bonheur que promet le monde. Le moine ne voyage pas mais reste toute sa vie au même endroit, il ne dépense pas en loisirs l’argent qu’il a gagné mais ne garde rien pour lui personnellement, il vit la chasteté en vue du Royaume et obéit à un autre et à une règle ; pourtant, il est très impressionnant de voir très souvent la joie profonde qui sort du cœur de ces consacrés à Dieu. Leur vie n’a pas de sens aux yeux du monde mais l’évangile dit qu’ « ils ont choisi la meilleure part  ». Ceux qui ont déjà eu la joie de s’entretenir avec un moine ou une moniale qui est fidèle depuis de nombreuses années à sa vocation ont sans doute été émerveillés par le sourire qui n’est pas humain qui se dégage du visage parfois déjà bien marqué par les rides.
Nous ne sommes pas moines mais nous pouvons nous laisser enseigner par eux et par saint Benoît. Dans notre vie au milieu du monde, souvenons-nous que nous ne devons « rien préférer à l’amour du Christ. » Souvenons-nous que nous avons à établir une règle de vie pour apprendre jour après jour à suivre le Seigneur : temps de prière quotidiens, silence et simplicité de vie peuvent aussi donner sens à notre existence où nous constatons souvent que le temps s’accélère.
Prions pour les vocations monastiques qui ont façonné la culture chrétienne qui a marqué notre Europe et prions pour que nous sachions nous laisser enseigner par la beauté de leur vie. Une bonne lecture de notre été pourrait être la règle de saint Benoît et une bonne occupation un petit séjour en abbaye !

Don Raphaël SIMONNEAUX

Denier de l’Eglise

Denier de l’Eglise 1024 512 Paroisses de Saint-Raphael

Le Denier, c’est vraiment vital pour l’Église ! Ne l’oubliez pas…
en vacances aussi… vous pouvez faire grandir l’église
Chers vacanciers,
Bienvenue dans notre beau diocèse de Fréjus-Toulon !
Que Dieu vous y accorde le repos et la paix du coeur,
dans l’action de grâce devant les beautés de Sa création.
Comme les saints de Provence qui nous ont précédés, nous pouvons à notre tour faire grandir l’église en nous y investissant, en priant pour elle, en la soutenant finan-cièrement pour que notre diocèse puisse ainsi continuer d’annoncer la Bonne Nouvelle du Christ.
Merci de tout coeur pour votre générosité.
Mgr Dominique Rey, évêque de Fréjus-Toulon, Mgr François Touvet, évêque coadjuteur de Fréjus-Toulon.

Les dons peuvent être également être faits par chèque à l’ordre de l’ADFT (avec au dos la mention “Denier” suivi du nom de votre paroisse) transmis à : Association Diocésaine de Fréjus-Toulon, 68 impasse Beaulieu, CS 30518, 83041 TOULON cedex

Premières messes de Don Bernard

Premières messes de Don Bernard 1707 2560 Paroisses de Saint-Raphael

Don Bernard a célébré lundi à 9h à Notre-Dame de la Paix une première messe en présence des jeunes de l’aumônerie qui partaient en camp avec Don Raphaël, Don Bruno et Damien pour 5 jours de randonnée dans le massif des Ecrins avant de rejoindre Notre Dame du Laus.
Mardi à 18h, à Sainte-Bernadette ce fut de nombreux paroissiens qui participaient à sa première Messe qui s’est terminée par un apéritif après l’imposition des mains de nos nouveaux prêtres. Que de grâces reçues !

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